Severine La Bete Humaine

haines du régiment, pour l’instant le maître monde. Celui qui parle de l’avenir et un coquin, c’est l’actuel qui compte. Invoquer sa postérité, c’est faire un discours aux asticots. Dans la nuit du village de guerre, l’adjudant gardait les animaux humains pour les grands abattoirs qui venaient d’ouvrir. Il est le roi l’adjudant ! Le Roi, de la Mort ! Adjudant Cretelle ! Parfaitement ! On ne fait pas plus puissant. Il n’y a d’aussi puissant que lui qu’un adjudant des autres, en face. Rien ne restait

haines du régiment, pour l’instant le maître du monde. Celui qui parle de l’avenir est un coquin, c’est l’actuel qui compte. Invoquer sa postérité, c’est faire un discours aux asticots. Dans la nuit du village de guerre, l’adjudant gardait les animaux humains pour les grands abattoirs qui venaient d’ouvrir. Il est le roi l’adjudant ! Le Roi de la Mort ! Adjudant Cretelle ! Parfaitement ! On ne fait pas plus puissant. Il n’y a d’aussi puissant que lui qu’un adjudant des autres, en face. Rien ne restait

l’instant le maître monde. Celui qui parle de Voyage au bout de la nuit l’avenir est un coquin, c’est l’actuel qui compte. Invoquer sa postérité, c’est faire un discours aux asticots. Dans la nuit du village de guerre, l’adjudant gardait les animaux humains pour les grands abattoirs qui venaient d’ouvrir. Il est le roi l’adjudant ! Le Roi de la Mort ! Adjudant Cretelle ! Parfaitement ! On ne fait pas plus puissant. Il n’y a d’aussi puissant que lui qu’un adjudant des autres, en face. Rien ne restait

haines du régiment, pour l’instant le maître monde. Celui qui parle de l’avenir et un coquin, c’est l’actuel qui compte. Invoquer sa postérité, c’est faire un discours aux asticots. Dans la nuit du village de guerre, l’adjudant gardait les animaux humains pour les grands abattoirs qui venaient d’ouvrir. Il est le roi l’adjudant ! Le Roi, de la Mort ! Adjudant Cretelle ! Parfaitement ! On ne fait pas plus puissant. Il n’y a d’aussi puissant que lui qu’un adjudant des autres, en face. Rien ne restait

Dans les cirques, les os craquent sous la dent des bêtes. À trois ans, Quirique, que le Saint-Esprit fait parler comme un homme, souffre le martyre. Des enfants à la mamelle injurient les bourreaux. Un dédain, un dégoût de la chair, de la loque humaine, aiguise la douleur d'une volupté céleste. Qu'on la déchire, qu'on la broie, qu'on la brûle, cela est bon; encore et encore, jamais elle n'agonisera assez; et ils appellent tous le fer, l'épée dans la gorge, qui seule les tue. Eulalie, sur son bûcher

aux convulsions inhérentes à leur époque. En tant que médium, le cinéma interpelle en effet tous les mécanismes d’interprétation et d’agissement de l’individu et couvre pour ainsi dire tous les aspects tant de la présence que de la conscience humaine. Soit donc un vaste champ qui sollicitera l’homme dans toutes ses obsessions : « Pris dans son ensemble, le cinéma est d’abord un fait, et comme tel il pose des problèmes à la psychologie de la perception et de l’intellection, à l’esthétique théorique

l'impétuosité d'une écluse qui s'ouvre ou d'une femme qui prend son parti, vous connaissez donc ce soldat qui va jouer le rôle de madame la Vierge dans le mystère? —Vous voulez dire le rôle de Jupiter? reprit l'anonyme. —Hé! oui, dit Liénarde, est-elle bête! Vous connaissez donc Jupiter? —Michel Giborne? répondit l'anonyme; oui, madame. —Il a une fière barbe! dit Liénarde. —Cela sera-t-il beau, ce qu'ils vont dire là-dessus? demanda timidement Gisquette. —Très beau, madamoiselle, répondit l'anonyme

qui s’ouvre ou d’une femme qui prend son parti, vous connaissez donc ce soldat qui va jouer le rôle de madame la Vierge dans le mystère ? – Vous voulez dire le rôle de Jupiter ? reprit l’anonyme. – 37 – – Hé ! oui, dit Liénarde, est-elle bête ! Vous connaissez donc Jupiter ? – Michel Giborne ? répondit l’anonyme ; oui, madame. – Il a une fière barbe ! dit Liénarde. – Cela sera-t-il beau, ce qu’ils vont dire là-dessus ? demanda timidement Gisquette. – Très beau, madamoiselle, répondit

photographie. À plus grande vitesse que les images, Paris, RMN, 1995. B BALDASSARI Anne, « Corpus ethnicum : Picasso et la photographie coloniale », in B ANCEL Nicolas, BLANCHARD Pascal, BOËTSCH Gilles, DEROO Éric, LEMAIRE Sandrine (dirs), Zoos humains. De la Vénus hottentote aux reality shows, Paris, La Découverte, 2002.  B ALDWIN Kate A., Beyond the Color Line and the Iron Curtain. Reading Encounters Between Black and Red (1922-1963), Durham, Duke University Press, 2002. B ALIBAR Étienne, Droit

La faute de l’abbé Mouret. 6. Son Excellence Eugène Rougon. 7. L’assommoir. 8. Une page d’amour. 9. Nana. 10. Pot-Bouille. 11. Au Bonheur des Dames. 12. La joie de vivre. 13. Germinal. 14. L’œuvre. 15. La terre. 16. Le rêve. 17. La bête humaine. 18. L’argent. 19. La débâcle. 20. Le docteur Pascal. 3 Le rêve Édition de référence : Éditions Rencontre, Lausanne. 4 I Pendant le rude hiver de 1860, l’Oise gela, de grandes neiges couvrirent les plaines de la basse Picardie