Sevrage

émotionnelle. Puis, sa situation avec Gervaise se détériore : il devient arrogant et se met à la battre. Plus tard. Coupeau finit par mourir de folie. nous verrons qu’il sombre dans le Delirium Tremens (conséquences neurologiques sévères du syndrome de sevrage d’alcool auquel il est soumis à l’hôpital St Anne), et ceci devient le passage le plus célèbre du roman, tellement il est décrit de manière détaillée et élaborée par Zola -Claude et Étienne Lantier : Les deux fils de Gervaise. -Anna Coupeau

dépendance physique : elle se manifeste par un syndrome de sevrage lors de l'arrêt du médicament. Quand cette dépendance apparaît, le sevrage s'avère indispensable et doit être progressif pour éviter le syndrome de sevrage (exacerbation de l'insomnie, anxiété, troubles de l'humeur, asthénie, douleurs abdominales, nausées, crampes musculaires, tremblements, température, modifications de la tension artérielle). Le syndrome de sevrage est moins fort et moins intense avec les benzodiazépines qu'avec

feuilles du coca (arbre) Consommation : Inhalation, injection Principaux effets : stimulation, hallucinations possibles, euphorie Durée de l'effet : +- 2 heures Dépendance physique : Possible Dépendance psychologique : très forte Syndrome de sevrage : Dépression, désorientation, hallucinations Le Cannabis Termes du milieu : Mari, Marie-Jeanne, Joint, Weed Pot, Grass, Tea, Gazon Description : Substances des feuilles d’une plante ( Cannabaceae ) Fabrication : A partir de feuilles

respiratoires chroniques) * Risque d’effet rebond à l’arrêt du traitement (dépendance) * Surdosage b) Indications : -> Toutes formes d’anxiété Chez l’alcoolique : * sédation dans l’intox. Aigue * prévention du syndrome de sevrage TRT (durée du traitement) des épisodes convulsifs (Valium, Rivotril) Douleurs (Xanax, Rivotril) Dystonies musculaires TRT d’appoint des toxicomanies (Buspar), mais risque de nouvelle dépendance ( Rohynol, Tranxène 50) c) Contre-indications :

toerance. 2/ Le syndrome de sevrage a la morphine. Le sevrage correspond au fait d’arrêter la prise de morphine lorsqu’une dépendance s’est installée. Cet arrêt peut conduire à des troubles comportementaux physiques et psychologiques appelés syndrome de sevrage. Le sevrage correspond ainsi a une privation de morphine dans le cas ou une dependance se serait installée. Le syndrome de sevrage se fait ressentir environ 6 à 8 heures après la dernière prise. Le sevrage disparait généralement une semaine

le risque de cancer du sein et une intoxication chronique peut être source de stérilité chez la femme. * Le traitement : Cesser de boire totalement (le sevrage) est une étape obligatoire vers la guérison. Beaucoup de patients la redoutent : ils ont déjà essayé, et souvent à plusieurs reprises, seuls ou pas, sans réussite. Ce sevrage ne réglera pas tout, ce n'est qu'un premier pas, indispensable certes, mais la finalité doit être le maintien au long cours de l'abstinence d'alcool, condition

la dépendance à des produits comme l'alcool, le tabac ou les psychotropes. II LES SOLUTIONS PROPOSEES POUR RESOUDRE CES ADDICTIONS L'exemple de la toxicomanie : Le traitement vise d'abord l'abstinence pour le toxicomane, grâce à un sevrage obtenu par différents moyens, avec ou sans traitement de substitution, en milieu hospitalier ou ambulatoire, avec ou sans soutien d'une psychothérapie. Ces modalités concernent essentiellement les personnes dépendantes aux opiacés jusqu'aux années

terme (ivresse cannabique): -Euphorie, confusion, extase et un retour à la normale avec sommeil profond -Illusions et hallucinations -Excitation psycho motrice A long terme: -Endommage les poumons et le cerveau Dépendance psychique +/- Syndrome de sevrage *Signes psychiques: Colère ou agressivité, anorexie, irritabilité, nervosité, impatience, insomnie, frissons, humeur dépressive *Les symptômes physiques et neurovégétatifs: mydriase, irritation conjonctivale, bradycardie, tachycardie, sueurs, hypotension

réactions paradoxales chez certains sujets: irritabilité, agressivité, tension, agitation, troubles du comportement, modifications de la conscience, - dépendance physique et psychique, même à doses thérapeutiques (voir mises en garde) avec syndrome de sevrage ou de rebond à l'arrêt du traitement, - éruptions cutanées, prurigineuses ou non - modifications de la libido. Surveillance: Surveillance de la prise du médicament, éducation thérapeutique du patient, surveillance des effets indésirables

Physique : Se manifeste à l'arrêt brusque Manifestations psychiques ou somatiques Agitation, irritabilité, accès d'angoisse, hallucinations, désorientation, troubles digestifs, céphalées, crampes, douleurs musculaires…. Syndrome de sevrage ou état de manque Toxicomanie : dépendance + perturbation des relations affectives ou sociales Substances toxicomanogènes 33 Hallucinogènes : LSD Enivrants : alcool, cannabis Opiacés et dérivés : morphine, héroïne Excitants : cocaïne