Sicherheitspolizei

lorsque la guerre éclata. Pendant cette guerre (Seconde Guerre mondiale) les nazis parviennent à s'emparer à nouveau sans grands efforts du fort. Ils y installèrent alors un camp de prisonniers pour la Sipo-SD (partie du SS). «  Sipo-SD =   Sicherheitspolizei-Sicherheitsdienst  » Le 27 juillet 1940, la police secrète allemande plus connu sous le nom de la Gestapo décide d’installer en Belgique un « Auffanglager  »... http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Le-Fort-De-Breendonk/175522

soviétique occupée, Himmler nomme un HSSPF pour chacun des groupes d'armées Nord, Centre et Sud. Korsemann, Brigadeführer SS, est le quatrième HSSPF, nommé pour le Caucase. 3. 2. 3. Walther Bierkamp (1901-1945, suicide) cite deux fois la Sicherheitspolizei (SP) pour en vanter les mérites (bas 306 – haut/milieu 307), c'est normal : c'est un Gruppenführer SS, le chef de l'Einsatzgruppe D depuis juillet 42 (jusqu'en 43). 3. 2. 4. Otto Bräutigam est le chef de la section Politique générale au ministère

est remplacée à partir de l’automne 1941 par une seconde vague beaucoup plus meurtrière.Les Einsatzgruppen sont alors subordonnés aux « Höheren SS- und Polizeiführern » (HSSPF) et les chefs des Einsatzgruppen sont nommés « Befehlshaber der Sicherheitspolizei » avec des pouvoirs accrus. Cette deuxième phase a en effet pour objectif la destruction complète de la population juive avec la mise à mort des juifs encore restés en vie dans toutes les zones occupées. Elle met en œuvre des forces renforcées

c’est le plus sûr moyen de faire de la France un « État satellite » du Reich. Il a notamment pesé sur le contrôle de la presse, l’organisation de la propagande, la politique antisémite. Les militaires et les diplomates doivent compter avec le Sicherheitspolizei-Sicherheitsdienst ou Sipo-SD (police et service de sécurité de la ss), faiblement doté jusqu’au printemps 1942. Dirigé par Helmut Knochen, il dépend de l’Office central de sécurité du Reich (RSHA) de Himmler, et a en charge notamment les « questions

domination du bolchevisme et de la juiverie, on pouvait supposer qu'après la libération de l'occupation étrangère et le retrait de l'Armée rouge, ils mettraient eux-mêmes la plupart de leurs adversaires restants hors d'état de nuire. La tâche de la Sicherheitspolizei devait être de déclencher le passage à l'acte, de leur indiquer la voie à suivre afin d'atteindre le plus rapidement possible l'objectif fixé, soit le nettoyage de la région. Il était non moins important pour l'avenir de créer un état de fait

guerre, haine et volonté d’extermination totale de l’ennemie Préparation au bac Analyse de documents Exercice guidé – Sujet : L’extermination des juifs d’Europe p. 130-131 Conviés par Reinhard Heydrich, chef de la police de sécurité (Sicherheitspolizei) et du service de sécurité (SD), des représentants de la SS, de la NSDAP et de plusieurs ministères du Reich se sont réunis dans la salle à manger de la maison d’hôtes, le 20 janvier 1942, à midi, pour s’entretenir, durant 90 minutes environ