Sisyphe Heureux

homme Toute sa vie Camus s’est manifesté contre l’oppression. Albert Camus est l’auteur le plus lu dans le monde. Camus a écrits des essais, des romans et des pièces de théâtre. 1ère période : « Le cycle de l’absurde » Le mythe de Sisyphe (essai) Le travail de Sisyphe est une antonomase. (C’est un travail qu’il faut recommencer tous les jours, et qui est toujours pareil) L’étranger roman /Le Malentendu Caligula Théâtre. 2ème période : L’homme révolté essai / La Peste Roman / Les Justes Théâtre

roman et choix du livre Il fait partie de la trilogie que Camus appelle le « cycle de l’absurde » qui décrit les fondements de la philosophie de Camus qui est l’absurdité. Il est publié en même temps qu’un autre roman de lamême trilogie, Le Mythe de Sisyphe, les autres étant les pièces de théâtres Caligula et Le Mal entendu. Ce titre est significatif parce qu’il raconte l’histoire d’un homme, Meursault, qui ne se conforme pas à la morale sociale et qui vit dansl’indifférence totale, et il se sent étranger

LE MYTHE DE SISYPHE Définition d’un mythe nom masculin qui vient du grec « muthos » qui veut dire récit. Récit mettant en scène des êtres surnaturels, des actions imaginaires... Allégorie philosophique (par exemple Le Mythe de la caverne). Personnage imaginaire dont plusieurs traits correspondent à un idéal humain, un modèle exemplaire (par exemple Don Juan) autrement dit un stéréotype. Ensemble de croyances, de représentations idéalisées autour d'un

analytique : L'incipit d'Albert Camus, L’étranger L'étranger est un roman d'Albert Camus, paru en 1942. Il prend place dans une trilogie que Camus nommera « le cycle de l'absurde »,trilogie composée d'un roman ( l’Étranger ), d'un essai ( Le mythe de Sisyphe ) et d'une pièce de théâtre ( Caligula ). L'étranger est un roman à la première personne dans lequel le lecteur plonge dansl'intériorité de Meursault, le narrateur-personnage. On assiste ici à une focalisation interne. L'incipit du roman, et plus

Introduction : Le texte présenté est extrait de L'Etranger de Albert Camus, paru en 1942. L'œuvre de Camus se caractérise par deux thèmes principaux: celui de l'absurde qui naît du décalage entre un besoin d'idéal et le monde réel (cf. Le Mythe de Sisyphe, 1951 ou encore La Peste dans lequel l'auteur dépasse cet absurde en proposant un nouvel humanisme: celui de l'entraide) et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que

aujourd'hui l'écrivain de l'absurde, de la révolte, de l'humanisme. Il est donc à la fois un surdoué de l'écriture et un philosophe sensible, ce qui transparaît dans ses œuvres les plus connues, et dont la liste ci-après n'est pas exhaustive : Le Mythe de Sisyphe (1942) essai sur l'absurde L'Étranger (1942) Roman Caligula Pièce en 4 actes La Peste (1947 ; Prix de la critique en 1948) Les Justes (1949) Pièce en 5 actes. L'Homme révolté (1951) Essai La Chute (1956) Date de parution : 1942 Contexte

ans après la mort de Camus. II- Situer l’œuvre dans son contexte L’Etranger paraît en 1942, il fait partie de « la trilogie de l’absurde » qui est une suite d’œuvres composées d’un roman philosophique : l’Etranger, d’un essai : le Mythe de Sisyphe, et de deux pièces de théâtre : Le Malentendu, et Caligula. Cette œuvre marque l’histoire car elle ne se réfère pas aux canons morales sociales. En effet, Meursault semble étranger au monde et à lui-même. Il se contente de faire l’inventaire de ses

pour la métropole lui ont permis d'y participer indirectement. Les prises de conscience induites par ces expériences douloureuses l'amènent à attacher son nom à une doctrine personnelle : La philosophie de l'absurde, qu'il définit dans Le mythe de Sisyphe en 1942. Dans ce passage, il s'agit de la scène finale, donc l'expicit du roman. Un jeu de circonstance amène Meursault à tuer un arabe et il est condamner à mort. Peu de temps avant l'exécution, un aumônier pénètre dans sa cellule et tente de le

intellectuel engage plus qu'un philosophe), acteur, metteur en scène, directeur du théâtre. Il a eu deux cycles dans sa créativité : Le cycle de l'absurde (Le mythe de Sisyphe, L’étranger, Caligula, Le malentendu- il analyse la situation de l'homme absurde. L'homme vit dans un monde dont il ne comprend pas le sens, les hommes sont semblables à Sisyphe). Le cycle de la révolte (L'homme révolté, La peste, L'état de siège, Les justes- l'absurde, une puissance qui se réalise dans la révolté. La révolte est la manière

de son amour, un moment de désespoir humain universel qui touche). La mère de Rieux aussi n’est pas à délaisser, elle est la figure emblématique de la mère, celle qui console et comprend en silence. Ou encore Rambert qui ne pourra plus jamais être heureux si il fuit la peste. La seule vraie morale est l’honnêteté et Rambert représente cette morale. (Mot « lâcheté » jamais employé). L’absurde peut être aussi représenté par le petit vieux aux chats ou l’asmathique et ses petits pois ; ils essayent