Servage

libre est une personne juridique (libre disposition de sa personne et de ses biens) tous les hommes libres ont les mêmes droits mais différences de faits = il y a différentes classes sociales : catégories intermédiaires et classes émergentes (servage) A / LES HOMMES LIBRES DANS LA SOCIETE FRANQUE - principe : tous les hommes libres sont égaux mais différences de faits et différences juridiques . inégalités aristocrates/petites gens a) L’ARISTOCRATIE - si tous les hommes sont égaux : ni

volontaire des peuples L’homme n’ayant aucune connaissance de la liberté ou du servage, si on le lui demande, choisira d’écouter sa raison plutôt que de servir un autre homme. Il finira par choisir la liberté irrémédiablement. Pour qu’in homme préfère être assujettis plutôt que libre, il doit soit y être contrains par la force des armes, soit avoir été dupé. Une autre raison à la docilité d’un individu dans le servage est qu’il ne fait que réappliquer ce que son père faisait avant lui. Lorsque l’on

révoltes populaires dans ces pays. Ces interventions dirigées contre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes valent à Nicolas Ier le surnom de « gendarme de l'Europe ». Nicolas 1er voulait procéder à des réformes, entre autres du droit de servage qui donnait des droits immensses aux nobles sur leurs paysans (serfs), mais il renoncera à la plupart de ses réformes pour plutôt continuer à policer l'Europe. Pendant le règne de Nicolas 1er, le gouvernement décourage la liberté de pensée et l'initiative

soumise à des charges importantes, ce qu’on appelle en droit des incapacités ( ex : le serf ne peut se marier en dehors de la ppté de son maître, il n’a pas la pleine ppté de son patrimoine). Les charges sont le plus souvent des impôts en nature. Le servage va avoir tendance à diminuer à partir du 13ème siècle notamment en raison du renouveau économique, ce sont des siècles d’embellies éco, ce qui va assouplir le régime juridique de la servitude. On observe à cette époque des affranchissements : le seigneur

puristes apprécieront la précision verbale, la rigueur de la langue, la syntaxe impeccable avec comme visée première, l’ambition d’affirmer le style, contre les périls qui nous menacent : le nivellement par le bas, la panne de la transmission, le servage progressif des esprits. La primauté du style est ici synonyme d’éthique, résistance contre le tout à l’égout, promotion d’un modèle d’excellence à seule fin de revitaliser l’esprit public et le sens civique, combat contre la fracture des générations

plongé. Avec la libération des Tibétains de l’impérialisme occidental, la libération du peuple du servage dans lequel il était plongé est un des arguments majeurs qu’utilisa le gouvernement chinois pour légitimer l’usage de la force au Tibet. Ainsi peut-on lire dans le livre blanc sur la souveraineté chinoise la description suivante : « Avant la libération pacifique du Tibet sévissait dans la région le servage féodal, les bonzes de la couche supérieur et les aristocrates exerçaient une dictature (…).

entendu, aucun Droit du travail. C'est le régime de l'esclavage. Les esclaves représentent une grande partie de la population et ne jouissent d'aucune liberté. Au cours du moyen âge la situation des esclaves s'est toutefois un peu améliorée : le servage remplace esclavage et l'homme libre peut "louer son travail" conformément aux usages en vigueur. 2 -- Sous l'ancien régime : Du XIe siècle à la révolution les corporations fournissent le cadre principal de l'activité économique. Tous les membres

mettent en place de grandes exploitations mécanisées. En Italie, surtout au sud dominent les latifundia, immenses propriétés le plus souvent d’aristocrates,qui emploient des brassiers ou manouvriers. En Russie, la même caricature se retrouve. Si le servage a été aboli en 1861, les conditions de la paysannerie ne s’améliorent guère. Les moujiks (paysans indépendants) restent sous la dépendance de la communauté du village, qui tous les 9 ans environ redistribuent les terres. L’essentiel des terres restent

doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Amis de la science et de la volupté, Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ; L’Érèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ; Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques Et des parcelles d’or

précise le doyen, la femme africaine traditionnelle n'est rien de moins qu'une esclave, soumise au dispositif marital et privée de tout droit. Le travail de la femme en Afrique, explique Mr Diop, n'est pas ce qu'en pensent les Européens c'est-à-dire un servage mais, un travail spontanément accepté, librement consenti. Mieux, la condition féminine, en Afrique traditionnelle, poursuit-il, n'est pas non plus dégradante car la société a toujours placé la femme sur un piédestal. D'ailleurs la succession au trône