Simonie

épiscopales étaient confiées à des seigneurs qui n'hésitent pas à accaparer les revenus de l'Eglise, désigner les curés ou des évêques prenant un certains nombres de limites. L'Eglise est donc progressivement minée par une féodalisation de trafics comme la simonie qui désigne le trafic des fonctions ecclésiastiques, le nicolaïsme qui désigne les clergés peu respectueux envers l'Eglise. Considérant les pouvoirs du roi trop faibles, les moines vont se placés sous l'influence de Rome, les moines de Cluny lançant

leur pape » au pouvoir. Une autre situation qui minait la crédibilité des papes est le fait que le vœux de chasteté n'était pas obligatoire ce qui faisait que certains papes avaient des enfants et cela déplaisait au peuple. Pire encore, les actes de simonie, où l'on vendait des services religieux et des titres religieux. Donc certains laïcs se retrouvaient avec des titres religieux ce qui était complètement aberrant. L'église avait donc perdu beaucoup de crédibilité et elle se devait de se réformer au

cardinaux de l’Eglise de Rome et acclamée par le peuple et le clergé. La papauté est libérée de la tutelle impériale. La papauté va pouvoir dénoncer l’emprise laïque sur les institutions religieuses : Le nicolaïsme (mariage des prêtres). La simonie (Simon voulait acheter aux apôtres de droit de faire des bénédictions). En bref, la papauté condamne le trafic de charges ecclésiastiques. Le concile de Latran interdit aux clercs et aux prêtres de recevoir de quelque façon que ce soit une Eglise

Querelle des Investitures, mais ce n'est qu'un aspect, la réforme grégorienne est un mouvement ambitieux qui comporte plusieurs volés qui s'emboîtent mutuellement : Mettre fin à l'enlisement de l'Eglise dans la société laïque lutter contre la simonie (Simon le Magicien) et le nicolaïsme volonté de séparer les clercs des laïques affirmer la supériorité des clercs sur les laïques renforcer l'encadrement des fidèles par un accroissement de la tutelle du clergé affirmer au sein du clergé la suprématie

Grégoire VII. Ainsi, c'est Nicolas II qui, par décret, en 1059, institue la nomination d'un nouveau pape par les seuls cardinaux, éliminant donc l'empereur dans le choix du pontife. Le même décret de Nicolas II interdit l'investiture laïque des églises (simonie) et l'assistance aux messes dites par des clercs mariés ou concubinaires (nicolaïsme). En 1075, lorsque Grégoire VII écrit (mais ne publie pas) une série de vingt sept brèves propositions connues sous le nom de Dictatus papae, il va beaucoup plus

grégorienne. On réforme le clergé (renforcement du poids et affirmation de l’indépendance), on améliore les modes de vie des laïcs et on corrige les institutions civiles. C’est aussi la fin du Nicolaïsme (refus du célibat par les clercs) et de la Simonie (c’est le fait d’acheter des charges ecclésiastiques et des sacrements, de payer de la Pape pour obtenir des titres). L'église est une puissance matérielle par les terres qu'elle possède, qu'elle reçoit en donation et la dîme (qui correspond à

par exemple). • Il pense qu'un mode de vie irréprochable des clercs (membres du clergé) les rapprochera des fidèles, favorisera l'expansion du christianisme qui contribuera à maintenir la paix et la justice sociales. • Il lutte donc contre la simonie (l'achat des charges cléricales et des sacrements) et contre lesinvestitures laïques (voir premier paragraphe). Il s'oppose aussi au mariage et au concubinage des prêtres (certains prêtres vivaient hors mariage avec des femmes). Il recommande le célibat

Bouddha; le moine qui était accepté dans la communauté renonçait absolument à tous ses biens. Cette « communauté des mendiants » ne devait en aucun cas accepter de l'argent. À l'opposé, les Franciscains, séparés de l'église italienne, firent de la simonie un dogme : Tout est accessible par l'argent; achat ou vente de biens spirituels (grâces, bénédictions...). Le cynisme et l'attitude blasée sont les revers de l'avarice et de la cupidité. Le cynique ne fait pas de distinction entre les valeurs, allant

LE DARING C’est dans un bistro de la place Simonis, le « Tivoli », que quelques étudiants créèrent le Daring le 2 mai 1895. En feuilletant un journal hollandais, ils furent frappés par le nom d’un club batave de l’époque : Daring. Ils adoptèrent immédiatement ce nom. Pour les profanes, « to dare » signifie en anglais « oser ». Le club choisit les couleurs bleu et blanc. Le Daring loua le terrain situé à l’emplacement actuel de la Basilique de Koekelberg, là où le Racing de Bruxelles avait entamé

150 000 habitants , nous bénéficions donc de 70 mètres carrés d’espaces verts par personne mais la répartition de ces espaces verts reste très mal répartie . Dans cet article nous allons nous intéresser au District du canal ( délimité entre Simonis , la Place Rogier , la Gare du Midi , l’Abattoir d’Anderlecht et la Gare de l’Ouest ) avec plus de 100 000 habitants , ce District ne compte que 4,5 hectares d’espaces verts ce qui ne représente que 0,5 mètres par habitant. Dans le District du