Sergio Marchionne

pouvoirs publics italiens avaient aussi demandé un effort à Sergio Marchionne ( administrateur délégué du groupe Fiat ) pour fabriquer davantage dans la péninsule. Et ce, alors qu'il venait d'annoncer l'arrêt de la production en 2011 de l'usine sicilienne de Termini Imerese. Lors d'une rencontre à Rome avec le gouvernement et les syndicats, Sergio Marchionne n'a pas répondu négativement. On remarque que ce soit Carlos Ghosn ou Sergio Marchionne, ils vont se plier aux demandes de l'Etat.

Fiat atteint une part de marché égale à 12,30% en Europe occidentale, et 57,18 % en Italie. Seulement depuis une vingtaine d’année le marché de l’automobile est arrivé à maturité. En 2004, à la mort de « l’avvocato » Agnelli, le groupe a appelé Sergio Marchionne au poste d’administrateur, qui a radicalement changé l’organisation et la vision du groupe. Ce changement aboutie, en 2007 à la sortie de la FIAT 500. Sur le marché de l’automobile, il est de coutume qu’il y ai un constructeur de trop, et il

permutations possible. The carmaker is also aiming for a five-star crash-test rating, ambitious for a car barely 3½-metres long. The Turin-based producer is also billing the Cinquecento as “the manifesto of a ‘new Fiat’.” Under chief executive Sergio Marchionne, the company has swung back into profit and increased its share in a tough European market. Last month Fitch Ratings gave Fiat’s debt its first investment-grade credit rating in four years. The new Cinquecento’s price, starting at about €10

"Think different" d'Apple développent une notoriété inconstatable. Ce n’est pas l’ambition de Sergio Marchionne, le directeur commercial qui va nous convaincre du contraire, en effet, dans une interview donnée au figaro daté du 21 avril 2007, il a affirmé « voulant faire de la fiat 500 la référence dans son secteur d’activité ». De même dans l’édition du 23 juillet 2008 de la tribune avril, Sergio Marchionne, président du groupe Fiat, déclare « vouloir devenir l'Apple des voitures, et que la «500 soit

risque d’avoir du mal à se relevé. 7 V - La cohérence de la politique Après un regenering, la direction de l’entreprise Fiat remets à plat toute l’organisation, l’organisation a donc due se reconstruire à partir de rien avec l’aide de Sergio Marchionne. On peut donc voir plusieurs Axes de cette nouvelle politique comme : - L’investissement en RnD qui on permit à fiat de développé des véhicules plus fiable avec des moteurs plus robuste, et encore beaucoup de choses, … - Une demande de financement

retour d’Alfa sur le continent nord-américain en aliant le groupe Fiat et Chrysler. De plus, pour améliorer l’image de l’Alfa Roméo en terme de fiabilité et pour lui permettre de retrouver son prestige de voiture sportive soigné et pensé, Sergio Marchionne (directeur général du groupe Fiat SpA) a ordonné la fermeture du site Napolitain, où était fabriquée les Alfa Roméo, sur une période de deux mois, pour moderniser l’entreprise et offrir à ses 6000 salariés une formation obligatoire et intensive

«calme», «à l'écoute de ses équipes» et, surtout, «capable de faire partager sa vision de l'avenir», insiste Denis Martin, le directeur des ressources humaines du groupe. S'il n'a pas le côté «star» d'autres dirigeants de l'automobile, comme Sergio Marchionne, chez Fiat, ou Carlos Ghosn, le PDG de Renault, «il donne l'impression de savoir où il veut aller et comment il veut y aller», commente un analyste. «Il est discret, mais travaille en profondeur sur des points précis», ajoute un autre. Son objectif

endettement colossal, avait dû se résoudre en juin 2002 à vendre 34 % de Ferrari au groupe financier italien Mediobanca pour un montant de 775 millions d'euros et une mise en bourse avait même été envisagée. La restructuration de Fiat, menée par Sergio Marchionne, portant ses fruits, il a fait valoir fin septembre 2006 une option de rachat auprès de Mediobanca qui lui a permis de récupérer 29 % de Ferrarri pour environ 800 millions d'euros, portant son contrôle à 85 %. Les 5% restants avaient été cédés

«calme», «à l'écoute de ses équipes» et, surtout, «capable de faire partager sa vision de l'avenir», insiste Denis Martin, le directeur des ressources humaines du groupe. S'il n'a pas le côté «star» d'autres dirigeants de l'automobile, comme Sergio Marchionne, chez Fiat, ou Carlos Ghosn, le PDG de Renault, «il donne l'impression de savoir où il veut aller et comment il veut y aller», commente un analyste. «Il est discret, mais travaille en profondeur sur des points précis», ajoute un autre. Son objectif

rester plus proche de l'artisanat que de la fabrication industrielle, d'autant plus qu'il existe une très forte demande de voitures faites sur mesure. Ferrari Store installé dans le centre de Milan. La restructuration de Fiat, menée par Sergio Marchionne, portant ses fruits, il a fait valoir fin septembre 2006 une option de rachat auprès de Mediobanca qui lui a permis de récupérer 29 % de Ferrari pour environ 800 millions d'euros, portant son contrôle à 85 %. Les 5 % restants avaient été cédés