Sergio Marchionne

qui participe évidemment à sa popularité envers les entreprises et le particulier. En 2004, à la suite de la mort d’Umberto Agnelli, sont nommés à la tête du groupe Luca Cordero de Montezemolo, président, John Elkann, vice-président, et Sergio Marchionne, administrateur délégué, une équipe qui va opérer une transformation culturelle profonde du groupe après la crise grande automobile qu’il a traversé à l’entrée du nouveau millénaire. En 2007, Fiat enregistre un chiffre d’affaire de 59 milliards

annonces concernant de nouveaux projets d’investissements étrangers en Serbie se multiplient. Côté inauguration, l’usine FIAT de Kragujevac a été officiellement ouverte le 16 avril par le premier ministre Mirko Cvetkovic et le patron de FIAT Sergio Marchionne. Cette implantation (1 Md EUR), un des plus importants investissements industriels depuis des décennies, aura de plus un effet d’entrainement sur les partenaires industriels du constructeur italien parmi lesquels Vescovini (fixations forgées

les objectifs de rentabilité qui, dans une certaine mesure, semble problématique lorsque l’on sait que pour être rentable produire et écouler cette production est essentiel alors que le marché ne semble pas prêt à accepter cette offre. Selon, Sergio Marchionne, il faudrait une production "d'au moins 5,5 à 6 millions de voitures par an pour avoir une chance de gagner de l'argent" (Source : Les Echos.fr). Contrairement à ce que certains pourraient croire l’alliance entre PSA et Fiat est loin d’être nouvelle

marché mondial. Au début des années 1970, Giovanni Agnelli, président de FIAT - alors deuxième constructeur européen, prophétisait : « L’Europe compte quarante constructeurs ; d’ici dix ans, il n’en restera qu’une poignée » (figure 8). En 2008, Sergio Marchionne, administrateur délégué de Fiat, déclarait au magazine spécialisé Automotive News Europe : « seules six marques mondiales, capables de produire 5 ou 6 millions de véhicules par an, résisteront à la crise ». Fiat a pris une option sur le contrôle

production low cost aux portes de l'Europe, à l'instar de Renault au Maroc, afin de desservir le marché européen. • L'hypothèse récurrente d'un rapprochement entre PSA et Fiat a été de nouveau évoquée ces derniers jours après les propos de Sergio Marchionne, l'administrateur délégué du groupe italien, favorable à l'entrée d'un troisième partenaire dans son alliance avec Chrysler. Forces : • Concernant Aulnay-sous-Bois, qui fabrique la Citroën C3, l'objectif était de concentrer la production

étaient certains de l’attraper. L’un d’eux, grand, pâle, le crâne rasé, portait un tricot rouge foncé où se détachait un grand R majuscule blanc. « Je suis fichu », pensa Saggini. Les journaux parlaient de ce R depuis des mois. C’était le signe de Sergio Régora, le chef de bande le plus cruel qui soit. On racontait qu’il avait personnellement réglé leur compte à plus d’une cinquantaine de vieux. La seule chose à faire était de se risquer. À gauche, au fond de la petite rue, s’ouvrait une large

Europe), Wilhem Bonse-Geuking (président de l’association de l’industrie pétrolière européenne), Louis Schweitzer (président du Conseil d’administration de Renault), Leif Johansson (Président de AB Volvo et directeur général de Volvo Group), Sergio Marchionne (PDG de Fiat), Bernd Pischetsrieder (président de l’association des constructeurs européens d’automobiles et Président de VAG). Fédérations, ONG : David Baldock (directeur de l’Institut pour une politique environnementale européenne), Peter Scherrer