Simone De Beauvoir

Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés : café de Flore ou des Deux Magots, à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la rive gauche : Jean-Paul Sartre (le Jean Sol Partre de L'Écume des jours), Raymond Queneau, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Marcel Mouloudji ou Miles Davis. Son premier roman célèbre (sous l'hétéronyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les

Café de Flore, au Lapin Agile ou aux Deux Magots. Ces cafés sont ceux qui sont les plus anciens de PARIS, et qui ont été les plus fréquentés par les artistes français au fil des siècles. Les deux Magots était fréquenté assidument par SARTRES, Simone DE BEAUVOIR, HEMINGWAY, PICASSO ou encore Elsa TRIOLET. Que des personnes de la haute culture française. Frédérique BEIGBEDER, lui se retrouve souvent au café de FLORE, qui accueillait les même personnalités que les DEUX MAGOTS, se situant dans la même

que philosophe. Il était également dramaturge, nouvelliste puis essayiste. Ce dernier étant connu sa philosophie nommée l'existentialisme et pour ses œuvres notamment Huis clos (1940) L'Être et le Néant (1943) et bien d'autres. Compagnon de Simone de Beauvoir, qui partageait avec lui une philosophie très proche cependant elles ne se seraient jamais confondues. Les deux se sont beaucoup influencés. La philosophie de Sartre a marqué l'après guerre, il fut un homme politiquement engagé surtout dans

de grossesse) ou plus communément appelé avortement, est le fait, pour les femmes, de mettre volontairement un terme à leur grossesse. En France, les femmes peuvent mettre légalement un terme à leur grossesse grâce à la loi Veil du 17 Janvier 1975. Simone Veil était alors ministre de la santé sous le gouvernement de Valéry Giscard d' Estaing. Mais ce fut un combat long et difficile jusqu'à même être défini comme un « crime d'état ». Tout commence en 1920 où une loi est votée et stipule que l’avortement

socialisation conditionne l’individu de plusieurs manières possibles, plus souvent à son insu, que ce soit une socialisation primaire ou secondaire. La socialisation apprend à l’individu à devenir ce qu’il est, comme par exemple ce qu’écrivait Simone de Beauvoir « on ne naît pas femme, on le devient », cette citation nous montre que la personne que l’on est, est la personne que l’on nous a appris à être et non pas celle qu’on aurait dû être. Mais il y a des exceptions, certaines personnes ne respectent

construit social). c) Eventuellement, rappeler les notions inculcation/interaction, inné/acquis, nature/culture Section 2 : Comment les différentes instances de socialisation construisent-elles les genres ? Introduction : Notez cette citation de Simone De Beauvoir (le deuxième sexe) « on ne naît pas femme, on le devient » et commentez . Question orale : Quelles sont les principales instances de socialisation que vous connaissez ? Réponse attendue : les médias, la famille, l’école. A/ Les médias

contingence (tout ce qui existe, la nature mais aussi l’homme n’a à priori aucune raison d’exister. Tout est injustifiable, il n’y pas d’essence) : l’existence survient toujours au mauvais moment. b) Contradictions entre les faits et les mots Simone de Beauvoir (philosophe, romancière, épistolière, mémorialiste et essayiste française. Elle a partagé la vie du philosophe Jean-Paul Sartre. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues) a dit de Sartre et de ses amis qu’ils « dégonflaient

La beauté féminine est synonyme de minceur, être grande, prendre soin de corps,de nudité, la femme doit savoir tout gérer le coté professionnel et vie privée, une femme libre. Au yeux des hommes, les femmes doivent garder une certaine forme. Simone de Beauvoir a dit ''on ne nait pas femme on le devient'' notamment grâce au processus de socialisation : familles, amis, scolarité, origine sociale. Travail... le modèle féminin a changer par l'effet de mode que véhicule les médias, a l'époque de l'aristocratie

Philosophique des Gens de Maison de l’arrondissement. Colin veut rencontrer l’âme sœur. « Je voudrais une âme sœur du type de votre nièce » : Alise = nièce de Nicolas. Il a envie d’être amoureux. Evocation des œuvres de la duchesse de Bovouard (Simone de Beauvoir) Chapitre X : « Je voudrais être amoureux  dit Colin ». Il conjugue la phrase à toutes les personnes. Préparatifs avant la fête chez les Ponteauzanne. Sorte de dialogue entre Colin et une souris dans la salle bain. Multiplication des indices

philosophie scientifique (Darwin, Nietzsche) et en sociologie. Elle s’inscrit dans les courants féministes français « non dogmatiques »1 et « pro-sexes » , qui s’éloignent fortement des idées universalistes portées par « héritières caricaturales de Simone de Beauvoir » (p.17), Gisèle Halimi, Chiennes de Garde, Ni pute ni soumise ou autre organisation féministes officielle actuelle. Selon Sastre, ce féminisme officiel dominant monopolise depuis les années 70 le débat et n’est plus adapté au revendications