Slobodan Milošević

marché
 de
 Sarajevo,
 l’OTAN,
 sous
 l’impulsion
 des
 États
 Unis
 décide
 du
 bombardement
 la
 Bosnie
 Herzégovine.
 Pendant
 12
jours,
le
pays
sera
la
cible
de
missiles
de
précisions
sur
plus
de
trois
cents
cibles.
Ce
 bombardement
poussa
Slobodan
Milosevic
à
la
table
des
négociations,
sous
l'égide
des
 États
Unis,
à
Dayton.
Bien
que
les
accords
censés
mettre
un
terme
au
conflit
fussent
 signés
 à
 Paris,
 ils
 gardèrent
 le
 nom
 d’
 «
 Accords
 de
 Dayton
 »
 coupant
 la
 Bosnie
 Herzégovine
en
deux
États
au
sein
d’un
État
central

forces militaires suffisantes. Le droit international reste limité: en 1993 l'ONU créé le Tribunal pénal international pour l'ex Yougoslavie puis pour le Rwanda. La cour européenne de justice de la Haye a jugé ainsi le président yougoslave Slobodan Milosevic. En 2002 une Cour Pénale Internationale est même instituée pour juger plus généralement les individus coupables de crimes contre l'humanité mais ni la Chine, ni les Etats-Unis ni les Etats du Proche Orient ne reconnaissent son autorité....

ne prouve qu’elle soit légitime et fondamentalement bonne. De trop nombreux exemples nous montrent que la démocratie est aussi un système faible. Donner le pouvoir au peuple, c’est leur permettre de commettre de trop grandes erreurs. Hitler, Slobodan Milosevic et d’autres encore furent élu démocratiquement et usèrent du pouvoir et de la confiance acquis par le peuple pour le massacrer. Bien que la démocratie ne soit en aucun cas un système parfait, aucun penseur, philosophe, économiste ou autres

le cas de l’Irak CONCLUSION La priorité est de lutter contre les armes classiques, le désarmement conventionnel doit être la priorité La mise en place de traités internationaux complétés par la mise en place de tribunaux internationaux : Slobodan Milosevic, Omar El béchir.

mobilisations pour RCTV en avril, le logo des étudiants était un poing fermé avec curieusement beaucoup de ressemblance à celui du mouvement Otpor (Résistance), un groupe de jeunes opposants serbes ayant contribué à la chute du président yougoslave Slobodan Milosevic en 2000. Cette organisation née en 1998 fût encadrée à l’époque par l’Albert Einstein Institution. Sollicité pour conseiller d’autres pays en transition Otpor changea de nom en 2003 : le Center for Applied Non-Violent Action and Strategies

guerre se déplace en 1998 au Kosovo (peuplé à 90 % d’Albanais musulmans) entre séparatistes albanais et forces serbes qui recourent une nouvelle fois à la « purification ethnique ». En 1999, l’OTAN contraint Milosevic à faire évacuer les forces serbes. En 2000, les électeurs serbes rejettent Milosevic, qui est jugé par le TPIY (Tribunal Pénal International pour la Yougoslavie) - - - Ccl : La multiplication des conflits montrent les limites de cet « ordre mondial » voire les incapacités des

le 600e anniversaire de la défaite de la Grande Serbie. Le dirigeant serbe Slobodan Milosevic aggrava encore les tensions entre les Serbes et leurs voisins yougoslaves en faisant aboutir ce pèlerinage sur le champ de bataille, au Kosovo. C’est là que Milosevic annonça son intention ultime : « Nous ne pouvons exclure l’idée de faire usage de la violence pour reprendre possession des terres serbes. » La montée de Milosevic et du nationalisme serbe déclenchèrent les référendums pour l’indépendance

2000, le Conseil a adopté une interprétation extensive de l’article 301 TCE en se fondant sur cette disposition pour infliger des sanctions à des acteurs non-étatiques, ainsi qu’a des individus. Par exemple, des sanctions furent infligées à Slobodan Milosevic et ses associés en vertu du Règlement 2488/2000 du 10 novembre 2000, en raison de la menace qu’il présentait à la consolidation de la démocratie en ex-Yougoslavie. Le Conseil estima que les articles 301 et 60 constituait une base légale satisfaisante

d’un parlement, de représentant élu ou d’agent d’un Etat comme cause éventuelle d’exonération de responsabilité. L’illustration la plus spectaculaire a été donné le 27 mai 1999 par la mise en examen et le jugement d’un chef d’Etat en exercice, Slobodan Milosevic pour les actes de violences et mauvais traitement ordonnés par lui au Kosovo. Cette mise à l’écart de l’immunité est uniquement posé dans des instruments obligatoires spécifiques établis par résolutions du Conseil de Sécurité dans le cadre de

revendications nationalistes fortes en Croatie et en Slovénie et le multipartisme est finalement reconnu en 1990. b) La guerre en Croatie : En juin 1991, la Croatie et la Slovénie proclament leur indépendance que n’accepte pas le président serbe Slobodan Milosevic qui réagit en envoyant l’armée fédérale yougoslave rétablir l’ordre par la force dans les deux républiques séparatistes. L’intervention de l’armée en Croatie est marquée par le long siège de la ville de Vukovar et par le massacre perpétré en