Smith Ricardo Comparaison

penseurs incontournables tels Aristote, Adam Smith et John Stuart Mill, même si Marx était sans conteste un acteur central des discussions à saveur politique avec ses camarades[9]. Il s’est penché beaucoup plus sérieusement sur les écrits d’Adam Smith au tournant des années 80, en tentant de faire une relecture de ses oeuvres pour mettre en relief leur apport philosophique ainsi que ses considérations pour les plus démunis[10]. En entrevue, Sen dira que Ricardo est probablement l’auteur classique qu’il

AVANTAGES ABSOLUS ET AVANTAGES RELATIFS Les auteurs classiques Adam SMITH et David RICARDO ont montré que l'ouverture des frontières se traduisait par un gain pour tous les échangistes. Pour eux (et pour MARX aussi), le commerce extérieur est un facteur de productivité. Ils ont élaborés les théories classiques du commerce international. Adam Smith est l'auteur de la théorie des avantages absolus. Trente ans plus tard, David Ricardo mettra en évidence l'importance des coûts relatifs. La théorie des

Depuis la première révolution industrielle, à la fin du XVIII siècle, l’économie mondiale a connu une croissance économique considérable. Si on mesure la croissance comme l’augmentation du Produit intérieur brut et que pour pouvoir faire des comparaisons pertinentes dans le temps et dans l’espace on prend en considération le PIB par hab. , on constate des phases de croissance lente et des phases de croissance rapide qui aboutissent à une augmentation sans précédent des richesses produites et consommées

n’étudie le système dans sa globalité. C. Les erreurs des néoclassiques selon Keynes. Keynes dit qu’il n’y a rien eu de nouveau en économie depuis 100 ans dans son livre de 1936. Pour lui il n’y a rien eu de nouveau depuis les classiques (Ricardo, Smith, Say) alors qu’entre temps il y a eu Marx et les néoclassiques. Pour Keynes ils n’ont aucuns intérêts. Il va parler seulement des erreurs des classiques. Selon Keynes il y a 6 erreurs chez les néoclassiques : * L’emploi : les néoclassiques

réglée de l'économie capitaliste fondée sur l'échange universel des biens et du travail2. Cette vision cohérente ne répétait donc pas seulement, au niveau théorique, les vides d'une information ethnologique balbutiante et disparate. Elle étalait 1. A. Smith 1776, 2 : 338 : « Au contraire des nations sauvages, chez les nations civilisées et en progrès [. ..] la somme du produit du travail de la société est si grande que tout le monde y est pourvu avec abondance et que l'ouvrier, même de la classe la plus

modélisation mathématique... On admettra que ce progrès analytique est tendanciel c'est a dire qu'il peut être entre coupé par des phase de stagnation ou même recule intellectuel (thèse de schumpeter). Phase de progrès au moyen age, puis de recule avec smith, ricardo et Marx, puis un renouveau avec les néoclassique. Au bout du compte cette thèse suppose que avec le temps, Les bonnes idées, résonnement vont chasser les mauvais, pareil pour les auteurs, ou encore cette idée, l'état actuel des connaissance est

la politique afin de comprendre les causes qui font d'elle une démocratie libérale. Le deuxième tome essaye de construire un idéal type. Il cherche qu'elles sont les implications du processus démocratique sur la société américaine (toujours en comparaison avec la France). Il étudie en particulier intellectuel, les sentiments des américains et les mœurs ainsi que la société politique. Ce qui intéresse Tocqueville c'est l'analyse du caractère libéral de la démocratie américaine, le processus (inévitable

par ENGELS. MARX cherche, dans cette œuvre, à comprendre scientifiquement le fonctionnement du capital afin d’offrir à la classe ouvrière un outil de renversement de la classe d’oppression. Il s’oppose à l’analyse économique classique de SMITH et de RICARDO. Pour lui, le capitalisme n’est pas simplement un ensemble de lois de marché et n’aboutit pas à un enrichissement mutuel des personnes qui participent à son développement. Pour lui, c’est un mode de production qui émerge d’un processus qui est

Les règles de la méthodologie sociologique Les faits sociaux doivent être identifiés mais aussi expliqués. Expliquer, c’est rendre compte des causes et des effets que tel ou tel phénomène génère. Le recours aux statistiques mais aussi à la comparaison (entre des époques historiques, entre des sociétés, entre des catégories sociales) permet d’administrer la preuve et donc, d’articuler fortement discours sociologique et réalité sociale. Les faits sociaux ont une origine collective. Un fait social

pour le lien étroit qu'elles entretiennent avec la formation de l’État moderne et des empires coloniaux, et enfin, pour la persistance de certaines de ces pratiques jusqu'à nos jours malgré leur diabolisation par les économistes libéraux depuis Adam Smith. Le cas de l'Angleterre attire plus particulièrement l'attention car c'est dans ce pays que va naître la forme la plus aboutie du mercantilisme ; c'est par ces politiques que l'Angleterre parviendra à une situation quasi-hégémonique au niveau mondial