Sganarelle Libertinage

Confrontez le portrait de Don Juan tracé par Sganarelle dans la scène 1 à la réalité. Sganarelle commence à présenter Don Juan par une énumération peu élogieuse, « Le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un démon, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale ». C’est après cette présentation que Sganarelle commence à dresser le vrai portrait de Don Juan

didascalies soulignent le caractère merveilleux du dénouement. La première représentation du merveilleux vient avec l’apparition du spectre. Molière joue sur une représentation de l’enfer assez classique. Toutes ces manifestations extérieurs apeurent Sganarelle : il croit à ces manifestations du divin qui préfigure la vengeance du ciel. Il cherche un réconfort auprès de son maître. C’est par cette machinerie que les détracteurs de Molière ont pu s’apercevoir que c’était un faux dénouement et qu’il était

:Analyse dramatique Pièce en cinq actes et en prose, Dom Juan raconte les amours et la chute du héros éponyme. Don Juan est présenté dès l’exposition par Sganarelle comme un libertin* volage et inconstant. Il délaisse Elvire, son épouse, pour quelque autre belle récemment aperçue. À l’acte II, ses désirs, un moment contrariés, se reportent sur deux paysannes. Mais les frères d’Elvire, déshonorée, le poursuivent à l’acte III. À l’acte IV, Don Juan repousse M. Dimanche, son créancier, les sermons

1626) |Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre ces lois plutôt que de sa croyance aveugle en Dieu. Gassendi fournit une étude approfondie à ce sujet et ses leçons sont suivies en France par Cyrano de Bergerac et par Molière notamment. Parallèlement à ce libertinage d'idées,

héros de cette pièce Dom Juan, n’accepte aucune règle exceptée les siennes . Comment Dom juan serrât t’il punit de ses actes ? Tout d’abord nous allons parler de la réaction de Dom Juan devant ces faits. Et pour finir nous parlerons de Sganarelle. Dans ces scènes, le surnaturel est présent grasse à cette statue et se spectre. Dans la scène 5, le spectre fait son apparition sous la forme d’une femme voilée. Il représent ainsi toutes les femmes trompées au cours de la vie de Dom

pas avoir été éditée de son vivant. Pièce évoquant le libertinage, mouvement moral et philosophique du XVIIème siècle prônant une indépendance d’esprit totale vis-à-vis des valeurs établies, qu’elles soient religieuses ou sociales. Présentation et situation de l’extrait : On a vu Don Juan par les yeux de Sganarelle (qui critique ses moeurs) dans la scène 1. Dans la scène 2, on l’a écouté lui-même faire l’éloge du libertinage face à Sganarelle incapable de faire face à tant d’éloquence. La scène 3

Tartuffe triomphe, 1669 : Molière ajoute deux actes et un dénouement heureux) et surtout sur le costume de Tartuffe (1664 : un homme d’Église, 1669 : un homme du monde[38]). Molière vise donc le parti dévot, puissant à la cour, qui critique le libertinage des mœurs, le luxe, les fêtes, la politique de prestige et au besoin de guerre du début du règne. Et en particulier la Compagnie du Saint-Sacrement qui exerce une influence politique considérable et se recrute dans l’aristocratie (Conti), la bourgeoisie

cette époque, il existe 3 grands ordres : le Clergé, les Nobles et le Tiers-Etat. C’est Dom Juan qui incarne la noblesse avec son oisiveté sans pareille ainsi que ses ombreux privilèges qu’il utilise sans modération. Le tiers-état serait incarné par Sganarelle, le valet de Dom juan, car il dénonce toute l’injustice qu’il y a entre le tiers-état et les nobles. Le clergé est moins présent dans cette pièce que les deux autres ordres mais il peut être incarné par Done Elvire car elle a été élevée au couvent

théorie pus généreuse que Dom Juan, libertinage plus nuancé que DJ. Notion de Partage « on attends même pas qu’on en demande » Il s’agit d’un conflit amoureux « son cœur que mon maitre a su toucher ». On entre dans la scène d’exposition  « reprenons un peu notre discours ». Les valets présentent leurs maîtres : « mon maître », « ma maîtresse » ; on connait les relations entre les personnages. Ils se présentent en se nommant : « cher gusman », « Sganarelle » Dom Juan s’est mal conduit vis-à-vis

Découvrir un mythe. Problématique générale : Comment le personnage intemporel de Dom Juan est-il représenté et condamné dans une comédie classique du XVIIème siècle ? Lectures analytiques : L.A. 1 : Acte I, scène 1 : La tirade de Sganarelle (« Je n’ai pas grande peine… » à « […] que tu aurais menti ») L.A. 2 : Acte I, scène 2 : L’éloge de l’inconstance de Don Juan (« Quoi ? tu veux qu’on se lie au premier objet qui nous prend… » à « […] étendre mes conquêtes amoureuses ») L