Sergio Leone

les aventures de l’homme sans nom , Sergio Leone entame en 1969 une nouvelle trilogie : Il était une fois la révolution , il était une fois en Amérique et ce que nous intéresse aujourd’hui « il était une fois dans l’ouest » , ces films sont souvent réalistes et mélancoliques avec « il était une fois dans l’ouest » Sergio Leone réalise son western le plus symbolique et à vocation la moins divertissante. Dans ce film Sergio Leone s’entoure de ces fidèles ; Sergio Nonati ( écriture ) et Ennio Morricone

né le 31 mai 1930 à San Francisco. Autodidacte, il entre grâce à des amis au studio Universal où il interprète d’abord de petits rôles dans des séries B, puis l’un des rôles phares d'une longue série, Rawhide. Il se fait alors remarquer par Sergio Leone qui l’embauche pour la Trilogie du dollar. Devenu célèbre, il interprète de nombreux rôles, d’abord pour Universal, puis pour Warner Bros., notamment ceux de L'Inspecteur Harry. En 1968, il devient producteur avec la création de la société Malpaso

désertiques, les gros plans sur les personnages et la musique d’Ennio Morricone, tout y est. Certain pensent que ce n’est pas un vrai Western. Mais le principal y est, on est dans l’ambiance du début à la fin même si il reste très différent des œuvres de Sergio Leone. Encore une fois, Quentin Tarantino aborde le sujet de la traite négrière aux Etats-Unis au XIX ème siècle. Un thème très bien abordé avec un très bon recul. Le réalisateur veut que les gens puissent en parler sans aucune gêne. Les acteurs sont

sans lui donner un dernier conseil pour se défendre des attaques de la Horde sauvage qui, pensant que Jack est mort, s'est lancée à la poursuite d'un Personne plus facétieux et plus insouciant que jamais. Réalisation : Tonino Valerii Scénario : Sergio Leone, Fulvio Morsella et Ernesto Gastaldi Décors : Gianni Polidori Costumes : Vera Marzot Photographie : Giuseppe Ruzzolini, Armando Nannuzzi Montage : Nino Baragli Musique : Ennio Morricone (direction d'orchestre : Bruno Nicolaï) Production :

Francisco, dans l'État de Californie. Autodidacte, il entre grâce à des amis au studio Universal où il interprète d’abord des petits rôles dans des séries B, puis l’un des rôles phares d'une longue série, Rawhide. Il se fait alors remarquer par Sergio Leone qui l’embauche pour la Trilogie du dollar (Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la Brute et le Truand). Devenu célèbre, il interprète de nombreux rôles, d’abord pour Universal, puis pour Warner Bros., notamment

le cadrage et l’alternance des plans accompagnés d’une bande sonore particulièrement efficace. Étant l’ennemie finale au premier chapitre de Kill Bill, le duel contre O-ren Ishii est à l’image des confrontations dantesques mises de l’avant par Sergio Leone et ses compares. Tout droit emprunté au monde du western spaghetti, l’affrontement ne se déroule pas immédiatement suite à leur rencontre, mais est plutôt amené par une série de gros plans du visage des protagonistes alternant entre ceux-ci et

Le réalisateur : Acteur, réalisateur et producteur de cinéma américaine, Clint Eastwood naît le 31 mai 1930 à San Francisco. C'est en interprétant de petits rôle dans les séries B d'Universal qu'il se fait remarquer par Sergio Leone ; la « Trilogie du dollar » le rend célèbre. Il passe a la réalisation en 1971 avec frisson dans la nuit. Son contexte : Adapté de la nouvelle La Fille à un million de dollars tirée du livre Rope burns: Stories from the Corner ( La brûlure des cordes ) de l'ex-entraîneur

  Le Bon, la Brute et le Truand, internationalement connu sous le titre The good, the Bad and the Ugly  est un film réalisé par Sergio Leone sorti en 1966. Ses origines allemandes et italiennes donnent au film western le sous-genre cinématographique « western spaghetti ». Malgré l’ironie du nom de ce sous-genre, ce dernier est très reconnu et de très bons films lui font honneur. The good, the Bad and the Ugly  est l’un des films westerns les plus célèbres de tous les temps. Clint Eastwood, Lee

fantaisie baroque de notre ami Antonio Margheriti. En bon Américain, Richard Harrison juge peu crédibles les tentatives d'acclimatation des mythes du Far West en Italie (pensez-vous ! un pays qui n'a même pas d'Ouest !) et décline l'offre de Sergio Leone qui souhaite faire de lui le héros de Pour une Poignée de Dollars. A sa place, Richard recommande un jeune acteur américain, transfuge lui aussi des productions AIP, un certain Clint Eastwood (ou comment rentrer dans les encyclopédies du cinéma

salariés proposés par les studios. Il tourne dans des séries B comme Tarantula. Puis, de 1959 à 1966 il tient pendant sept ans le second rôle de la série Rawhide en incarnant Rowdy Yates. Au milieu des années soixante, trois succès mythiques de Sergio Leone : Pour Une Poignée De Dollars (1964), et Le Bon, La Brute et Le Truand (1966), l’imposent parmi les plus grandes stars internationales. De retour aux États-Unis, Eastwood fonde la société Malpaso, et entame une amicale et fructueuse association