Si La Civilisation Va Survivre La Pollution Est Inevitable

disparu ou l’ordre s’est il effondré ? 193 CONCLUSIONS 198 BIBLIOGRAPHIE 205 Remerciements Je voudrais tout d’abord exprimer ma gratitude envers Jean-Pierre Dozon, qui est un directeur d’études idéal. Il reconnaîtra son influence, qui va du choix du sujet jusqu’à l’une approche qui cherche à saisir l’élément économique dans le religieux et une foule d’idées qu’il m’a suggérée. Je voudrais aussi exprimer mes remerciements les plus chaleureux pour à Sharon Hutchinson, dont les conseils

SOCIALE 275 12 - 295 L'AlDE AUX ÉCONOMIQUEMENT FAIBLES CONCLUSION 303 TABLE DES MATIÈRES 313 10 PRÉFACE D'ANDRÉ FOURÇANS On ne présente plus Milton Friedman (1912-2006), du moins on ne présente plus son nom. Il n'en va pas de même pour son œuvre qui, elle, mériterait d'être mieux connue en France. Pourtant cette œuvre est considérable et lui a d'ailleurs valu le Prix Nobel d'Économie en 1976. Mais sa contribution ne se limite pas à ses recherches académiques,

l’Histoire de la pensée sociologique n’est pas une évidence, même si on peut dire qu’il est important d’avoir une connaissance de l’histoire du domaine auquel on s’intéresse. Pour Homans, l’histoire n’a pas d’importance, c’est le présent qui compte, les outils du présent. Avoir des bases en histoire de la pensée sociologique n’est pas simplement une affaire de culture. La sociologie est une science empirique mais on peut avancer l’idée que si on la considère uniquement comme telle, on risque de tomber

pourrait-elle l'être ! Mais le monde irait peut-être un peu mieux si nous ne nous privions pas de la connaissance que nous devrions avoir, souvent par lâcheté, démagogie ou simplement parce que nous ne voulons pas regarder la réalité en face. Errare humanum est, dit le proverbe, perseverare diabolicum. « L'erreur est humaine. » II faut prendre le sens de cette formule au plus près : l'erreur est le propre de l'homme. Comme le disait si bien Lichtenberg, un savant et aphoriste allemand du xvm* siècle

les hydrocarbures, et censée accélérer le développement du pays, s'est transformée en frein, encourageant la corruption et les comportements de recherche de rente au détriment de l'entreprenariat et de la création de richesses. Il est clair aussi que si les Algériens ne parviennent pas à tirer profit des ressources exceptionnelles de leur sous-sol — pour ne parler que de cela — c'est parce que les institutions démocratiques de contrôle et de contre-pouvoir qui obligeraient les responsables politiques

les hydrocarbures, et censée accélérer le développement du pays, s'est transformée en frein, encourageant la corruption et les comportements de recherche de rente au détriment de l'entreprenariat et de la création de richesses. Il est clair aussi que si les Algériens ne parviennent pas à tirer profit des ressources exceptionnelles de leur sous-sol — pour ne parler que de cela — c'est parce que les institutions démocratiques de contrôle et de contre-pouvoir qui obligeraient les responsables politiques

réaction de la société face aux phénomènes criminels. Le phénomène criminel c’est l’infraction, la réaction de la société, c’est la sanction. On a actuellement un discours sécuritaire qui est tenu que nous ne devons pas juger, on ne sait pas si c’est bien ou si c’est mal, c’est quelque chose de constant. Toutefois, actuellement, un phénomène se développe : la barbarie (Par exemple : tuer des policiers, démolir des maisons, etc.). Face à ce phénomène de barbarie, la société droit réagir. Que nous inspire

Helsing nous confronte à cette affirmation ; il nous montre l'enchevêtrement des loges et de l'occultisme avec la haute finance et la politique. Il nous fait grâce, cependant, d'en faire retomber la faute, comme c'est si souvent le cas, sur les francs-macons, les sionistes ou Satan. Il va aussitôt au coeur du problème, Il s'exprime sans ambages, comme les jeunes de son époque, qui ne craignent point d'affronter les systèmes criminels basés sur le contrôle, la puissance et la manipulation. Ce livre n'est

(par exemple, pour prendre une illustration contemporaine, leurs méthodes de consolidation) et militent pour les normes qui ont leur faveur ; celui encore, d’influence mais considérable, des grands cabinets (les big four) comptables internationaux. Si l’on admet que la comptabilité a besoin du support de pouvoirs pour participer à l’évolution du système économique, il est naïf de la considérer comme un facteur autonome de progrès économique et social ; elle n’est sans doute que l’instrument d’une

Étudiante au doctorat à l’Université de Montréal MICHEAL CASSIN Curator of Education à la Clark Art Institute FRANCINE CHAÎNÉ Professeure à l’Université Laval MARIE CURRIE Gestionnaire Interprétation au Musée canadien des civilisations LUCIE DAIGNAULT Agent de recherche, Musée de la civilisation à Québec ISABELLE DECEUNINCK Assistante à l’Université catholique de Louvain COLETTE DUFRESNE-TASSÉ Professeure à l’Université de Montréal ANNE-MARIE ÉMOND Professeure à l’Université de Montréal NICOLE GESCHÉ-KONING