Simmel La Confiance

sociologues qui partagent la même conception de la sociologie mais ils ne travaillent cependant pas ensemble : les trois représentants de cette approche de la sociologie sont : TONNIES ;SIMMEL ; WEBER . (a vérifier) : MAX WEBER : ( l accessibilité sociologique et la théorie qu’il avance ) . Le plus brillant des trois est SIMMEL . TONNIES est un simple sociologue . Et entre les deux il y a MAX WEBER ( 1864 – 1920 ) il est un conptemporain de DURKHEIM , il n est cependant pas du même milieu que DURKHEIM

sens sociologique). L'individualisation désigne un processus de long terme de construction de l'individu comme sujet, processus qui se trouve lié à la démocratie et au marché et sur lequel les auteurs classiques ont insisté (Tocqueville, Durkheim, Simmel). Si on l'associe volontiers à certaines périodes, telles que la Renaissance [...] elle ne fait pas l'objet d'une datation précise, ni d'une chronologie linéaire. Le processus d'individualisation connaîtrait depuis quelques décennies (seconde phase

vous ne soyez que trois à être là depuis un certain temps, ça influe sur l’écoute, la compréhension ? -On se connait très bien, nous. Mais, j’vais vous donner mon avis sur les autres, des gens qui restent pas trop longtemps j’leur fait pas trop confiance. Parce que comme j’dis on est surveillés, donc je suis pas à l’abri qu’ils sont là juste pour surveiller et aller raconter derrière. Y ont rien à perdre. Puisque l’on parle de délation, revenons aux syndicats, qui peuvent intercéder en faveur

pouvoir d'achat de la monnaie diminue, dans l'hypothèse où il y a de l'inflation. C. La monnaie, phénomène social La confiance : c’est l’aspect conventionnel dans la monnaie car sa valeur est vue par la société. La monnaie est une construction sociale voir une institution car la monnaie repose sur la confiance apporté au public. C’est un mélange de croyance et connaissances. G. Simmel a dit : « chacun accepte la monnaie parce qu’il s’attend à ce que chacun des autre l’accepte et l’acceptera toujours »

développement de ses relations sociales ultérieures. 1.3.2 LA SOCIALISATION La socialisation peut être décrite comme le processus d’apprentissage des attitudes, des normes et des valeurs propres à un groupe, à travers lequel s’opère l’intégration sociale. Simmel (1917) la définissait comme une « entrée dans la relation sociale » . Schutz (1960) avait montré que la socialisation dépendait de la sociabilité de l’être humain qui s’exprimait autour de trois besoins fondamentaux : le besoin d’inclusion (tendance

Enseignante : H. Hatzfeld « Franchir le pont nous délivre de la pesanteur et avant que l’habitude quotidienne n’émousse nos sensations il a du donner le sentiment étrange de flotter un instant entre ciel et terre » Georg Simmel. ( Table Des Matières ( Introduction 4 ( Les Ponts 6 1] Quel homme oserait prétendre n’avoir ô grand jamais franchi un pont ? 7 1.1 ] Quelques mots d’histoire 8 1.2 ] Les ponts, vitrines de matériaux 9 1.3 ] Le symbole

chacun, dans les relations professionnelles qui y sont nouées, dans l’identité professionnelle qu’il permet. Dans cette conception, la reconnaissance se joue d’abord dans les situations de travail, avec l’autonomie qui est laissée aux salariés, la confiance qui leur est faite, la responsabilité qui leur est confiée, la considération qui leur est accordée. Il ne s’agit pas bien sûr de nier l’importance des aspects de rémunération mais de les mettre à leur place. Comme les mettent, d’ailleurs, à leur

individuelles qui les composent (Raymond BOUDON). Ex : Le phénomène "rappeur" : c'est un phénomène social = manifestation de la vie des individus au sein d'un groupe où chacun a une action et un comportement. Avant BOUDON, cette méthode apparaît chez SIMMEL et WEBER (XIXème). => La rationalité cognitive = méthode qui a pour but d'expliquer pourquoi les gens adhèrent à leurs idéologies, croyances religieuses, magiques, valeurs morales. Cette méthode est issue de la tradition sociologique allemande

d’allumettes va vite (comme dans un train : les paysages plus proches paraissent passer plus vite) ( le cerveau crée les images des objets qui correspondent à ce qu’il a perçu. Si on avait conscience de ce processus, il serait difficile de faire confiance aux perceptions. ➢ Bateson prend aussi à Freud l’idée du déterminisme psychique : la façon dont le psychisme est structuré suite aux expériences précoces va déterminer la manière d’aborder le monde (déterminisme diachronique), qu’il remplace

développement de ses relations sociales ultérieures. LA SOCIALISATION La socialisation peut être décrite comme le processus d’apprentissage des attitudes, des normes et des valeurs propres à un groupe, à travers lequel s’opère l’intégration sociale. Simmel (1917) la définissait comme une « entrée dans la relation sociale » . Schutz (1960) avait montré que la socialisation dépendait de la sociabilité de l’être humain qui s’exprimait autour de trois besoins fondamentaux : le besoin d’inclusion (tendance