Sganarelle Libertinage

Exposée de français : Le libertinage du XVII° au XIX° siècle (comparaison entre Dom Juan et les héros libertin dans Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos) Introduction : Le terme libertin vent du latin « libertinus » qui signifie « esclave qui vient d’être affranchie ». Le libertinage se présente sous deux formes, le libertinage d’esprit et le libertinage des mœurs. Le libertinage est né en France au 16 ème siècle.

principaux Don Juan La duchesse de Vaubricourt Angélique de Chiffreville Le chevalier de Chiffreville La comtesse de la Roche-Piquet Mlle de La Tringle Hortense de Hauteclaire dite la religieuse Mme Cassin Sganarelle Marion Résumé par actes Acte 1 : Marion amène la comtesse dans une pièce défraichie. Celle-ci se demande pourquoi la duchesse l’a faite venir, toute affaire cessante, dans ce lieu. Qui est représenté sur le portrait qui semble la rendre

| |4 Les intentions de Molière | |5 Analyse de l'œuvre | |5.1 Dom Juan | |5.2 Sganarelle | |5.3 Les rapports maître-valet | |5.4 Dénouement | |6 Registre

Analyse de l'œuvre o 5.1 Dom Juan o 5.2 Sganarelle o 5.3 Les rapports maître-valet o 5.4 Dénouement * 6 Registres * 7 Répliques célèbres * 8 Adaptations * 9 Notes et références * 10 Voir aussi o 10.1 Articles connexes o 10.2 Liens externes o 10.3 Autres projets Personnages[modifier] * Dom Juan, fils de Dom Louis. * Sganarelle, valet de Dom Juan. * Done Elvire, femme de Dom Juan.

• L’athéisme : Consistant en la négation de l’existence de Dieu, on doit s’interroger sur l’attitude du héros qui passe son temps à défier et à provoquer le ciel (Don Juan : « Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit » Sganarelle : « Votre religion, à ce que je vois, est donc l'arithmétique ? ».), ce qui lui réservera une mort atroce, et sa damnation éternelle. • L’honneur : L’honneur est un principe moral qui régit la conduite des nobles

Scène 1 Introduction : - Dom Juan, 1665, au terme d'une période difficile marqué par les attaques du partie des Dévots et l'interdiction de Tartuffe (1664) : pièce qui s'attache à un phénomène social et culturel du XVII ème siècle : le libertinage - scène d'ouverture : * traditionnelle : délivre des informations * originale : car ces informations sont présentées par des personnages secondaires et se mêlent à une digression en apparence inutile. - scène d'exposition : elle fait entrer

* 4 Intentions de Molière * 5 Analyse de l'œuvre * 5.1 Dom Juan * 5.2 Sganarelle * 5.3 Les rapports maître-valet * 5.4 Dénouement * 6 Registres * 7 Répliques célèbres * 8 Adaptations * 9 Notes et références * 10 Voir aussi * 10.1 Articles connexes * 10.2 Liens externes * 10.3 Autres projets | Personnages[modifier] * Dom Juan, fils de Dom Louis. * Sganarelle, valet de Dom Juan. * Done Elvire, femme de Dom Juan. * Gusman, écuyer de Done

son valet. Dans le scène 1, Sganarelle a fait un portrait péjoratif de son maître mais face à lui, c’est avec timidité que le valet se risque à juger : « fort vilain d’arriver de tous côtés » en réponse à ses reproches, le libertin va se lancer dans un magistrale plaidoyer qui expose avec beaucoup d’éloquence les plaisirs de l’inconstance et de l’infidélité. En quoi ce texte fait-il l’éloge du libertinage ? Dans un 1er temps nous montrerons une apologie du libertinage et de l’infidélité puis un

une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au Théâtre du Palais-Royal. Personnages * Dom Juan, fils de Dom Louis. * Sganarelle, valet de Dom Juan. * Done Elvire, femme de Dom Juan. * Gusman, écuyer de Done Elvire. * Dom Carlos & Dom Alonse, frères de Done Elvire. * Dom Louis, père de Dom Juan. * Charlotte & Mathurine, paysannes. * Pierrot,

étant un grand seigneur libertin notamment dans les scènes 4-5 de l’acte V, lorsque Don Juan refuse de se repentir car il a commis un blasphème or cela est à l’époque symbole de libertinage. Il rejette toute autre moral philosophique que la sienne en suivant son propre désir et demande constamment des preuves. C’est le libertinage de pensée de Don Juan. Nous retrouvons d’autres par la liberté de Don Juan dans le texte de Marcel BUWAL, car pour lui « le cheval était aussi signe de l’itinéraire de Don Juan