Sganarelle Libertinage

comme un libre-penseur opposé au conformisme. D’ailleurs, ce-dernier ne respecte pas le sacrement du mariage auquel il est impératif de s’assujettir et abandonne son épouse Elvire pour séduire d’autres femmes. Dans l’extrait suivant, il s’adresse à Sganarelle : « Il n’est rien qui puisse arrêter l’impétuosité de mes désirs, je me sens un cœur à aimer toute la terre ; et comme Alexandre, je souhaiterais qu’il y eût d’autres mondes, pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. » Ici, la comparaison

d’Aurevilly : un Don Juan dandy ; entre romantisme et cynisme ; la mise en abyme du récit comme monstration du littéraire, propre au phénomène de la réécriture littéraire (les récits enchâssés, les références aux œuvres de Molière, à Faust …) ; un libertinage ridiculisé . Objectifs : faire percevoir aux élèves que les enjeux idéologiques varient selon l’époque d’écriture quand bien même il s’agit du même personnage, mais aussi que plus on avance dans le temps plus on s’oriente vers le pastiche

Principe du bonheur, à condition d’en rester le maître. Epicure renvoi a un libertinage érudit : «  qui ferme les oreilles a toutes les remontrances » «  qui traite de billevesées tous ce que nous croyons » Molière utilise adroitement un procédé qui consiste à mettre sur le même plan le ciel, les enfers qui représentent le bien et le mal et les superstitions religieuses. II. Portrait indirect 1. Les traits de Sganarelle . Bavard : spontané, il libère son cœur, franchise. Il n’est pas calculateur

Le libertinage érudit au 17ème siècle Sommaire : 1- Présentation du courant de pensée qu’est le libertinage au 17ème. 2- Présentation des principaux « Libertins » du 17ème en rapport avec Molière et son « Dom Juan ». 3- Conclusion. Qu’est-ce que le « libertinage » au XVIIème siècle ? Le « libertinage érudit », apparu dans l’Europe centrale au 16ème siècle en Italie, mais déjà bien avant en Grèce en -300 avant J.-C. dans l’école philosophique d’Epicure, se base sur la philosophie

de l’Acte I, dans lequel deux valets : Sganarelle , valet de Don Juan, et Gusman, valet de Don Elvire dialoguent. Le sujet de leur discussion porte sur le départ précipité de Don Juan et on en vient à un portrait du maître . lecture Problématique : nous étudierons « citez mot pour mot la question de l’examinateur ». Question 1 : porte sur la première tirade de Sganarelle. . Art de la rhétorique : Sganarelle montre qu’il sait parler. Sganarelle veut impressionner Gusman : il va faire

Séance n°3 DOM JUAN de Molière : Étude de l'Acte III a) Résumé de l’acte (6/8 lignes) L'acte trois s'ouvre sur Dom Juan et Sganarelle, déguisé, l'un en habits de campagne, l'autre en médecin, qui s'avèrent être en pleine discussion sur les biens faits de la médecine. Lors de cette promenade qui se déroule aux abords d'une ville et d'une forêts, tout deux croisent un pauvre. Celui-ci leurs confie alors qu'il passe ses journées à prier pour les bonnes âmes charitable

Tartuffe. Les scènes auxquelles nous allons nous intéresser sont les scènes finales; elles annoncent le dénouement où Dom Juan subit la sanction de tous ses libertinages. Nous allons tout d’abord nous intéresser à la représentation du surnaturel, puis à la réaction de Dom Juan devant ces faits, et pour finir à la réaction ambiguë de Sganarelle. Dans ces scènes, le surnaturel est symbolisé par le spectre ainsi que par la statue. Dans la scène 5, le spectre fait son apparition sous la forme d’une

Juan est une comédie en V actes, représentée pour la première fois en 1665. Un an après Tartuffe, pièce qui condamnait les faux dévots, Molière fustige à nouveau l’hypocrisie et la superstition avec Dom Juan, ressenti alors comme une apologie du libertinage. Le passage soumis à notre analyse constitue le dénouement de cette pièce ambiguë, à mi chemin entre la comédie et la tragédie, et fortement imprégnée du goût baroque de l’époque. Dans quelle mesure ce dénouement est-il original ? Nous constaterons

Les relations Don Juan/Sganarelle Dom Juan de Molière,a été écrit en 1665.Dom juan, le pesonnage principal, est connu comme un séducteur libertin qui aime séduire, tromper et se moquer des femmes qu'il considère comme des objets.Mais le personnage secondaire qu’est Sganarelle, son valet, est aussi très important , car il apparait autant que son maître dans la pièce. Nous pouvons nous demander quelles relations peuvent entretenir ce duo maitre-valet. I]Un valet proche de son maitre

une nouvelle métamorphose. Le double (2 aspects) -La complicité : relation de connivence profonde qui unit Don Juan et Sganarelle que l’on peut voir au cour de leurs échanges au ton naturel. Mais Sganarelle est un pseudo-double, qui met en valeur le caractère de son maître (= Saganarelle de Molière) Ex : Acte II DJ s’interroge sur son «moi», se demande qui il est ≠ Sganarelle qui croit se connaître avoue «Je suis plus complexe que je ne le croyais» -la duplicité : attitude de personnage qui joue