Serment d'Hippocrate

"remonter aux sources et fonder un monde meilleur". Le néoclassique est la recherche d'un idéal. A partie de 1748 les découvertes archéologiques de Pompéï et d'Herculanum favorisent ce retour aux formes artistiques de l'Antiquité. Le Serment des Horaces, 1784 Le Serment des Horaces, peint par Jacques-Louis David en 1784 est considéré comme le premier grand manifeste du néo-classicisme en peinture. Cette œuvre est l'une des pieces les plus précieuse du musée du Louvre. Elle met en scène un sujet emprunté

connais encore, c’est ce qui me tue. » 3 grandes données de la pièce : les pleurs des femmes, les valeurs incarnées par Camille, le discours de Camille qui provoque le coup d’Horace. I Les pleurs des femmes ( voir détail du tableau de David, Le serment des Horaces)——————————- 1. L’arme des femmes : les larmes ( cf rime arme/larme) —————————————- Ds tragédie antique plainte des femmes = cri de deuil face à la violence des guerriers Ici : les femmes ont un pouvoir de ralentissement, d’un ajournement de

conviction que l'État fédéral démocratique de 1848 s'inscrivait dans la continuité de l'ancienne confédération, antérieure à 1798, dont le berceau était situé au cœur des Alpes. L'origine de la confédération suisse est également associée au légendaire serment du Grütli prononcé par des hommes libres au bord du lac d'Uri. À noter que, en Suisse, les enfants continuent d'apprendre ces récits fondateurs à l'école. La consécration du Pacte fédéral comme plus ancienne constitution d'une alliance consentie

simple modèle stylistique, c’est aussi le reflet d’une moralité supérieure. C’est pourquoi, lorsqu’il rentre à Paris, il peint une série de grandes scènes classiques qui sont des exemples de vertus individuelles et collectives. La plus célèbre est le Serment des Horaces( une forme fermée définie par un dessin rigoureux, des gestes solennels et presque religieux, des couleurs étudiées une dramatisation qui s’exprime de manière contenue, mais prête à exploser. L’éclatement de la Révolution française fait

exclure du partage de l'empire carolingien. Après la victoire éclatante de Fontenay des deux frères sur le Roi d'Aquitaine en 841, les deux frères concentrent leurs efforts dans la lutte contre Lothaire. En 842, cette alliance est renforcée par les serments de Strasbourg, que Louis prononce en langue tudesque et Charles en langue romane. Le traité de Verdun, en 843, met fin à ce conflit : il établit la mainmise de Louis sur la Francie orientale, appelée aussi royaume de Germanie, sur laquelle il règne

Anciens. De retour à Paris en 1780, il épouse Marguerite Pécoul, dont le père dirigeait les travaux de construction du Louvre. Les relations influentes de son beau-père lui permettent d’obtenir ses premières commandes importantes, dont le remarquable Serment des Horaces qu’il peint à Rome en 1784. Exposée au Salon de Paris en 1785, la toile remporte un triomphe éclatant. Qualifié de messie, David est sacré chef de file de la nouvelle école néoclassique*. Membre du groupe extrémiste des Jacobins, grand

Les Lois de la Composition Le Serment des Horaces de Jacques-Louis David est une oeuvre imposante illustrant de manière allégorique un épisode de l’histoire de Rome : les frères Horaces jurent devant leur père de mourir pour défendre la cité face aux Curiaces, leurs frères rivaux. La scène conjugue tous les éléments du drame antique : l’honneur guerrier porté au paroxysme, pour le premier groupe de personnages à gauche ; l’exaltation du sacrifice total pour le personnage central, et enfin l’accablement

Le Serment des Horaces Auteur : Jacques-Louis DAVID (né à Paris en 1748 et mort à Bruxelles en 1825) Style : Néo-classicisme Dimensions : 3,30 m de haut. 4,25 m de large. Exposé au Musée du Louvre à Paris. Huile sur toile Le tableau a été peint à Rome en 1784 et 1785 DESCRIPTION DE L'OEUVRE : Le tableau représente les trois frères Horaces qui prêtent serment, sur les épées présentées par leur père, de combattre jusqu'à la mort pour défendre Rome contre les Curiaces qui défendront Albe. Le père

Analyse d’oeuvre « Le Serment des Horaces » Le « Serment des Horaces » est une oeuvre commandée par Louis XVI. C’est une peinture à l’huile de 3 x 4,2 m, réalisée en 1785 par le français Jacques-Louis David, chef de file du néoclassicisme, elle est conservée au musée du Louvre. Le tableau met en scène les frères Horaces qui prêtent serment à leur père de vaincre ou de mourir pour la défense de Rome contre les Curiaces. David a imaginé ce serment d’après les récits du combat, présents dans

Horaces, qui à son retour fut maudit par sa sœur Camilla pour la mort de son amant. Si le combat apparaît bien dans plusieurs sources littéraires (Tite-Live, Plutarque, et autre), le serment lui est une invention de David. Il est possible que David qui était franc-maçon ait été inspiré par les procédures de serment utilisant des épées de ceux-ci. Ce tableau est considéré comme un des chefs-d'œuvre du néoclassicisme tant dans son style que dans sa description austère du devoir. Bien que les études