Sifflement

souffrent de rhinite allergique3 ou 1 L’asthme est défini comme une pathologie inflammatoire chronique des voies aériennes inférieures. Cette inflammation associée à une hyperréactivité bronchique peut conduire à des épisodes récurrents de sifflements, essoufflements, oppression thoracique et toux, particulièrement la nuit et/ou au petit matin. Ces symptômes accompagnent habituellement une limitation du flux aérien généralisée mais variable qui est, au moins en partie, réversible soit spontanément

Une charogne :Introduction :Poème= 12 quatrains,hétéromètrie, rimes croisés ABABAuteur= Baudelaire, écrivain, poète français du 19ème siècle, connu pour avoir tisser des liens entre la beauté et le mal. Il s’installe dans le mouvement de la modernité poétique.Apparu dans le recueil « les fleurs du mal » en 1857, dans la section « spleen et idéal »Promenade d’un couple interrompue par le cadavre.Ce poème est de registre didactique, le poète transmet une infromation.1er mouvement= V1-V8= découverte

abdominales, sensation désagréable de faim au creux de l'estomac, ballonnements après le moindre repas, constipation maux de tête, intolérance au bruit et à la lumière comme dans la migraine vertiges, équilibre instable par hypotension bourdonnement, sifflement perçus dans les oreilles troubles de la vue, floue ou instable crampes, fourmillements et perceptions bizarres (paresthésies) insomnie faiblesse musculaire, intolérance respiratoire à l'effort rythme cardiaque anormal Mise en situation Cadre institutionnel:

"je vous plains de tout mon cœur" contredit par la didascalie "prenant sa bouteille" => hyperbole -> ironique ou indifférent Iphicrate essaie encore d'agir en maître en donnant un ordre : "suis moi donc". Arlequin a une attitude provocante : sifflement : "hu ! Hu !", chant : "talata..." Iphicrate est désorienté : question/ordre : "parlons donc" Éclat de rire : "je vous plains mais..." => arrogance. Iphicrate comprend qu'Arlequin se moque de lui Aparté : "le coquin abuse..." => mépris réel

et naturel. La sympathie du spectateur va du côté du naturel et du rire. Il s’agit d’une dorme de persuasion – émotions. 2. Renouvellement du personnage comique: volonté de persuader et convaincre • Utilisation des registres pour persuader: sifflement/chanson= comique traditionnel et jeux de scène très importants (personnage qui utilise la gestuelle du clown) Ironie : « vos compliments me charment et vous avez coutume de m’en faire a coup de gourdin… et le gourdin est dans la chaloupe » utilisation

le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang, et de la haine. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille,

constriction des voies respiratoires. Il entraîne, chez le sujet atteint, des difficultés à respirer. Il se créé une inflammation chronique ainsi qu'une hyperréactivité des voies respiratoires. L'asthme se manifeste par des épisodes répétés : de sifflements ; d'essoufflement ; de sensations de blocage de la poitrine ou oppression thoracique ; de toux. Les crises surviennent particulièrement la nuit ou tôt le matin. Près de 6% de la population est touchée. Une cause allergique est retrouvée

nouvelle avec des métaphores filées dans ses rêveries. Ces métaphores montrent non seulement sa sensibilité auprès de la beauté du monde naturelle, mais aussi la solitude interne de Janine « Puis le vent parut redoubler, le doux bruit d’eaux devint sifflement de vagues… Elle rêvait aux palmiers droits et flexibles, et à la jeune fille qu’elle avait été. »  (170). Ce paragraphe montre aussi le regret des ambitions perdus de son enfance. Peu à peu, l’histoire de Janine progresse dramatiquement à une réalisation

par la diérèse sur des adjectifs déjà longs et en fin de vers : « silenci-eux » et « délici-ieux ». Le poète semble douter et s’interroger, il n’a pas de réponses de à ses questions → l’adjectif « silencieux ». Allitération en [s] évoque un sifflement comme un son lointain et diffus. V7 sa relation s’éloigne petit à petit que le temps avance comme la musique si lointaine qu’il évoque. L’adverbe d’intensité « si » dans ce vers ajoute à l’idée de distance et d’isolement du poète. V8 V9 : déclaration

cône d’adhérence. Chacun a fait l’expérience de pousser une armoire et de s’apercevoir qu’il est moins dur d’entretenir son glissement, une fois qu’elle a décollé. C’est aussi cette différence qui explique le broutement des chaises qu’on traîne, le sifflement des freins, ou la génération du son des violons et autres instruments à archet. Pour certains couples de matériaux, le coefficient d'adhérence est au contraire plus faible que le coefficient de frottement, celui-ci augmentant plus ou moins notablement