Skinner Liberté

humain :             La morale ne propose pas simplement des valeurs communes, une définition du bien et du mal. Elle assigne les hommes à ces valeurs, les somme de les respecter. Elle présuppose ainsi qu’ils ont la latitude suffisante pour cela, la liberté et donc la responsabilité d’obéir ou non aux prescriptions de la morale. Celle-ci est donc un système de jugement des actions humaines, qui marque du sceau de la culpabilité tous ceux qu’elle prend en défaut, tous ceux qui font volontairement le mal

par notre volonté à choisir. Le choix s’oppose aux comportements instinctifs ou à une conduite automatique. Dans le comportement animal le plus simple, il y a selon Bergson, un rudiment de choix, donc un rudiment de conscience : donc une trace de liberté. (=zoo conscience.) A) INFINITE DU DESIR.  C’est la vie intérieure, une réalité intime que, selon Bergson, nous ne pouvons saisir que par l’intérieur, c'est-à-dire par intuition. C’est la vie du moi dans l’originalité de sa durée : par l’expérience

motivations du créateur ? 1 – aller toujours plus loin (achievement motivation). Se dépasser – surmonter les obstacles – dépasser les obstacles qu’on s’est soi-même fixés – travailler dur pour atteindre plus vite ces objectifs. 2 – le désir de liberté, d’orienter sa vie librement, de fixer ses objectifs, de se juger lui-même, de choisir lui-même ses collaborateurs. 3- le goût du pouvoir (power motivation) mais à une moindre importance. La volonté de puissance des dirigeants est différente

c’est la notion ‘’d’aptitude à…’’ qui relèverait plutôt du registre des qualités intrinsèques (valeurs subjectives) que possèdent chaque individu et qui ne peuvent s’apprécier de manière objective. Il est certain que les bénévoles de ‘Culture & Liberté’ possèdent des qualités, mais quelles sont-elles ? Comment pourrait-on les qualifier ? Pour nous permettre de répondre à ces questions, nous allons devoir questionner les principaux intéressés. Nous essayerons de recenser les principales qualités

La vie est un songe (titre original : La vida es sueño) est une pièce de théâtre espagnole métaphysique, écrite en 1635 par Pedro Calderón de la Barca. Cette pièce, qui s'inscrit dans le théâtre baroque espagnol, propose une réflexion sur l'illusion et la réalité, le jeu et le songe. La pièce est découpée en trois journées ; deux intrigues s'entremêlent. L'action se déroule dans une Pologne fictive, proche d'une forteresse, sans aucun souci de vraisemblance. Résumé de l'œuvre 1er jour Rosaure

Picrochole : les moines psalmodiaient en latin, buvaient, récitaient des prières, … I. Un monde libre a) Expression de la liberté • « fais ce que voudras » → simplicité du commandement, caractère gnomique • « non par des lois statuts ou règles, mais selon leur bon vouloir » • anaphore « quand bon … » • accumulation « nul ne les …, nul ne les …, ni …, ni … » • θελω = je veux b) Liberté réservée à une élite • nécessite des qualités innées → « des gens libres, bien nés, bien instruits », « par instinct »

créateur est libre de son temps et de ses opinions lui permettant de produire ce que le peuple préfère. Pourtant, cela n’apporte que des chaînes encore plus lourdes qui sont dictées par la mode du moment : « ils succombent de plus en plus à la fausse liberté de répondre à la demande sociale. » De plus, dans leur propre voie ils excellent et produisent des œuvres magnifiques qu’une simple poignée d’hommes peut égaliser dans leur domaine. Cela leur donne

Le développement technique represente une menace pour la liberté parce que les progrès techniques s'appliquent à l'homme lui-même et redessine les rapports de pouvoir au sein de la société Les caméras de surveillance, le repérage des téléphones, la piraterie informatique sont des nouveautés au développement technique, cela devient une véritable menace si ces formes d'intrusion dans la vie privée, jusque dans nos faits et gestes quotidiens. Le progrès technique consiste à effectuer le plus d'opérations

patriarcale, vivant dans l'harmonie et l'autarcie. Le contrat social, de 1762 est un texte majeur de philosophie politique où la société n'est pas fondée par la justice. Préserve la liberté humaine « de la volonté générale ». L'Emile ou de l'éducation, de 1762 met en place une éducation qui préserve la liberté de l'enfant, concept « d'éducation négative », respect des différents moments de la vie de l'enfant en harmonie avec la Nature. Commencer par lire Robinson Crusoe de Defoe, et ne pas se

contraire, le désir serait le signe même de notre liberté. Par opposition à l'animal (qui n'éprouverait pas de désirs, mais des besoins et des instincts biologiquement déterminés), l'homme est l'être indéterminé: ses désirs n'ont pas de but préalablement défini, signe que son existence n'est pas soumise au déterminisme. Le problème central apparaît donc. Reconnaître que le désir est, par essence, errance, est-ce le caractériser comme une privation de liberté, ou au contraire comme le propre même de l'Homme