Simmel La Confiance

Lorsque nous accomplissons quelque chose que nous pensons valable, nous ressentons une valorisation et lorsque nous évaluons nos actions comme étant en opposition à nos valeurs, nous "baissons dans notre estime". L'expression est à distinguer de la confiance en soi qui, bien que liée à la première, est en rapport avec des capacités plus qu'avec des valeurs. L'estime de soi suppose une évaluation du 'soi', considéré comme une entité stable et définie une fois pour toutes alors qu'à l'évidence il s'agirait

une interaction entre les membres de la société, un échange. 2.1- Le poids des interactions: Simmel, Goffman, Giddens: Le rôle des interactions a longtemps été sous-estimé au profit de celui des déterminants géographico-politico-économico-sociaux. La présentation ci dessous aura pour but de de montrer les fondements de la démarche de l'interaction et par de là de l'accréditer. 2.1.1- Selon Simmel, les interactions ayant lieu lors d'un conflit s'analysent davantage comme un mode de socialisation

et introduction des réseaux sociaux dans les recherches en audit 96 Chapitre 2 106 La théorie des réseaux sociaux 106 I. Le cadre général des réseaux sociaux 107 II. La confiance comme principal objet d’étude des réseaux 122 III- Focus sur les trois éléments caractéristiques de l’analyse des réseaux : le capital social, la confiance et la réputation 127 Chapitre 3 156 Cadre méthodologique 156 I. Positionnement épistémologique et choix méthodologiques 158 II. Les entretiens exploratoires : Analyse de

dynamiques d'interaction parce qu'elles permettent aux agents d'acquérir des informations essentielles visant à mieux comprendre et à anticiper leurs intentions réciproques d'action. Elles s'accompagnent d'autres phénomènes (i.e. la réputation, confiance, réciprocité) qui confortent l'espace relationnel. Les relations que nous décrivons ne sont pas exclusivement bilatérales, les agents entretenant en effet une pluralité de liens. Comme nous venons de l'évoquer, les comportements coopératifs demeurent

filtre constitué par les premières représentations détermine la nature des représentations suivantes. La représentation, par les primes expériences, d’un environnement hostile n’assure pas la constitution des sécurités primaires, source de confiance en soi et de confiance dans les autres. Là, se joue donc la capacité à évoluer, à apprendre, à se qualifier socialement d’une part et d’autre part la capacité à travailler, à aimer, à s’intégrer, à se socialiser, à distinguer le bien et le mal. L’éducation

s’accroît 70's Chômage a des effets désintégrateur: Perte confiance en soi, mode de vie ralenti, perte utilité, repli sphère privée, incertitude sur l'avenir, perte de statut, d'identité sociale, Réinsertion ds le L plus difficile à mesure que le chômage augmente. On ne se définit plus en fonction de son emploi. On se rend compte que les amis sont liés à la profession. Problème psychologiques et sociaux qui apparaissent (perte confiance en soi...) Perte repère professionnel, perte compétences Difficultés

questions essentielles sur les relations de sociabilité, l'entraide, le pouvoir, la centralité, les accords et antagonismes, les appartenances ultimes. Des recherches pionnières ont été menées sur cette question autant par des sociologues, comme Simmel (1918) ou Moreno (1934), que par des ethnologues comme Radcliffe-Brown (1952), Firth, Barnes ou Bott (1957). Elles sont à l'origine de l'important développement de l'analyse des réseaux sociaux auquel on assiste depuis le début des années 1970.

à confier leur enfant à la crèche du village si elle existe, ou si le village ne dispose pas de crèches, le choix le plus privilégié reste bien souvent la garde par la famille ou par des proches de la famille en qui les parents ont parfaitement confiance afin de s’occuper de leurs enfants. Le manque de structures et de personnels qualifiés dans les petits villages poussent peut être parfois les parents à se rabattre sur les solutions de proximité plutôt que de devoir faire un long trajet chaque

l’autonomisation – d’une nouvelle cité, la « cité par projets » [L. Boltanski et E. Chiapello, 1999, p. 154-238] fondée sur la valorisation de l’activité en réseau, privilégiant l’engagement volontaire, la flexibilité, la responsabilité, l’initiative et la confiance. La figure centrale de cette nouvelle cité serait le manager (par opposition à l’ancien cadre), et en particulier le médiateur, dont l’activité consisterait « à s’insérer dans des réseaux et à les explorer pour rompre son isolement et avoir des chances

les faire connaître du plus grand nombre mais aussi de créer chez le consommateur une préférence pour ce produit. Pour les contemporains, le consommateur est un homme nouveau, dont l’identité se construit dans la variété des objets qu’il possède (Simmel, 1987). Il est fini le temps où le marketing permettait de mettre en place des analyses statistiques débouchant sur des segmentations de comportements et de préférences individuelles des consommateurs ; où le marketing cherchait à construire le désir