Serpent arc-en-ciel

forte. J’aimerais tant, pour une fois, me montrer frivole et froussarde. Pas longtemps, juste un brin..., un jour..., une heure... On s’affairait, autour de sa tente. Les chevaux piaffaient, Shadd se plaignait de courbatures, ser Wendel réclamait son arc. Elle les aurait volontiers envoyés au diable, eux et les autres. De braves types, certes, et loyaux, tous, mais elle avait autant de satiété de leur compagnie que faim de celle de ses enfants. Un jour, se promit-elle, un jour, elle s’accorderait ce

s'échappa de sa poitrine : il balbutiait, il ricanait sous les larmes claires qui lavaient sa figure ; puis il saisit par les anneaux un canthare tout plein, le leva droit en l'air au bout de ses bras d'où pendaient des chaînes, et alors regardant le ciel et toujours tenant la coupe, il dit : - « Salut d'abord à toi, Baal-Eschmoûn libérateur, que les gens de ma patrie appellent Esculape ! et à vous, Génies des fontaines, de la lumière et des bois ! et à vous, Dieux cachés sous les montagnes et

Loup120 V, 9 Le Laboureur et ses Enfants121 V, 10 La Montagne qui accouche122 V, 11 La Fortune et le jeune Enfant123 V, 12 Les Médecins124 V, 13 La Poule aux oeufs d'or125 V, 14 L'Ane portant des reliques126 V, 15 Le Cerf et la Vigne127 V, 16 Le Serpent et la Lime128 V, 17 Le Lièvre et la Perdrix129 V, 18 L'Aigle et le Hibou130 V, 19 Le Lion s'en allant en guerre131 V, 20 L'Ours et les deux Compagnons132 V, 21 L'Ane vêtu de la peau du lion133 LIVRE VI135 VI, 1 Le Pâtre et le Lion136 VI

masques fabuleux Aux pieds des chevaux de police, les mangues de l'amour rouler des maisons basses. Et j'ai vu le long des trottoirs, des ruisseaux de rhum blanc des ruisseaux de lait noir dans le brouillard bleu des cigares. J'ai vu le ciel neiger au soir des fleurs de coton et des ailes de séraphins et des panaches de sorciers.  Écoute New York ! ô écoute ta voix mâle de cuivre ta voix vibrante de hautbois, l'angoisse bouchée de tes larmes tomber en gros caillots de sang

plus. Alors il appela Ésaü, son fils aîné et lui dit : Mon fils ! Et il lui répondit : Me voici ! 2 Isaac dit : Voici donc, je suis vieux, je ne connais pas le jour de ma mort. 3 Maintenant donc, je te prie, prends tes armes, ton carquois et ton arc, va dans les champs et chasse-moi du gibier. 4 Fais-moi un mets comme j’aime et apporte-le-moi à manger, afin que mon âme te bénisse avant que je meure. 5 Rebecca écouta ce qu’Isaac disait à Ésaü, son fils. Et Ésaü s’en alla dans les champs, pour

il me feint Qu’importe des raisons, c’est avec celle ci Que je fais le meilleur vin. » Le tournesol debout Son maître est parti Mais il perpétue sa volonté Non pour impressionner, Ses semblables sont têtes en bas Mais par simple envie de ciel. Sortant dans les mêmes temps Que le chasseur d’ombre. La colombe venue d’un arbre M’annonce la nouvelle : « Ne donne pas d’importance Aux beuglements de l’abruti La paix j’abrite Rouge je suis, quand mon envol Est en plein soleil »

NATURE 304 Qu’est-ce qui crée(nt) les vagues dans la mer ? A. Le vent B. Les brise-lames C. Les bateaux NATURE 242 Le bambou appartient à la famille des : A. Graminées B. buissons C. arbres NATURE NATURE 249 L’arc-en-ciel comporte 7 couleurs. Laquelle n’y est pas présente ? Qu’est-ce qu’un méandre ? NATURE 256 Une grande partie de la surface terrestre est recouverte d’eau. Le plus grand de tous les océans est : A. L’océan Atlantique B. L’océan Indien

vermeil de la douloureuse mère C'est l'arbre toujours touffu de toutes les prières C'est la double potence de l'honneur et de l'éternité C'est l'étoile à six branches C'est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C'est le Christ qui monte au ciel mieux que les aviateurs Il détient le record du monde pour la hauteur Pupille Christ de l'œil Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l'air Les diables dans les abîmes lèvent la tête pour le

de l’Amazonie. C’est lui qui, une nuit, par ses récits débordants de magie, m’a révélé certains détails de son monde vert inconnu que j’ai utilisés plus tard, en d’autres confins du monde équatorial, pour construire cette histoire. L.S.1         Le ciel était une panse d’âne gonflée qui pendait très bas, menaçante, au-dessus des têtes. Le vent tiède et poisseux balayait les feuilles éparses et secouait violemment les bananiers rachitiques qui ornaient la façade de la mairie. Les quelques habitants

Pl. I, p. 195. 66. Ibid., p. 193. 67. Ibid., p. 195. 68. Cf. A. Fairlie, Baudelaire. Les Fleurs du Mal, p. 39 et suiv. 69. Cf. T. Bassim, La Femme dans l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne