Simone De Beauvoir Les Belles Images

Chacun se dit ami : mais fou qui s’y repose ; Rien n’est plus commun que le nom, Rien n’est plus rare que la chose. » La Fontaine (1621-1695). 2) « Entre deux individus, l’harmonie n’est jamais donnée, elle doit indéfiniment se conquérir. » Simone de Beauvoir (1908-1985). 3) « Il y a toujours dans la notion de tendresse une nuance de protection. » C.-F. Ramuz (écrivain vaudois, 1878-1947). 4) « L’amour est un je ne sais quoi, qui vient de je ne sais où, et qui finit je ne sais comment. » Mademoiselle

(encyclopédie de Diderot, …) Fin 18ème caractéristique : presse éclairée qui appartient à l’aristocratie et qui sers à parler d’art, de mode, diffusé des potins, L’éclosion de la presse féminine au 18ème siècle -> reconnaissance nouvelle cpt véhicule des images féminines traditionnelles et perpétue le partage des rôles sociaux. Presse qui était réservé aux quelques femmes riches et oisive -> public minoritaire Fin 18ème : On peut aussi trouvé des journaux à thématiques= pour les enfants, de médecine,

penser. Je ne peux pas penser si je ne me parle pas. Sans mots : monde sans signification. Les poétes essaient d'enlever significations aux choses. Si choses ont significations alors ils renvoient immédiatement à des mots. Langage : contre exemple : images, émotions Comment je sais que je suis jaloux? → Je le reconnais, l'identifie. 2ème voix qui ne s'arrête jamais dans la tête. La paroles dépasse la fonction de communication qui lui est propre. PLAN I / Fonction de communication de la parole

littéraire, en se centrant sur l’acte poétique, se débarrasse des apports externes. De jeunes poètes passionnés, tels Albert Lazeau, Louis Dantin, Albert Ferland font de la poésie pure. Elle se caractérise par la musicalité des sons, la beauté des images, l’expression du moi. Ce genre littéraire heurte l’idéologie du terroir. Ch. Baudelaire, A. Rimbaud, P. Verlaine sont les modèles de ces poètes montréalais qui célèbrent l’art pour l’art. Ils insistent particulièrement sur la liberté du choix de la

dans le choix des sujets, une grande partie étant empruntée à la réalité quotidienne de la petite bourgeoisie, qu'elle représente sans la moindre volonté de l'idéaliser, sans le moindre désir d'embellir les faits. Ce n'est pas là qu'on cherchera de belles descriptions de la nature ou des trésors d'imagination : ici les éléments essentiels sont la satire et la morale (apologue). Le Roman de Renart (composé de vingt-sept récits en vers, au XIIIème siècle) appartient à cette tradition satirique qui

qu’ils se racontent ? Que met-on dans une vie ? Que raconter ? Qu’est-ce qui, dans une existence, fait événement, mérite conservation ? Biographie et point de vue nécrologique Il pleut à verse. Je me souviens que Jules Janin me disait : « Ah ! quel bel article nous ferions sur vous si vous étiez mort ! » Afin d’échapper aux phrases, j’ai la fantaisie de faire moi-même cet article. Ne lisez ceci qu’après la mort de… (Stendhal, 1837) Le récit de vie minimal, c’est l’épitaphe : Henri Beyle. 1783-1842

présupposés de la construction misogyne de la littérature afin de rendre visible ce que celle-ci cache sous des apparences de vérité absolue. Millett et Fetterley l’ont fait en se positionnant comme « resisting readers », et d’autres avant elles : déjà Beauvoir dans Le Deuxième sexe proposait des relectures de Breton, Montherlant ou Claudel. Leur objectif est d’interrompre cette immasculation de la femme, c’est-à-dire ce positionnement forcé de la femme dans une perspective non seulement masculine mais

groupes féministes montrent le misérabilisme en particulier dans la classe ouvrière et brossent aussi le portrait de femmes rebelles (identification avec les féministes du passé et recherche des racines du MLF), très marginales en leur temps comme Simone de Beauvoir. L’histoire des femmes publiée chez Plon, sous la direction de George Duby et Michelle Perrot résume cette première période de l’historiographie. Michelle Perrot, elle-même, conclut que ce premier mouvement historiographique a donné naissance

de Lenclos Ninon de Lenclos (1620-1705) est une femme brillante et instruite qui a tenu un des salons les plus célèbres de Paris où se réunissaient écrivains, artistes et savants, comme Lully, Charles Perrault, La Fontaine, Racine, le duc de Saint-Simon, Philippe d’Orléans le futur Régent, Fontenelle et bien d’autres. Elle était proche de Molière qui lui demanda même des conseils pour Tartuffe. Ninon de Lenclos, que l’on voit ici dans tous ses charmes au centre du tableau, entourée d’une véritable

Place à part dans son siècle Tantôt lyrique, tantôt épique, Hugo est présent sur tous les fronts et dans tous les genres: il a profondément ému ses contemporains, exaspéré les puissants et inspiré les plus grands poètes. Ainsi que le rappelle Simone de Beauvoir : Son 79e anniversaire fut célébré comme une fête nationale : 600 000 personnes défilèrent sous ses fenêtres, on lui avait dressé un arc de triomphe. L'avenue d'Eylau fut peu après baptisée avenue Victor-Hugo et il y eut un nouveau défilé en