SNCF Mobilités

n’arrivent cependant pas à accéder à la même position que leur parent. L’amplitude de ce phénomène est croissant aujourd’hui ce n’est plus seulement t une impression mais une réalité. Une proportion considérable se sent en régression sociale. La mobilité sociale est beaucoup moins ascendante et beaucoup plus descendante. • Mais il y a certaine relativité du phénomène de 1980 à 2000. La réalité infragénérationnelle et l’ascension social qui existe est toujours grandissante. Le déclassement

donc comme un processus d'interaction entre un individu et son environnement. Ainsi conçue, elle n'est plus seulement un mécanisme favorisant la reproduction sociale mais elle peut même contribuer à l'évolution des valeurs et au changement social. Mobilité sociale C'est la modification plus ou moins fondamentale des normes et des valeurs dans une société donnée. Toute socialisation est le résultat de deux processus différents : assimilation et accommodation. Par l'assimilation, le sujet chercherait

I – Groupes de statuts La classe réelle (communautés, réalité sociale vécue ) est une société créée aussi par les liens extra-économiques : les liens sociaux. Les liens sociaux : en s'associant, permet de s'intégrer dans la société. '' Conditions statutaires '' c'est le statut social fondé sur le prestige ( des groupes plus prestigieux que d'autres, échelle sociale ) ''Le prestige est le privilège de considération sociale revendiquée de façon efficace'' Les groupes qui ont un statut social

L’employabilité post-scolaire remise en cause p.47 II) Une faculté de réussir éprouvante et inégalement distribuée L’université comme seul leitmotiv de réussite économique et sociale L’influence des choix universitaires sur l’emploi et la mobilité sociale p.49 Aucune pluralité des parcours scolaires qui permettent de réussir p.54 Une sélection accrue et sa dérive marchande : Le système « Juku » p.58 Des inégalités à l’origine d’un décalage social et économique L’emploi

Dans quelle mesure l'école est-elle source de mobilité sociale ? Introduction La réforme récente de l'Éducation nationale proposée par le Plan Fillon porte une nouvelle fois sur le devant de scène médiatique le lien historique et passionnel qui unit les Français et leur école. Enjeu par le passé d'oppositions irréductibles entre partisans et adversaires de la laïcité, le débat est aujourd'hui apaisé et moins idéologique. Il se centre plutôt sur le caractère utilitariste que les Français accordent

positions sociales et une plus grande mobilité sociale. Les sociétés démocratiques ne sont plus stratifiées par des hiérarchies de droit, naturel ou divin mais par des hiérarchies de fait. L’égalité des conditions permet à chacun de pouvoir occuper dans la société une position différente de celle de ses parents. Donc dans l’égalité des conditions, la mobilité sociale est possible. Contrairement au régime traité dans la première partie, chacun peut connaitre une mobilité sociale. L’égalité des chances

disparition de la classe ouvrière mises en avant par certains sociologues.(TP5) 1.Il y a d’abord eut une élévation du niveau de vie des ouvriers grâce à la forte croissance des années 1950 et 1960. Cet « embourgeoisement » des plus qualifiés et la mobilité sociale que l’allongement des études leur a fait espérer pour leurs enfants ont limité leur capacité revendicative puisque les inégalités de revenu se réduisaient. Il est à noter un rapprochement avec les employés par l'homogamie, les rémunérations

moyennisation de la société est donc fondée sur des réalités difficilement contestables. Cette dernière est selon Tocqueville, un processus irrésistible lié au développement de toute société dont les principes démocratiques (égalité des chances, mobilité sociale, consensus social …) permettent le rapprochement des strates sociales, la diversité sociale s'opérant sans hiérarchie et dans l'harmonie. Cependant, aujourd'hui, nombreux sont les sociologues qui remettent en cause cette analyse : la diminution

=> environ 3,3millions) 3. La hausse du niveau des qualifications mais une mobilité sociale plus difficile. Les cadres et les professions intermédiaires sont de plus en plus nombreux dans la population active depuis les années 70. En effet, il y a une démocratisation de l’enseignement et une hausse des qualifications. Ainsi la proportion des bacheliers dans une génération, approche les 65%. Toutefois, la mobilité sociale est plus difficile du faite de la conjoncture économique : à côté des

Responsable du programme Philippe PIERRE Consultant. 15 années d’expérience comme DRH (L’Oréal et Total). Enseignant à Sciences-po et à l’ESSEC . Chercheur au LISE (CNRS). Auteur de « Mobilité internationale et identité des cadres », Paris, SIDES, 2003. Stratégies et conduite du changement Public Cadres supérieurs ou dirigeants. Responsables d'unités, filiales, grandes fonctions ou services. Cadres ayant à conduire des opérations en impliquant différents partenaires internes et externes à