Slobodan Milošević

Sous-section 1. Un but légitime Sous-section 2. Une proportionnalité Chapitre 3 – Les rapports entre la CEDH et le droit international …………..p. 25 CONCLUSION ………………………………………………………………………p. 27 2 Introduction Omar Al-Bachir, Laurent Gbagbo, Slobodan Milosevic… Ces chefs d’état ou anciens chefs d’état ont un point en commun : ils sont attraits devant les tribunaux pour des faits commis pendant leur mandat. Force est de constater que leur immunité est de plus en plus contestée. Ces dernières années

à l’indépendance, il n’en est pas de même pour la Croatie et surtout la Bosnie Herzégovine, région où les diverses populations sont particulièrement enchevêtrées. Les Serbes de Bosnie, menés par Radovan Karadzic et soutenus par la Serbie de Slobodan Milosevic, refusent toute accession à l’indépendance. Sarajevo, capitale et symbole d’une région multiethnique, est un des principaux enjeux de l’affrontement. • Les Serbes harcèlent les habitants de Sarajevo pendant des mois par des bombardements

conflit armé éclata en 1999 et fit de nombreuses victimes civiles au sein de la population albanaise du Kosovo. En février 1999, les Etats-Unis et l’Union Européenne imposèrent aux serbes et aux Kosovars un plan de paix. Celui-ci a été refusé par Milosevic[19]. Ce qui a entrainé le bombardement de la Serbie par l’OTAN le 24 mars 1999[20]. Face à l’échec des négociations de Rambouillet visant à permettre un règlement pacifique de la question, pour la première fois de son histoire, l’OTAN est intervenue

Moyen-âge. La tension monte de part et d’autre jusqu’en 1998 où un conflit ouvert débute. Il oppose l’armée serbe à la guérilla indépendantiste menée par l’Armée de Libération du Kosovo (UCK). Le 14 octobre 1998, la communauté internationale oblige Milosevic à signer un accord prévoyant l’autonomie du Kosovo et le retrait des troupes serbes du Kosovo. Cependant, les actions terroristes de l’UCK continuent pour obtenir l’indépendance et les militaires serbes forcent à l’exil des milliers d’Albanais. L’OTAN

Herzégovine (villages brulés violes systématiques, déportation, internement dans les camps d’extermination, abattages comme à Srebrenica en juillet 95). L’EU récente a reconnu les états nouvellement indépendants et a condamné la Serbie et ses leaders (Slobodan Milosevic). L’ONU a lancé des sanctions contre ça (embargo de pétrole) et l’OTAN l’a bombardé au début de 94. Les négociations se sont fini en cessez le feu et avec l’accord de Dayton en 95. Au Kosovo, un conflit inter-ethnique entre la minorité Albanophone

Andrew Ross, explorer cette dimension affective ne doit en aucun cas revenir à nier l’existence de calculs stratégiques – l’émotion étant souvent utilisée et mise en forme par des leaders politiques déjà en place ou en phase de compétition. Slobodan Milosevic, dans son discours du 28 juin 1989 à Kosovo Polje, a su animer ou reformuler le nationalisme serbe en insistant sur la fierté de ce peuple et sur les humiliations déjà subies, engageant ainsi la dynamique ultranationaliste serbe des années 1990

........................................................................................... 38 2 Introduction – problématique Suite aux guerres de l’ex-Yougoslavie et aux massacres perpétrés par les Serbes au Kosovo sous la conduite de Slobodan Milošević4 dans les années 1990, l’alliance militaire de l’OTAN se voit obligée d’intervenir sous forme de frappes aériennes pour « mettre fin aux violations des droits de l’homme, sans être mandatée par le Conseil de sécurité des Nations Unies »5

le gouvernement fédéral intervient sous couvert de défendre les Serbes qui vivent dans ces états. En 1992, l’indépendance de la Bosnie-Herzégovine est le point de départ d’une véritable « purification ethnique » par les forces serbes de Slobodan Milosevic dans les régions qu'elles occupent. L'action de l'Europe est relayée par l'ONU qui envoie les Casques Bleus en Bosnie (mission FORPRONU 1992-1995), puis par l'OTAN. Ce sont finalement les Américains qui imposent la paix avec les accords de

Kosovo a donné son soutien au projet européen de création d'un tribunal international jugeant les auteurs de crimes commis pendant et après la guerre opposant les sécessionnistes de l'Armée de libération du Kosovo (UCK) aux forces serbes de Slobodan Milosevic, entre 1998 et 2000, le vendredi 11 avril 2014,par la voix de la présidente du Kosovo, Atifete Jahjaga. Pourtant, la loi établissant ce tribunal, qui doit être débattue la semaine prochaine devant le Parlement du Kosovo, n'est pas sans controverse

musulmans et les croates ont voté mais que les Serbes de Bosnie ont boycotté La Serbie entend protéger les Serbes de Croatie et de Bosnie 2. La guerre en Bosnie débute en Avril 92 2.1. Le retour de la guerre en Europe La Serbie, dirigée par Slobodan Milosevic, ancien communiste et ultranationaliste, entend construire une « Grande Serbie » La Bosnie va connaître une guerre de trois ans dont sont surtout victimes Croates et Musulmans Des violences et des scènes d’horreur : bombardements de populations