Sifflement

différentes valeurs énergétiques. La liqueur séminale doit être transmutée en sept types successifs d'énergie : les sept Degrés de Pouvoir du Feu. On doit faire résonner la lettre S comme un sifflement très doux et paisible. On serre les dents d'en haut contre celles d'en bas pour produire ce sifflement très fin et très doux. C'est la Voix Subtile que le yogi doit apprendre à entonner et à manier. Le yogi doit tenir la Coupe d'Hermès hermétiquement close. Le yogi qui souffre de pollutions nocturnes

sentiment de culpabilité du survivant. On assiste bel et bien à une chute avec l’apparition des remords du poète. II Appel des vivants à la piété Ce qui constitue la peur c’est le silence de la morte qui se manifeste non par des paroles (« sifflements de la bûche »), c’est un reproche muet que peut-être elle adresse, mais par une attitude : un regard grave courant « l’enfant grandi de son œil maternel » et en définitive des pleurs. Ces derniers mots rappellent qu’il s’agit d’une apparition de

grosse lumière jaune apparut, courant avec un grand bruit ; et Duroy regarda le long chapelet des wagons qui s’engouffrait». Il compare beaucoup d’éléments de la gare avec le champ lexical de la peur : un trou sombre, de gros yeux de bête rouge, des sifflements, grand bruit, lumière jaune, un abîme profond. En lisant le passage que nous venons de citer nous pourrions croire que nous parlons d'un train puis après plusieurs lignes de description nous pensons tout autre choses qu'a des trains ou une gare

le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang, et de la haine. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille, croulent"

réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang, et de la haine. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille

nazisme. Dans les deux derniers vers , l’espoir de la libération émerge : l’utilisation du futur « sèchera » et de l’impératif « Sifflez » le confirme (on peut noter l’allitération en [s] présente tout au long de la strophe et qui vient renforcer le sifflement). la personnification de la liberté renforce également cette impression : la liberté , « qui écoute », est présentée comme un être vivant au milieu des partisans. => La liberté guidant le peuple Le texte et la musique sont indissociables. Le thème

elles-mêmes expriment le sens du poème. Le lecteur peut alors vivre et voyager dans l’esprit du poète. Par exemple, dans Andromaque (1667), Racine écrit « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? ». Ici, l’allitération en [s] imite un sifflement, on peut l’assimiler à celui des serpents. Ainsi, les mots ont un pouvoir incantatoire et la création poétique peut être définie comme un ensemble de procédés stylistiques complexes, issu du travail de l’auteur. Certains poètes, comme Paul Valéry

final, longue phrase ralentie par les anaphores de « déjà », qui ouvrent sur deux vers, puis quatre, et de « et », comme si Phèdre allait jusqu’au bout de son souffle, illustré par les reprises sonores, le [ R ] combiné d’abord au [ p ], puis au sifflement du [ s ]. La fonction expiatoire des ultimes paroles de Phèdre se trouve enfin confirmée par le champ lexical du regard dans les derniers vers. Le regard avait, en effet, induit la faute : Phèdre rappelle cette impureté avec les verbes « outrage

hier sera peut-être rétif demain. Chaque jour il sera différent, et votre centième ne ressemblera pas à votre quatre-vingtième représentation, parce que le public est changeant et capricieux, et vous êtes à sa merci. Ses armes sont les huées, les sifflements, qui ont le pouvoir de vous réduire à néant. Les sifflets ne touchent pas l’acteur de cinéma, ils blessent de plein fouet le comédien. Mais faites-le rire ou pleurer, et vous le conquerrez. Vous aurez fort à faire aussi avec votre personnage…

final, longue phrase ralentie par les anaphores de « déjà », qui ouvrent sur deux vers, puis quatre, et de « et », comme si Phèdre allait jusqu’au bout de son souffle, illustré par les reprises sonores, le [ R ]  combiné d’abord au [ p ], puis au sifflement du [ s ].  La fonction expiatoire des ultimes paroles de Phèdre se trouve enfin confirmée par le champ lexical du regard dans les derniers vers. Le regard avait, en effet, induit la faute : Phèdre rappelle cette impureté avec les verbes « outrage »