Si L On Parle De La Superstition Des Logiciens

régit notre esprit. Mais si ce n'est pas le sujet ou le « moi » qui pense, qu'est-ce qui pense ? La pensée n'a pas de sujet. Ce n'est pas la volonté qui commande la pensée, des pensées peuvent m'apparaître sans que je les aie voulues. Nietzsche analyse la superstition, qui n'est pas une croyance fausse mais une illusion plus ou moins volontaire. Cependant une illusion n'est pas une réalité que nous percevons comme tel tout de même. C'est donc une tromperie. La superstition serait donc une tromperie

TEXTE DE NIETZSCHE Extrait de Par-delà le bien et le mal I § 17 « Si l’on parle de la superstition des logiciens, je ne me lasserai jamais d’affirmer un petit fait très bref que les gens atteints de cette superstition n’aiment guère avouer ; c’est à savoir qu’une pensée vient quand « elle » veut et non quand « je » veux, en telle sorte que c’est falsifier les faits que de dire que le sujet « je » est la détermination du verbe « pense ». Quelque chose pense, mais que ce soit justement ce

particulière, telle action ou tel comportement. A ce sujet, ils reprochent à tous ceux qui ont écrit, que la philosophie n'ait pas encore fixé, dépassant toute controverse, le fondement de la morale, du raisonnement et de la critique artistique, et qu'elle parle toujours de vérité et de fausseté, de vice et de vertu, de beauté et de laideur, sans être capable de déterminer l'origine de ces distinctions. Tandis qu'ils tentent cette tâche ardue, ces philosophes ne se laissent détourner par aucune difficulté;

Beaucoup de réflexion peut nuire à l’action [indétermination…] * Si la raison était toute puissante, nous serions Dieu et détendrions la vérité. * On ne fait pas consciemment des erreurs. * On se pose des questions donc notre raison n’est pas toute puissante. * Notre réflexion n’aboutit pas toujours à qq chose de positif. * Le fait même de réfléchir implique que la raison n’est pas toute puissante. III- SI NOTRE RAISON N’EST PAS TOUTE PUISSANTE, IL N’EN RESTE PAS MOINS QU’ELLE

Qui parle quand je dis "je" ? Selon toute évidence, c'est bien moi qui parle quand je dis "je". Comment pourrait-il en être autrement ? Ne serait-ce pas soutenir un bien obscur paradoxe que d'estimer que ce "je" désigne un autre que moi, ou bien autre chose que moi-même ? En effet, dire "je" marque une présence immédiate et claire de soi à soi, sans que l'on puisse, semble-t-il, douter un seul instant de la réalité de cette présence. Le "je" est donc bien l'expression et le signe

savoirCroire par le témoignage d’autrui une vérité de mathématiques peut avoir une utilité pratique (par exemple appliquer une équation) mais ne constitue en aucun cas un savoir mathématique. Souvent on croit savoir alors qu’en réalité on ne sait pas. Si donc il est vrai que le plus grand nombre répète sans les comprendre des résultats qui n’ont pas de sens quand ils sont coupés des démarches qui permettent de les obtenir, il faut avouer que le progrès des sciences n’a pas libéré les hommes. Ainsi il

qu’elles sont chargées de connotations qui ne conviennent pas à toutes les pièces. Le terme « absurde », depuis Sartre et Camus est chargé d’une signification bien précise, qui a peu de choses en commun avec le théâtre d’un Becket et surtout d’un Ionesco. Si le terme « dérision » s’applique parfaitement à une œuvre comme la « Cantatrice chauve », il convient moins à une pièce comme « Rhinocéros », dont le sujet semble bien trop grave pour justifier le terme: la déshumanisation, « la transformation inéluctable

une continuité au sein de l'individu ? Est-ce que autrui intervient dans la définition de notre pensé ? toute ces questions conduisent à l'interrogation suivante: Est-ce que mon identité est variable au cous du temps ? nous étudierons tout d'abord Si l'on peut demeurer le même bien que nous nous définissons à travers autrui?, nous continuerons notre fil de pensé par, Pouvons nous rester le même au cours du temps car nous somme maître de notre pensé? puis Bien que des changements altère la vison

folie (Maupassant, L'enfant ). Et là encore, la sensibilité s'oppose à la raison qui est la faculté du même, de l'identité, de la constance et de la permanence. • De là, on peut affirmer que si la sensibilité est mienne, si elle est la mienne, c'est parce qu'elle s'organise autour de la raison qui polarise et unifie autour d'elle sensations et sentiments. De quelle manière exactement ? Texte n°1 :

mais aussi il faut que l’homme soit heureux et confortable. L’homme est un animal mais il a la capacité de s’élever au dessus de cet instinct animal. « Tu » familiarité bienveillante. L’homme est mis en avant. Dieu a le souci de l’homme. Il ne parle pas de lui. L’homme à une place dans l’univers mais aussi dans les préoccupations de Dieu. Un rapport de création, de familiarité. Le rejet de « élu » en fin de phrase  liberté « Imprime-toi de la figure que tu veux »  apparence « Biens » Valeur