Situation D Enonciation

D’UN I. DISCOURS 1. a. b. 2. a. b. II. 1. a. b. c. d. e. f. g. h. 2. a. b. c. - ECRITURE ET COMMUNICATION AU THÉÂTRE ENONCÉS ET ÉNONCIATION Les types d’énoncés le discours des personnages Les didascalies Didascalies initiales Didascalies fonctionnelles Didascalies expressives Didascalies textuelles La double énonciation Les émetteurs Les récepteurs LE DISCOURS THÉÂTRAL Les formes du discours La réplique Le dialogue L'aparté Le monologue La tirade Le récit La stichomythie

« Les liaisons Dangereuses » Lettre 33 Choderlos de Laclos Intro Situation ( lettre 33 extraire 1º partie du roman épistolaire LD (1782). Duel libertin oppose M. de Merteuil et V. de Valmont, : pervertir Cécile de Volanges pour se venger de Gercourt. V. rencontre Mme. Tourvel. Caractérisation ( lecteur découvre relation rivalité entre 2 libertins et Merteuil en donant conseils a V. critique la Lettre. Problématique ( comment cet extrait constitue une remise en question de la lettre amoureuse

|+ rire ou sourire, effets comiques variés et fin heureuse | | | |(farce grossière ou finesse - comique de mots, de gestes, de situation, de | | | |caractère, de mœurs) | |Forme |langue soutenue, alexandrins, 5 actes |langue

d’Andromaque et à son dilemme ? Pour répondre à ces questions, nous allons par ce fait étudier dans cette tirade les vers 992 à 1011, en répartissant celle-ci en 3 grands axes : - Le tableau d’horreur - Le dilemme tragique d’Andromaque - Une énonciation complexe I°Un tableau d’horreur - La résurrection d’un passé douloureux : Elle évoque le carnage de Troie par ses souvenirs : Dans la première tirade, du vers 992 au vers 1011, les mots suivants : « Hector » (v.993), « son père

2° La préface de Tartuffe, Hatier p.279 (contexte de la pièce, ambitions comiques de Molière, une comédie sérieuse et satirique) Tartuffe 3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) 4° (V, 7) : Dénouement (coup de théâtre –deus ex machina-, éloge du roi) Etude sous forme de tableau. Documents complémentaires - Biographie de Molière Projection d’extraits de la mise en scène de J. Charon de Tartuffe ( comparaison

des horreurs du discours prononcé grâce à la double énonciation, le second vient de l’effet de décalage entre la logique apparente du discours du Bénéficier et sa réalité absurde et indéfendable. 1) La double énonciation ou le choix d’un énonciateur fictif  Pour dénoncer le fanatisme et l’intolérance des jésuites à l’égard des protestants, Voltaire choisit la stratégie de la lettre fictive qui permet la mise en place d’une double énonciation. En effet, Voltaire donne la parole au Bénéficier, caricature

l'oreiller. ENONCIATION Euphémisme : diminuer volontairement sa pensée pour éviter de choquer ou de blesser. Ex : « il nous a quitté » pour « il est mort ». Consiste à remplacer une expression par une autre qui en atténue le sens. Hyperbole : amplifie les termes afin de produire une forte impression. Ex : un géant = un homme de grande taille. Modalisateurs : termes qui permettent au locuteur ou au narrateur de traduire son humeur ou ses idées. Enonciation : situation qui permet de

génie et l’autre une simple toile blanche Problématique Annonce du plan I. Une scène d’exposition originale II. Le comique I. Une scène d’exposition originale A. Quand les personnages parlent au public D’ordinaire, au théâtre il y a double énonciation. Marc parle seul de Serge mais ce n’est pas un monologue car on dirait qu’il parle au public. En présentant son ami, Marc se décrit indirectement ainsi que sa façon de voir les choses. Marc n’est pas chaleureux, il est objectif, froid. Il donne

c’est un monologue et au théâtre il y a la double énonciation, il s’adresse au public. Dans le deuxième monologue, Le mariage de Figaro de Beaumarchais, Figaro s’adresse au Comte : « non, Monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas » (l6). Mais aussi, à cause de la double énonciation, il s’adresse au public aussi. Dans le troisième monologue, On ne badine pas avec l'amour de Musset, il s’adresse a lui-même : « Où vais-je donc ?» (l10). Double énonciation donc au public aussi. Dans le quatrième monologue

esthétique : innutrition ( Ronsard ), imitation ( Aragon ) dans le pétrarquisme, dépassement ou parodie ( Baudelaire ) Le poète s’interroge sur la création elle- même Une rhétorique : l’éloge hyperbolique de la femme aimée Une oralité dans le chant : énonciation où le TU est plus important que le JE parce qu’il le construit en tant que poète Aspect performatif des textes : en même temps que le poète cherche la gloire de la dame, il établit la sienne par sa création ( poiein ) Pierre de RONSARD Schéma