Si C Est Un Homme Description

19ème, en 1834. La pièce On ne badine pas avec l’amour n’était pas destinée à être jouée au départ. Sa première représentation a été faite après la mort de Musset en 1861. Elle raconte sur un ton tragi-comique les amours compliqués de Perdican, jeune homme sorti des études, et de Camille, jeune fille sortie du couvent. Dans cette scène d'exposition, un chœur présente deux précepteurs : ceux de Perdican et Camille, deux jeunes gens brillants. Les paroles s'inscrivent dans un registre comique et suivent

J'ai pensé alors que je n'aurais pas dû lui dire cela. En somme, je n'avais pas à m'excuser. C'était plutôt à lui de me présenter ses condoléances. Mais il le fera sans doute après-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c'est un peu comme si maman n'était pas morte. Après l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classée et tout aura revêtu une allure plus officielle. L’incipit: Du début à « officielle. » Problématique: En quoi ce début dévoile à la fois le titre de l’œuvre

Cette façon de parler donne également un ton humoristique à certains passages « où il prenait généralement une prune, lorsqu’il rencontrait un ami » (l.16). Ce récit est pourtant de nature assez pathétique, car il décrit la vie misérable d’un pauvre homme, qui ne fait pas grand-chose hormis travailler sur son chantier, boire et trainasser dans les faubourgs. S’il fallait lire à haute voix ce texte, le ton serait surement ironique, car il confirme des faits idiots et stupides, voir immorales. Mais Couteau

____________________________________________________________ ___ Questions : 1) Etudiez comment s’effectue la présentation des personnages dans cet incipit. 2) Qu’apprenons nous sur M. Roland ? (caractère psychologique...) 3) Intérêt de réunir ces personnages dans une barque ? 4) Description comparée de Pierre & Jean. 5) Que signifie « manne » et « tolet » ? 6) Plan possible pour l’étude de cet extrait ? ____________________________________________________________ ___ Réponses : 1) La présentation des personnages dans

(il suffit de relire l’incipit de Jacques le Fataliste de Diderot, 1796). On comprend cependant que ce « vous » est le protagoniste, décrit un peu plus loin comme un homme (« homme habitué aux longs voyages ») d’âge moyen (« quarante-cinq ans »). Ces informations sont trop précises pour que le lecteur s’identifie complètement à cet homme. B – L’importance des sensations physiques Ce début in medias res propulse directement le lecteur dans le corps du protagoniste en action. Étrangement, ce n’est pas

souvent chez l’auteur, le roman s’ouvre avec une longue description ; on pourrait presque parler d’inventaire. Le cadre dans lequel va se dérouler le récit, une pension de famille, est décrit avec minutie, ce qui donne une impression de réalisme. Au-delà de cette volonté de coller à la réalité, il y a également une volonté de dépeindre personnages à travers le cadre de vie dans lequel ils évoluent. Ainsi, Balzac commence par une description du quartier. Tout est fait pour produire une impression

nouvelles précisions sur le musicien. I. Un homme à l’apparence peu attirante 1. Le portrait physique ne le met pas en valeur. - Comparaison « jaune comme un coing ». Il est laid. - Sens métaphorique de l’adjectif « épineux » : il est très maigre et donne l’impression d’être piquant ! - Succession d’adjectifs descriptifs qui confirment la raideur du personnage : « haut, très droit, regard fixe, les lèvres serrées » - On peut remarquer que la description est faite avec des mots courts, ce qui renforce

publié en 1885 s'inscrit donc parfaitement avec ce mouvement : dénonçant l'injustice des conditions de vie des mineurs et propageant des idées révolutionnaires par le biais de son personnage principal. Le passage proposé est l'incipit du roman : un homme décrit comme un ouvrier « sans travail » et « sans gite » était partit de Marchiennes tel un "vagabond" dans la nuit noir et froide des paysages du nord de la France pour rejoindre Montsou, quand il apercevait "deux feux rouges". Ceci pour montrer

l'alcool. Ce roman, qui bâtit un portrait de la classe ouvrière, a été bien accueilli par la public, mais attaqué et dénigré par la critique. L'extrait proposé se situe peu après le début du chapitre VI : il donne à voir Goujet, le forgeron, dans une description de lui au travail; il permet de faire le portrait d'un ouvrier modèle et de caractériser Goujet, personnage important dans l'Assommoir, amoureux de Gervaise. Nous nous demanderons donc comment le portrait de Goujet en action acquiert une dimension

d'écriture. F. Corblin l'a bien montré quand, opposant Flaubert et Zola, il signale que l'un ne désigne jamais son personnage que par le nom propre( par exemple Frédéric ou Madame Arnoux dans L'Education Sentimentale), et n'a recours à aucune « description définie ». Tandis que Zola, à l'inverse, cible ses héros à travers des groupes nominaux de type le NC, qui les situent le plus souvent par leur statut social. D'un côté, il n'y a pas de choix, ou très peu de choix : c'est le prénom, le nom de famille