Seul Est Vraiment Libre L Homme Qui Ne Possède Rien

c'est que Don Miguel n'est pas seulement un homme de pouvoir, mais un homme d'amour. Et c'est précisément son amour inconditionnel et permanent qui rend son pouvoir intangible. Mais je ne pouvais pas encore saisir cette évidence, encore prise dans la dualité du gentil/méchant, fort/faible, etc. Je n'avais pas d'expérience humaine de cette énergielà. Lorsque je le rencontrai dans la maison où il habitait avec Gaïa, sa femme américaine, je vis un homme assez menu, presque plus petit que moi, à la

Rostand -  "La naissance d'une oeuvre n'est pas la prise de conscience d'une expérience : elle est la renconte d'une voix." Gaétan Picon -  "Tout homme qui aurait conscience de ses actes ne pourrait pour rien au monde presser du doigt la détente d'un fusil." Henry Miller -  "Je ne sais pas ce qu'est la conscience d'un sot, mais celle d'un homme d'esprit est pleine de sottises." Paul Valéry -  "De bons amis, de bons livres et la conscience somnolente, voilà  le secret du bonheur." Mark

industrialisation et menottes sur la couverture, à la façon d’Andy Warhol, donc thème de l’art contemporain et de l’enlèvement. La quatrième de couverture : résumé apéritif, critique positive, photo et biographie de l’auteur. Couverture Pocket : homme cagoulé (enlèvement), couleur un peu flash, rose (cela rend le roman plus léger) Impressions par rapport au livre, questions, hypothèses… 2. Pendant la lecture Informations générales : Signification du titre et de la couverture Rapport à la

fragments de la liasse « ennui ». II- Plan à concevoir Une vision très pessimiste de l’homme, notamment dans ces liasses : (cf Pascal marqué par le jansénisme, homme créature déchue, incapable d’œuvrer à son salut et que seule peut racheter grâce suffisante de Dieu, Homme ne peut rien ; Dieu peut tout) 1-Homme est vain : il s’attache à ce qui est vide ; il est lui-même vide car changeant et inconstant. • L’homme s’attache à la vanité, c’est-à-dire à de faux biens, à des biens

moi-même, c’est-à-dire celui qui est à la fois comme moi et autre que moi, un moi qui n’est pas moi (pour reprendre Sartre). Rencontrer autrui, cela suppose donc d’une part la vie en communauté ; mais d’autre part, comme je ne saurais être moral tout seul, la moralité elle-même suppose la rencontre d’autrui. Autrui désigne l’autre, en tant qu’il est cependant mon semblable. Autrui est un alter ego, c’est-à-dire à la fois un autre moi, et un autre que moi. C’est cet entrelacement du même et de l’autre

devoirs, on peut craindre, ne pensez-vous pas, que son ignorance soit inconfortable ? Imaginez l’homme de Cro-Magnonpensionnaire à la tour de Babel ! Il y souffrirait de dépaysement, au moins. Mais non, celui-ci ne sent pas son exil, il va son chemin, rien ne l’entame. Une des rares phrases que j’aie entendues de sa bouche proclamait que c’était à prendre ou à laisser. Que fallait-il prendre ou laisser ? Sans doute, notre ami lui-même. Je vous l’avouerai, je suis attiré par ces créatures tout d’une pièce

maléfique. « Céder à un désir » donc on cède à un désir il y a donc expérience de dépossession, impuissance. Comme Ulysse avec le champs des sirènes (incapable de résister à la tentation, donc il s’attache au mat car il sait quil ne pourra jamais rien faire contre son désir). -Il y a des bons et des mauvais désir. Montaigne dans les essais considère qu’il y a trois niveaux dans l’hédonisme (recherche du plaisir) : 1ER NIVEAU : l’hédonisme de nécessité (satisfaction des besoins animaux : manger

nature. Ainsi pourra-t-on entendre dire qu'on aimerait être libre comme un animal, ou libre comme le vent ou l'air. Sont donc proposés ici des symboles naturels de la liberté : - l'animal, supposé représenter la liberté de par l'absence de contraintes sociales dans le déroulement de sa vie, la spontanéité de son action, et la simplicité de ses comportements. - l'air ou le vent, supposés représenter la liberté de par leur force que rien ne peut contraindre ni arrêter, qui vole au-dessus de tous

bénéfiques lorsqu’elles sont gardées dans des proportions raisonnables. C’est en imposant des règles que l’homme est plus libre dans un état. En effet la Déclaration des Droits de l’Homme présente dans la Constitution de la plupart des pays mentionne bien que la liberté doit être régis par certains principes pour que tout le monde puissent en jouir : chaque être humain possède une série de droits et de devoirs. C’est ce que Rousseau appelle le « contrat social ». Il considère que la liberté est inaliénable

est-il réalisable ? N'y a-t-il pas une contradiction implicite entre l'assouvissement de tous les désirs et la notion de règle ? Vivre en société, c'est, en effet, apprendre à renoncer à certains de ses désirs. Par exemple si je désire ce que l'autre possède, et que je ne tiens pas à y renoncer, alors j'entrerai avec lui dans une relation conflictuelle: il sera mon rival voir mon ennemi. b) Etre moral c'est aller contre mes premiers désirs. La morale est en contradiction avec le principe de plaisir. Paul