Situation D économie La Transformation Des Banques

économique, elle sert d’unité de compte pour comparer des mesures entre elles, grâce à un étalon. – économie sans unité de compte Nous avons n biens échangés. Il faut répertorier tous les prix relatifs possibles, i.e. le prix d’un bien par rapport à un autre bien. Nous aurons alors n (n – 1) / 2 * 1 prix relatifs. Si nous avons 100 biens échangés, nous aurons ainsi 4 950 prix relatifs. – économie avec unité de compte Nous avons toujours n biens échangés, mais il existe un étalon numéraire avec

système bancaire : FINANCE ← Système de crédits français INDIRECT ← Etablissement de Crédits INTERMEDIAIRE ← Banque Marché de capitaux = ⇨ Marché monétaire = marché de capitaux à court terme Marché inter bancaire Marché des titres de créance négociable BCF font une politique monétaire => marché ouvert FINANCE EC / banque de France DIRECTE ← marché fermé DE MARCHE ⇨ Marché financier = marché de capitaux à MT et LT Marché obligatoire

Titre  0     Chapitre  0   Economie  monétaire     Page  1  sur  2     Economie  monétaire   bouquin  :                     Laure  KLEIN  :  «  La  crise  des  subprimes  »  revue  Banque,  20  €   Andrée  ORLEAN  «  De  l’euphorie  à  la  panique  :  penser  la  crise  financière  »,  7  €   Henri  BOURGUINAT

menace tous ces progrès. La gravité de cette crise financière internationale soulève le problème de son impact sur le système financier international en général et particulièrement sur les économies africaines. Quelle est l’origine de la crise financière qui secoue le monde ? Quels sont ses effets sur les économies africaines et par ricochet sur l’économie ivoirienne ? Quelles sont les mesures prises et celles envisagées pour faire face aux effets pervers de cette crise ? La réponse à ces questions

dépend de la confiance que les marchés vont accorder aux mesures prises actuellement pour sortir de la crise. La zone euro sort de la crise dans une autre forme • Un autre scénario possible est que la zone euro sorte de la crise avec des transformations importantes de l’architecture de la zone euro impliquant une plus grande intégration économique et politique. Eclatement de la zone euro : quand et Comment? Un ou plusieurs pays du Sud quittent la zone euro • Dépréciation de la « nouvelle

aujourd’hui ainsi que par l’URSS avant 91. L’autre modèle est le modèle de l’économie pure ou du laissez faire et cela représente l’Angleterre au milieu du 19° siècle où se sont les individus qui prennent leurs décisions. Mais en réalité, les économies sont loin d’être aussi extrêmes, elles sont plutôt entre les deux : entre libéral et le tout étatique : c’est l’économie mixte. La raison est que la plupart des décisions sont prises sur le marché malgré le fait que les individus ne font pas ce qu’ils

chutent, profits s’effondrent… Ce sont les mécanismes de base d’une récession. Parfois face à cette situation, on peut demander à l’Etat d’intervenir, dans une optique keynésienne notamment, l’Etat peut intervenir pour limiter les fluctuations. Mais il y a débat chez les économistes car certains pensent que l’intervention de l’Etat n’a pas d’intérêt, car le temps que l’Etat intervient, la situation sera modifié et intervention inefficace ou mauvaise. Si l’Etat doit intervenir, il doit le faire très

leur permet de réaliser des économies d’échelle et d’abaisser le coût unitaire des services financiers. Elles réduisent de nombreux coûts de transaction. Les banques permettent également de réaliser la transformation financière, à la différence des marchés financiers qui ne parviennent pas à concilier les offres et les demandes de capitaux, en quantité et en qualité. 2) Les institutions financières réductrices de risques. Comment peut-on expliquer que les banques soient les partenaires privilégiés

Thème I : Croissance économique, mondialisation et mutation des sociétés depuis le milieu du XIXe siècle Chapitre 1 : Croissance* et mondialisation* depuis le milieu du XIXe siècle. Intro : - Transformations économiques - Transformations sociales - Appréhension des mutations économiques mondiales au XIXe siècle. 1820 : début de la croissance économique et moderne. La croissance induit la mondialisation et vis-versa qui commence au milieu du XIXe siècle jusqu’en 2007-2008

ou encore biens non économiques. S’ils venaient à changer de statut (exemple : air oxygène ou eau minérale mis en bouteille) ils deviendraient biens économiques car produits du travail/transformation de l’homme. La production de biens et de services d’une économie constitue la richesse économique de cette économie. La richesse economique n’est donc pas l’accumulation de liquidités (simple vecteur de la richesse économique) mais la capacité/production de biens et de services en quantité et en variété