Sganarelle Comique Ou Tragique

pièce : - Une nouvelle écrite en 1622 par Charles Sorel, intitulée Olynthe. - Les personnages sont directement importés de la commedia dell’arte, de Scaramouche et ses comparses. Le vieil homme amoureux et avare incarné par Pantalon devient Sganarelle. - Le dénouement serait inspiré du Pédant joué de Cyrano de Bergerac (vers 1645) Au lecteur « Ce n’est ici qu’un simple crayon, un petit impromptu dont le Roi a voulu faire un divertissement […]. « il a été proposé, fait, appris et représenté

A) L'énonciation -Dom Juan (DJ) s'adresse à son valet Sganarelle. Le "tu" est présent seulement dans la 1ère phrase: "tu veux" puis DJ parle longuement sans interpéler son interlocuteur = On dirait qu'emporté par son discours, il l'oublie. -En réalité, cette tirade s'adresse aux spectateurs (=double énonciation du théâtre), elle est destinée à mettre en valeur le personnage qui trace son portrait en contraste avec celui fait par Sganarelle dans la scène antérieure. -Il utilise en un deuxième temps

toujours été : pas de repentir, il affronte courageusement la mort. Refus de la peur et de la soumission  symbole de l’homme révolté (= mythe) 2. Sganarelle : reprise de la figure du poltron, S. toujours caractérisé par la peur (« Entendez-vous, Monsieur », « Ah ! Monsieur », « O Ciel ! », « Ah ! Monsieur »). Contrepoint comique du personnage (comique de caractère et de mots : « c’est un spectre, je le reconnais au marcher » + « Mes gages ! Mes gages ! »). S. accepte le merveilleux immédiatement :

particulier? Plan: I-Apologie du Tabac 1) Objet de l'éloge 2)Les vertus du tabac 3) Valeur symbolique de l'évocation du tabac II- Renseignements de la scène d'exposition 1)Elements concernants l'action 2)Portrait du héros éponyme 3)Portrait de Sganarelle Dévelopement du Plan: I-Apologie du Tabac N'a rien à faire dans une scène d'exposition est semble superflue 1) Objet de l'éloge Didascalie d'ouverture: tabatière *Sg. au public: «vous» = «tu»: Gusman *vers 1 à 12 : 3 «tabac»+ pr

fait le maître d’oeuvre, analogue en cela au metteur en scène ou à l’auteur. 2. Le déguisement est un moyen de créer des quiproquos, ce que montre la double méprise mise en scène dans le texte B. Il s’agit là d’un ressort amusant qui relève du comique de situation. Un instrument de manipulation : le déguisement est aussi un instrument de ruse et de manipulation il s’agit de tromper l’autre sur ce qu’on est réellement de le piéger, de prendre sur lui une revanche ou de le faire parler, de l’obliger

TEXTE 1 Dom Juan, Acte I, scène 1 Parodie d’éloge (genre noble). L’action se situe dans un palais ->TRAGIQUE Mais les personnages sont des valets. Sujet : tabac -> fait référence à la tradition humaniste : faire l’éloge ironique d’objets qui n’en sont pas dignes. -> COMIQUE Sg se prend pour un savant : - Tirade (IMITATION DU MAÎTRE) - référence aux philosophes antiques. EX : Aristote mais référence farfelue car inexistant à son époque - ton sentencieux : « qui vit sans tabac n’est pas digne

savantes de Molière, permet de démasquer Trissotin, rendant ainsi possible le mariage de Clitandre et d'Henriette. Le dénouement : Marque la fin de l'intrigue, la résolution du conflit. Il varie en fonction du genre de la pièce : dénouement comique (heureux), tragique. Exemples : Le dénouement du Tartuffe (1664) de Molière, qui repose sur l'intervention d'un personnage extérieur à l'action - le roi - a souvent été jugé comme une faiblesse de la pièce. C'est en effet le roi qui révèle que Tartuffe est

Dom Juan «  Jean-Baptiste Poquelin » 1665 Le personnage de Dom Juan : Dom Juan, un jeune noble qui vit en Sicile avec son fidèle valet Sganarelle. Infidèle, c'est un séducteur qui accumule les conquêtes amoureuses. Il séduit tout ce qui croise sa route, les jeunes filles nobles comme les servantes. Libertin, blasphémateur, Dom Juan est un être totalement inconstant. Les femmes qu'il séduit sont ensuite bafouées sans vergogne. Aujourd'hui, Dom Juan est devenu un mythe littéraire : il incarne l'éternel

burlador de Sevilla. Probablement écrit avant 1620 et publiée en 1630, cette pièce est la première traitant du mythe de Don Juan. Jouée devant le roi en 1665, Dom Juan de Molière revêt une grande complexité. Oscillant entre moments tragiques et rebondissements comiques, il ressort que Dom Juan est un personnage insaisissable. Il est impossible de lui appliquer une seule définition. Le mot qui revient sans discontinuer pour parler du séducteur c’est inconstance. Dom Juan n’a pas une identité mais toutes

l’intérêt d’un philosophe tel que Aristote, o d’autant que le tabac n’était ni connu ni consommé dans l’Antiquité : en appeler à Aristote à propos du tabac relève de l’anachronisme... ⇨ Cet éloge place d’emblée la scène dans un registre comique. • La structure d’un discours argumentatif. - Il commence, classiquement, par la réfutation des « adversaires » : « Aristote et toute la Philosophie », introduite par la conjonction de subordination quoique ouvrant la proposition circonstancielle