Serpent des blés

désigner Cerbère, le chien à trois têtes gardien des Enfers. Méduse est l’une des trois Gorgones, monstres aux têtes entourées de serpents et aux yeux étincelants, qui pétrifient ceux qu’elles regardent. Le chien Cerbère, fils d’Échidna et de Typhon, est un descendant de Méduse. Il a trois têtes, une queue terminée par un serpent, et un dos hérissé de têtes de serpents (bref, il n’est pas vraiment beau…). "dans les régions supérieures"  : C'est-à-dire sur terre, à

II. • DEIPHOBE : Dans la mythologie grecque, Déiphobe est un prince troyen, fils de Priam et d'Hécube. Combattant dans la guerre de Troie, il fait partie de l'attaque contre le mur dressé par les Achéens. Il tue Hypsénor et Ascalaphe avant d'être blessé par Mérion. Il est le frère préféré d'Hector, c'est pourquoi Athéna imite son apparence pour entraîner le prince troyen dans un duel funeste contre Achille. Quand Philoctète tue Pâris, il rivalise avec son frère Hélénos pour la main d'Hélène, et l'emporte

les terribles moires sont mises en échec 1. Qui fait croire aux moires que l’enfant d’Alcmène est né ? 2. Que va-t-il lui arriver ? 3. Que fait Héra pour se débarrasser des enfants d’Alcmène ? 4. Que va alors faire Héraclès ? Hercule étouffant les serpents Rothschild 5. Que veut savoir Thésée à propos d’Héraclès ? 11 – Où l’on découvre comment Héraclès devint immortel 1. Qui Alcmène abandonne dans un champ de cailloux ? 2. Qui trouve un bébé ? 3. Qui va allaiter l’enfant ? 4. Que va créer Héra avec

………………………………………………………………………………………… ………….…………………………….…………………..………………………….. ……………………….………………………………......………………………….. ………….…………………………………………………………………………….. ………………………………………………………….……………………….....… Adjectifs proposés pour le Petit Prince : cheveux couleur des blés, jeune, visage parfait, peau pâle, silhouette élancée juvénile, courageux, sympathique, petit, curieux, mystérieux, mélancolique, cache-nez couleur or, mèches de cheveux bouclées, besoin d’un ami, amoureux de la rose, magnifique costume, fragile

son chemin et arrive dans les environs de Thèbes où sévit le monstrueux Sphinx. Il dévore les passants incapables de découvrir l’énigme qu’il pose. Œdipe, n’ayant rien à perdre, se présente devant cet être hybride, au corps de lion, à la queue de serpent aux ailes d’aigle et à la tête de femme. Le Sphinx lui demande quel animal a quatre pattes le matin, deux à midi et trios le soir et Œdipe répond : « L’homme ». Dépité, le monstre va se jeter du haut d’un rocher escarpé. Œdipe est accueilli en triomphateur

d'autres écartent le hibou qui ne cesse toute la nuit de faire entendre ses cris lugubres, surpris de voir nos esprits légers.—Chantez maintenant pour m'endormir ; et après, laissez-moi reposer, et allez à vos fonctions. CHANSON. PREMIÈRE FÉE. Vous, serpents tachetés au double dard, Épineux porcs-épics, ne vous montrez pas. Lézards, aveugles reptiles, gardez-vous d'être malfaisants, N'approchez pas de notre reine. CHOEUR DE FÉES. Philomèle, avec mélodie Chante-nous une douce chanson de berceuse

Sambre et Meuse» créé par Robert Planquette en 1867. Notre avant-dernier poème est une oeuvre d’Arthur Rimbaud (1854-1891).Le «Dormeur du val», un des poèmes des cahiers de Douai. Le tableau que j’ai choisi pour illustrer ce poème est «L’homme blessé» de Gustave Courbet (1844-1854) exposé au musée d’Orsay à Paris et avec comme accompagnement musical, la «Sonate au clair de lune» de Ludwig van Beethoven. Le dernier de nos six poèmes est un poème de Paul Eluard, «La victoire de Guernica» écrit

amènent l'enchanteur à s'étendre conscient dans son tombeau et à y mourir. Alors, de toutes parts s'acheminent les animaux réels ou fantastiques, ses amis, toute la faune magique et ensorcelante, démoniaque et charmeuse, d'hydres, de crapauds, de serpents, de corbeaux et de monstres, avec leurs paroles d'humains, leurs désirs, leurs rêves et leurs cruautés d'homme. Le monstre Chapalu se confie : «Je suis solitaire, j'ai faim, j'ai faim ; cherchons à manger, celui qui mange n'est plus seul.» Les guivres

................................................................................18 SED NON SATIATA..............................................................................................................................................19 LE SERPENT QUI DANSE....................................................................................................................................20 UNE CHAROGNE..........................................................................................

les jardins d'Hamilcar." (Gustave Flaubert, Salammbô, 1862.) b. L'allitération L'allitération est la répétition de sonorités consonantiques (consonnes) identiques ou voisines à l'intérieur d'un même groupe de mots. Exemple : "Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?" (Jean Racine, Phèdre, 1677.) c. La paronomase La paronomase consiste à rapprocher des mots de sens différent mais de sonorités voisines. Boudier Aurélien - 2nde B - Page 4 Les figures de styles, "L'albatros" de Baudelaire