Si L État Est Fort Il Nous Écrase S Il Est Faible Nous Périssons

Si l’Etat est fort, il nous écrase ; s’il est faible, nous périssons ». Cette citation de Paul Valérie nous démontre très bien l'existence d'une typologie classique des états. Il existerait donc des états forts et des états faibles. Il convient de s'intéresser ici dans cet exposé à la notion de l'état. Selon le sociologue Max Weber l'état »est une organisation politique qui gouverne dans un territoire donné et capable de mobiliser les pouvoirs coercitifs afin de s'imposer. »Il possède le monopole

ont perdu cette possibilité à cause des gouvernements. Les principales raisons sur lesquelles est maintenu la stabilité de l’Etat sont d’avoir, de posséder des droits et libertés fondamentaux mais si nous résumons cette stabilité à seulement posséder des droits et libertés, l’Etat perd tout son sens. Si l’on confond l’Etat et la société civile en la minimisant seulement comme quelque chose qui doit simplement veiller à la sûreté, à garantir les droits et libertés, d'assurer la protection de la propriété

1 : Accroche sur le droit de propriété L’aménagement urbain en France pose depuis longtemps un problème caractérisé par l'insuffisance de maîtrise foncière. Dans notre pays, très peu de collectivités locales disposent de réserves foncières et même si c’est le cas, le domaine est rarement affecté à l’aménagement urbain. De plus la propriété est caractérisée par la parcellisation. La rareté de terrains disponibles et la demande croissante de logements et d’infrastructures urbaines ont en plus été

citation que l’on doit à Lénine exprime clairement la volonté de prouver que l’Etat est une institution indispensable à la collectivité. Sans lui, la société court à sa perte et prend le risque de s’engouffrer dans la décadence la plus totale. Aussi, si le caractère nécessaire de l’Etat est indéniable, quand bien même fut-il la cause de nombreux fléaux lorsqu’il atteint des formes autoritaires, c’est souvent sa définition qui est sujet à débat. En effet, décrire une institution aussi complexe sans

 c’est  l’autre,  c’est  à  dire  le  moi  qui  n’est  pas  moi  »,  Sartre   «  Autrui,   c’est   ce   moi-­‐même   dont   rien   ne   me   sépare,   absolument   rien   si   ce   n’est   sa   pure   et   totale   liberté,   c’est-­‐à-­‐dire   cette   indétermination   de   soi-­‐même   que   seul   il   a   à   être  pour  et  par  soi  »,  L’être

définition des termes du sujet et plus précisément de celui d’Etat. Certains sujets posés laissent à penser que l’ENM privilégie la réflexion abstraite. Comme le rappelle Antoine Garapon dans son essai Bien juger. Essai sur le rituel judiciaire : « Si le philosophe est un théoricien du réel, le juge, lui, est un praticien de l’idéal (…) La condition du bien juger est de rendre les juges aveugles à la réalité sensible : voilà peut-être le sens profond du bandeau (…) Ce refus de voir n’est pas une

NIETZSCHE, Généalogie de la morale Sujet 4 Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude ordonnée « Lorsque je déclare que la liberté à travers chaque circonstance concrète ne peut avoir d'autre but que de se vouloir elle-même, si une fois l'homme a reconnu qu'il pose des valeurs dans le délaissement, il ne peut plus vouloir qu'une chose, c'est la liberté comme fondement de toutes les valeurs. Cela ne signifie pas qu'il la veut dans l'abstrait, Cela veut dire simplement que les

l'Etat déchaîne les jugements les plus virulents. On s'accorde seulement à dire que dans la mesure où il paraît incontournable dans notre vie politique moderne, il n'est sans doute pas un simple organe parasite dont on pourrait choisir de se passer. Si tel est le cas, comment peut-on tirer le meilleur parti de l'Etat, cette structure toujours prête à sacrifier ses sujets lorsque ses intérêts propres sont en jeu, cette structure que Nietzsche qualifiait de "plus froid de tous les monstres froids"

fascicules de méthode et d'information, corrigés de devoirs) qui vous sont adressés. C – INDICATIONS PRATIQUES •Les ¾ de ces citations sont empruntées à 11 personnages, écrivains, philosophes, savants – que vous connaissez certainement quelque peu ; si l'un ou l'autre d'entre eux n'évoque pour vous rien ou presque rien, reportez-vous à un manuel ou à une encyclopédie pour y rechercher une information élémentaire (il est imprudent de garder souvenir d'un propos que l'on ne peut replacer dans son contexte)

pense. » Méditations métaphysiques. 3. Blaise Pascal (1623-1662) : «La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable ; un arbre ne se connaît pas misérable.», Pensées. 4. Blaise Pascal «L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant.» Pensées. 5. Blaise Pascal : « Toute notre dignité consiste donc en la pensée » Pensées. 6. Rousseau (1712-1778) : « Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix [...] juge