Sobibor Le Livre

répartis en Allemagne et en Autriche [38], où sont regroupés les « malades mentaux – handicapés profonds – psychopathes – vieillards grabataires – asociaux – porteurs de maladies congénitales et d’affections héréditaires ». Le monoxyde de carbone est livré par l’ig Farben. Un personnel spécial a été engagé et les membres des plus hautes juridictions du Reich sont totalement informés les 23 et 24 avril 1941 lors d’une réunion tenue à Berlin. Aucun juriste ne désapprouve les opérations et les quelques

naturelle à traquer dans l'histoire ou dans la modernité actuelle les terres plus ou moins méconnues, tout ce qui fait d'une littérature une littérature vivante. Dans un genre tout à fait différent, le même Philippe Claudel nous alarme dans son dernier livre de la démence du monde : « L'Enquête » (2010) est une fable, un conte, ou plutôt un roman noir du totalitarisme insidieux où le héros semble être le seul humain à témoigner de l'attention aux autres. Une œuvre étrange qui peut rappeler le premier

nombre d’années la shoah : « catastrophe en hébreux : nom officiel donné en Israël de l’extermination des juifs par les nazis » a été pour seul point de départ la mise en place des idées nationalistes et antisémites que Hitler avait annoncé dans son livre : Mein Kampf (1924-1925) où il revendiquait un espace vital vers l’est (lebenstraum) et d’autre part l’extermination des juifs (Endlosung der JudenFrage). Mais contre toutes idées reçues l’antisémitisme remonte sous formes de théories et de représentations

la tragédie proprement dite. D’un autre côté, la seule publication de quelques témoignages n’aurait pas suffi à mettre en lumière tous les aspects essentiels de l’histoire. J’ai donc opté pour une solution mixte (p. 10). En effet, le titre du livre (une “tragédie” française), le découpage en trois “actes”, la liste des personnages donnée en tête, font ressembler ce texte au texte d’une tragédie, bien qu’il ne soit pas dialogué, tandis que le titre du dernier chapitre : “Épilogue” relèverait plutôt

d'anéantissement (der Vernichtungskampf) : _________________________________________________ 5) quelques livres sur le génocide des juifs - La destruction des juifs d'Europe, Raul Hilberg, 1985/2005, éd. Gallimard/Folio, 2006. résumé du livre Raul Hilberg n'a pas voulu traiter seulement de la dimension éthique de la catastrophe "indicible", "innommable", "passage à la limite de l'humanité", a-t-on répété, le génocide est d'abord-on l'oublie trop souvent- un fait historique. En cela il

des maladies non soigné (les camps de la mort lente) ce sont des réservoir de mains d'oeuvre inépuisable car ils sont constamment renouvelé. A partir de 41/42 les camps d'exterminations sont crée en Pologne → 1er camps ; Chelmno, ; treblinka, sobibor,Belzec, majdanek, Auscwitz. Ces camps sont crée dans le but d'extermination final. Ce sont des camps de mise a mort, la plupart des déporté sont tuer le jour de leur arrivé. Organisation rigoureuse, confiscation des chaussures, effet personnel, lunettes

comme un troupeau de foire aux Blum, Kaiserstein, Schweinkopf et autres Zzyromsky dont le nom bien français est déjà tout un programme. Voilà la dictature qui t’attend, peuple de France ! Ton Parlement est pourri, tes politiciens compromis, ton pays livré à la boue des scandales **. La guerre civile grogne. Paysan, la ruine te menace ! Ouvriers, intellectuels, votre situation est assaillie par des étrangers ! Il faut la France aux Français ! » Extrait d’un tract de la ligue Solidarité française.

gouvernement hongrois met en place les travaux forcés destinés aux jeunes juifs. Plus de 27’000 travailleurs forcés meurent. En été 1941, les autorités hongroises déportent environ 20'000 à Auschwitz. En 1942, le gouvernement allemand veut que la Hongrie livre tous ses juifs mais la Hongrie refuse. BELIGIQUE : La présence de Juifs en Belgique est attestée de façon continue, depuis le premier siècle de l'ère commune jusqu'à nos jours. Elle atteignit un pic à 100 000 membres à la veille de la Seconde Guerre

Kolyma, par exemple, est une île particulièrement lointaine, située dans l'est de la Sibérie. Le camp et la ville adjacente y ont été construits par les détenus. Alexandre Soljenitsyne y a vécu une partie de sa vie et consacré l'un des tout premier livre sur le système concentrationnaire soviétique, nomme "L'Archipel du Goulag". Dans ce camps, consacré à l'extraction d'or, la production a fait un véritable bond en avant, passant de 276kg en 1932 à 48 tonnes (!) en 1939. En 1939 le camp logera tant

être efficace toute la journée dans 6 chambres a gaz différentes. Le nombre journalier de victime était tel, qu’en décembre il n’y avait plus assez de juifs à gazer dans la région, le camp a donc été transféré plus au Nord sous le nom de Sobibor puis Treblinka afin de continué l’extermination là ou si situait la d’autres communautés juives importantes. Le camp a du être camouflé pour ne pas attiré les soupçons. Les allemands ont donc plantés des arbres et même installé une ferme pour que