Sire

arguments avancés par l’Agneau pour prendre sa défense le Loup trouve toujours une « excellente » réponse à lui avancer « Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? » v7 il l’accuse là de boire son eau alors que cet agneau a une réponse imparable «  Sire, que votre majesté ne se mette pas en colère […] Et que par conséquent, en aucune façon, je ne puis troubler sa boisson » v 10 à 17. Et celui-ci répond cruellement « Tu la troubles, reprit cette bête cruelle, et je sais que de moi tu médis l’an passé »

(Le serviteur et la garde se retirent) Dis, femme, quelle rigueur, quelle furieuse étoile t’ont incitée à profaner, avec orgueil et beauté, le seuil de mon palais ? ISABELA Sire… LE ROI Tais-toi. La langue ne saurait dorer l'erreur que tu as commise en m’offensant. Cet homme était-il le duc Octavio ? ISABELA Sire… LE ROI Qu’importe les gardes, les valets, les murailles fortifiées, les créneaux pour l’amour, si même ses forces d’enfant viennent à bout de ces défenses ! Don Pedro Tenorio,

loup. Il se montre, comme dans sa nature, très calme, avec une politesse respectueuse. Il semble même avoir déjoué les lois du règne animal en le confondant avec le lion, symbolisé comme étant le Roi de toute espèce. Il emploie « Votre Majesté » et « Sire » reconnaissant ainsi la puissance du loup et se met en position de servitude. Il cherche par là à apaiser les mœurs et lui demande de « ne pas se mettre en colère ». L'agneau tente de convaincre le loup à maintes reprises comme le fait qu'il ne puisse

connaître la personnalité des personnages et de critiquer l’église. I - Le portrait de Lorenzo A. Par l'Eglise. � Pour l'Eglise, Lorenzo est un débauché : "désordres de la cour" (réplique 14) et réplique 16 : "C'est Lorenzo que le pape réclame". Sire Maurice n'a le pouvoir de s'attaquer directement au Duc, et attaque donc Lorenzo. � "modèle titré ..." (réplique 18). Lorenzo est responsable de la débauche de Florence. � C'est aussi un profanateur (réplique 18). Allusion à un fait historique :

elles deviennent la proie du premier séducteur. [...] Pour obvier à tant de maux, Sire, nous demandons que les hommes ne puissent, sous aucun prétexte, exercer les métiers qui sont l'apanage des femmes, soit couturière, brodeuse, marchande de modes, etc., etc. ; que l'on nous laisse au moins l'aiguille et le fuseau ; nous nous engageons à ne manier jamais le compas ni l'équerre. Nous demandons, Sire, que votre bonté nous fournisse les moyens de faire valoir les talents dont la nature nous

vie sauvage n'est pas une fatalité.«Il ne tiendra qu' a vous, Beau Sire,» c)Pour hâter de convaincre son interlocuteur, il emploie tous les procèdes de la persuasion: il montre son intérêt par une interrogation qui prend sont interlocuteur a témoin «car quoi ?», il le presse par des impératifs «quittez, suivez-moi». De plus, loin de lui témoigner du mépris, il emploie un langage très poli, lui montre un grand respect «Beau Sire» a ce loup dépenaillé, (ce qui est comique) il le vouvoie. La stratégie

Felipe Augusto. Le Ménestrel de Reims repporte ca dialogue véhément entre le beau-père et sa bru. Laisserez-vous ainsi mourir mon seigner votre fils, en pays étranger? Sire, pour Dieu, il doit régner après vous; anvoyez-lui ce dont il a besoin, au moins le revenus de son patrimonie. Certes, Blanche, je n’en ferai rien. Rien, Sire ? Non, vraiment. Par le nom de Dieu, je sais bien, moi, ce que je ferai. Et que ferez-vous donc? Par le Sainte Mère de Dieu, j’ai de beaux enfants de mon seigneur;

offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut: mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi: Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse. - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien! manger moutons, canaille, sotte espèce. Est-ce un pêché? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur; Et quant au berger

première condition, la troisième, de la valeur de trois journées de travail, pour oser élever à l’électorat le centième de la première et seconde condition, la quatrième n’est de rien, afin de ne rien oser, pas même de vouloir, et c’est la vôtre. (…) Sire, on vous a trompé, quand on vous a présenté, comme une Constitution de paix, la Constitution innovée qui fait acception de personne, qui considère dans l’homme ce qu’il possède de préférence à ce qu’il est, qui se prévaut contre lui de son infortune…

tentative de séduction renvoie à la vie de la cour royale ; les courtisans s’adonnent à la flatterie en échange des faveurs du roi. L’aspect heureux du chien renvoie à l’apparente facilité de la vie de cour autour de Louis XIV. Les appellations « sire » et « beau sire » évoquent la noblesse, illustrée aussi par les tournures recherchées. L’aspect précieux et gai des mots apparaît dès lors comme pure ironie de la part du fabuliste. La morale se déduit au fur et à mesure que progresse la fable. Chacun est