Shawinigan Water and Power Company

est Shawinigan Water and Power Company qui construit une première centrale hydroélectrique en 1898 près du nord de Trois-Rivières. En 1901, deux compagnies montréalais, Montreal Gas Company et de la Royal Electric Company fusionnent pour former une seule industrie dirigée par Herbert Samuel Holt s’appelle la Montreal Light, Heat and Power Company. Le président Herbert Samuel Holt a fusionné les deux concurrents : le gaz et l’électricité, cela aide la compagnie de la Montreal Light, Heat and Power

la ‘Metaberoutin’. Elle parcourt 560 kilomètres et présente une dénivellation totale d'environ 405 mètres, pour finalement rejoindre le fleuve à Trois-Rivières. Plusieurs villes se trouvent sur cette rivière notamment Shawinigan, Trois Rivière etc... Elle a joué un grand rôle dans le développement de Shawinigan : Hydroélectricité, l’aluminium, les pates et papiers, en gros l’économie. Accident Géologique Il y a environ 11 mille ans un glacier venant du bouclier canadien a creuse une rivière et

La centrale thermique de Tracy est une centrale thermique au mazout lourd d'une capacité de 660 mégawatts construite à compter de 1962 par la Shawinigan Water and Power Company puis complétée par Hydro-Québec après l'étatisation des compagnies d'électricité au Québec. Mise en service entre 1964 et 1968, elle est située sur le bord du fleuve Saint-Laurent à Sorel-Tracy, une ville de la Montérégie au Québec. Utilisée principalement comme centrale de pointe, la centrale thermique de Tracy est particulièrement

de nationaliser les compagnies d’électricité pour redonner aux Québécois cette ressource renouvelable, il s’est d’abord buté à de profondes hésitations. Parmi les entreprises à acheter, la plus importante, la Shawinigan Water & Power, était détenue par Peter Thomson, de Power Corporation. Le même Peter Thomson gérait la caisse électorale du Parti libéral du Québec… Jean Lesage ne pouvait l’ignorer. Lors du Conseil des ministres du 29 mai 1962, le premier ministre a fait remarquer à

d’entreprises quelques-unes ont émergé pour former de puissants monopoles locaux : la Shawinigan Water and Power Company. En raison de l’abondance des ressource forestières et minières l’hydroélectricité s’impose. Les premières centrales hydroélectriques au Québec sont les suivantes : Central Montmorency, ouverte en 1885, celle de Saint-Narcisse, ouverte en 1896, celle de Lachine (1897), de Chambly (1898) et la central de Shawinigan 1, construite en 1901. L'histoire de l'électricité au Québec a connu deux étapes

nous la connaissons maintenant (à l’époque, il s’agissait de Northern Aluminum Company, Limited), nous avons le plaisir de publier une toute nouvelle version de ce document, compte tenu des nombreux événements qui ont façonné l’entreprise. En 1902, la filiale canadienne de la Pittsburgh Reduction Company (qui allait devenir Alcoa) est d’abord baptisée Northern Aluminum Company, Limited. Elle est renommée Aluminum Company of Canada, Limited (en anglais) en 1925. Lorsque Alcoa vend la plupart de ses

cas de questions 39 Ville de Trois-Rivières 40 Shawinigan Water and Power 47 Implantation d’Hydro-Québec 48 Le développement anarchique d’une industrie 48 La marche vers l’étatisation 48 Les premières réussites d’Hydro-Québec 48 La 2e étape de la nationalisation : les grands défis 49 Bref topo politique 49 Mer de Champlain 50 Autres usines de papier de la ville 51 St-Maurice Paper Cie 51 Wayagamack 51 St-Lawrence Pulp and paper 52 Édifice Pollack 53 Pont Duplessis 53

Ghana, West Africa », Ottawa, 30 décembre 1999, http://www.mini ngwatch. ca/cms/in cl ex. p ?/ghan a/Cana di a n _Gold_Mining> Ibid. 39 étaient de passage u pays en cette année 1999 pour un colloque intitulé, avec à-propos, Mining, Development, and Social Conflicts in Africa. « Nous sommes consternés par ce que nous avons vu. Dans l'ouest d u Ghana, des communautés ont été expropriées, des maisons et des écoles détruites, les sources d'eau douce ont été polluées et les populations n'ont plus

courantes, à qui il est plus difficile d’obtenir l’attention des gestionnaires supérieurs. • Mythe 2 : la population panique La croyance : La population est complètement désorganisée en situation de sinistre et a besoin d’être contrôlée (command and control). © 2005 – Presses de l’Université du Québec Édifice Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bureau 450, Sainte-Foy, Québec G1V 2M2 • Tél. : (418) 657-4399 – www.puq.ca Tiré de : La communication des risques, Sous la direction de Danielle Maisonneuve