Situation D Oligopole

les défaillances du marché auxquelles elles prétendaient remédier. Par exemple, la permanence des tensions inflationnistes est attribuée au cadre rigide de la réglementation, ce facteur a contribué à remettre en cause l’intervention publique. En situation d’imperfection de la concurrence, on ne concevait pas de remplacer la réglementation publique par la régulation par le marché, puisqu’on se référait au modèle traditionnel de la concurrence pure et parfaite. Il en est autrement si l’on se réfère

de concurrence parfaite). On distingue par ailleurs traditionnellement trois structures de marché imparfaitement concurrentiel: le monopole, l’oligopole et la concurrence monopolistique Monopole : le marché ferroviaire français (avec la SNCF). Oligopole : le marché de la téléphonie mobile (Orange, SFR, et Bouygues Telecom se partagent l’essentiel du marché). Concurrence parfaite : les boulangeries dans une grande ville (en grand nombre, elles proposent des biens similaires). – Concurrence monopolistique

disponible » : vendre de l’audience à des annonceurs qui, en retour, ne payent pas. C’est un modèle qui est partagé par M6 et les autres chaînes de TV privées. · Lorsque les deux plus gros acteurs du marché décident de fusionner, ils vont donc être en situation de pouvoir de marché et lorsque les annonceurs vont vouloir négocier les prix des spots publicitaires, M6 et TF1 auront beaucoup plus de poids dans la négociation pour imposer des prix élevés (qui se font au détriment des autres chefs privés parce

ou de la demande par rapport à la variation du prix. - Monopole : Entreprise qui est seule à vendre un certain produit ; forme de concurrence imparfaite dans laquelle un vendeur (offre) fait face à une multitude d’acheteurs (demande). - Oligopole : Situation de concurrence imparfaite dans laquelle un petit nombre de vendeurs font face à une multitude d’acheteurs. Introduction : Un marché est le lieu de rencontre entre une offre et une demande. Cette rencontre détermine une quantité échangée

Echanges et recherche de solutions : échanger les infos, prise de paroles Décisionnelle : résoudre un pb et dresser un plan d’action Chacun doit respecter les règles de travail en groupe (s’écouter, ne pas couper, monopoliser, critiquer…. Les situations dans le groupe : Influence : dans les interventions de chacun Déviance : 1 du groupe ne va pas dans le même sens Normalisation : pression du groupe sur les ind déviants Conformisme : pression du groupe sur un sous groupe de déviants Innovation :

est liée à la notion de dépendance économique. I- La position dominante. Les droits de la concurrence européen et français protègent le marché des entreprises qui exploitent de manière abusive leur position économique mettant en situation de faiblesse les autres entreprises. Ainsi, le traité CE et le code du commerce ne prévoient uniquement qu’une seule interdiction. Ainsi l’article 82 du traité CE prononçait qu’ « est incompatible avec le marché commun et interdit le fait pour une

successifs ont tenté d’apporter de multiples réponses. 1 Les problèmes auxquels sont confrontés les petits commerçants a. La grande distribution Les concentrations dans la grande distribution française ont abouti à la formation d'un véritable oligopole qui fixe les prix à la production dans un contexte pouvant ruiner à la fois les fournisseurs (entreprises et agriculteurs), leurs salariés et les consommateurs. Les commerçants, les artisans, les petits indépendants ne sont pas correctement armés

produit. Réclame. Logique de production. 2eme période : milieu années 50 – milieu années 60. offre = demande : objectif = vendre et entreprise consciences de la concurrence. Fort pouvoir d'achat. 3eme période : années 60-70 offre > demande : situation concurrentiel, ménages logique d'équipement. Fort pouvoir d'achat. Consommation change. Télévision de + en + présente. Objectif = répondre aux besoin. 4eme période : années 70 offre > demande. Première associations de consommateurs. Concurrence

: Les fondements de l’économie de marché La rationalité est à la base des comportements individuels. En effet les individus cherchent le maximum de satisfaction et que, en conséquence, ils exploitent toujours une opportunité d’améliorer leur situation. D7s lors, le comportement humain est étudié comme la solution d’un problème de maximisation d’un objectif sous contraintes (temps, revenu, prix, connaissances, facteurs de production,...). Néanmoins, Certains économistes rejettent ce postulat

passé une classe de produit donnée. Il existe une légère ambiguïté entre ces deux domaines. En effet, la frontière entre ces deux définitions est fine car pour certains, le marché est défini par un ensemble de produits jugés substituable pour des situations d’usage données et pour d’autre par un ensemble de consommateurs pour lesquels ces usages sont pertinents. Selon l’optique choisie, la mesure effectuée n’est pas la même. Selon l’optique « offre », le marché peut être évalué en quantité de biens