Sicherheitspolizei

condamnations à mort prononcées par les juridictions spéciales de l'État français sont sans recours et exécutoires immédiatement. Les résistants arrêtés peuvent être aussi détenus sans jugement (internés administratifs ou otages). 1 Sipo-SD : Sicherheitspolizei et Sicherheitsdienst, police de sécurité (d'État) et services de sécurité (du parti nazi) 2 RSHA : Reichssicherheitshauptamt 3 Geheime Staatspolizei : police secrète d'Etat 4 Kriminalpolizei : police criminelle 

donc que le reichsführer fut nommé chef de la police allemande au sein du ministère de l’Intérieur. La Kripo (police criminelle) et la gestapo forment la police de sécurité. Heydrich devint le chef der sicherheitspolizei und des SD. En 1939 cette organisation fut divisée en services : Amt I pour les services du personnel, Amt II budget et administration, Amt III intérieur, Amt IV ou Gestapo, Amt VI ou extérieur, Amt V ou Kripo, Amt

Kessel était un homme bien. Film « L’armée des ombres », de Jean-Pierre Melvi lle. Fiche de dér ushage du film, minutage des séquences. 1. Préambule : le livre, le film, l’histoire. Pour préciser certaines scènes du film, il est poss ible de se référer au livre de Joseph Kessel, pour certaines séquences . Le livre existe en 2 versions : Livre 1 : « L’armée des ombres ». De Joseph Kessel. Editio ns Classiques et compagnie-Collège, n°53. Hatier. 3,90 euros. Destiné aux collégiens

des lois . A partir de cette date , elle fut divisée en deux grands services : d'une part , la police d'ordre (Ordnungspolizei , ou ORPO ) , en uniforme , se vit confier les taches ordinaires de la police ; d'autre la police de sécurité ( Sicherheitspolizei , ou SIPO ) , en civil , fut chargé de {text:soft-page-break} réprimer les activités hostiles au nazisme , aussi bien en Allemagne ,dès la mise en place de la dictature hitlérienne , que dans les territoires occupées au cours de la guerre.

lorsque la guerre éclata. Pendant cette guerre (Seconde Guerre mondiale) les nazis parviennent à s'emparer à nouveau sans grands efforts du fort. Ils y installèrent alors un camp de prisonniers pour la Sipo-SD (partie du SS). «  Sipo-SD = Sicherheitspolizei-Sicherheitsdienst  » Le 27 juillet 1940, la police secrète allemande plus connu sous le nom de la Gestapo décide d’installer en Belgique un « Auffanglager  » (camp d’accueil) pour les prisonniers. Ils y seront détenus brièvement (environ

une forte répression de la part du RSHA(le RSHA ou Reichssicherheitshauptamt ( « Office central de la sécurité du Reich ») était une organisation créée par le Reichsführer-SSHeinrich Himmler le 27 septembre 1939 par la fusion de la Hauptamt Sicherheitspolizei (office central de la police de sécurité) constitué de la Gestapo et de la Kripo, et du SD (office central de sécurité) de l’Abwehr, de la Wehrmacht, ainsi que de la Milice française, ou encore de la police de l’État français5, pour neutraliser

dont elle fait fermer ou transférer à la SS, ses camps de concentration « privés ». Le 17 juin 1936, Himmler est nommé chef de toutes les polices allemandes (Chef der Deutschen Polizei) ; il contrôle l'Ordnungspolizei de Kurt Dalueget et la Sicherheitspolizei, qui regroupe la Gestapo et la Kriminalpolizei(KRIPO) , dirigée par Arthur Nebe. La SIPO est chargée de lutter contre les ennemis de l'État : la KRIPO poursuit « les individus qui par la suite de dégénérescence physique ou morale sont séparés

programme d’extermination (« solution finale »), dont la conférence de Wannsee (20 janvier 1942) présente l’organisation définitive, est en effet mis en œuvre. Les participants à la conférence, sous la présidence de Heydrich, chef de la SIPO (Sicherheitspolizei) et du Sicherheitsdienst (SD), services de police des SS, sont : – Rudolf Lange et Eberhard Schöngarth, tous deux du SIPO et du SD ; – Eichmann et Heinrich Müller, du RSHA ; – Otto Hofmann, de la SS ; – Wilhelm Kritzinger, de la chancellerie

soviétiques[modifier] Le massacre, de l'été 1941 à l'été 1942, de prisonniers de guerre soviétiques dans les camps de concentration fait partie des crimes organisés par les nazis. Des commandos spéciaux de la police chargée de la sécurité (Sicherheitspolizei, SIPO ?) sont envoyés dans les camps de prisonniers pour « évacuer les éléments politiquement indésirables ». Ils sont alors amenés dans des camps de concentration pour être exécutés. Une installation spécifique est aménagée à Buchenwald et

prennent l’essentiel des décisions sur la répression. Leur objectif est différent de celui du MBF, ils ont un programme politique visant les « ennemis du Reich » c'est-à-dire les communistes, les juifs ainsi que les francs-maçons. La Sipo-SD (Sicherheitspolizei und Sicherheitsdienst) était responsable des affaires de police, elle prenait dont en charge les exécutions des prisonniers, des suspects et des civils. Mais s’occuper aussi de l’exercice de d’autres représailles comme la destruction des maisons