Socialisme

pensée de Claude Lefort Entre une Réflexion sur la démocratie moderne & l'interprétation du totalitarisme Claude Lefort est né en 1924 à Paris, il fut l'élève de Merleau Ponti. D’idéologie communiste il fonde en 1948 avec Castoriadis : « socialisme ou barbarie », une organisation révolutionnaire Française anti-stalinien et d'orientation marxiste. Il rompt en 1958 avec l’illusion révolutionnaire qui, selon lui, tombe toujours en sclérose bureaucratique. Il va alors aller chercher du côté

Non intervention de l’état, nulle réglementation ne doit entraver la liberté du travail (contraire= socialisme) 2) Ceux qui la combattent Frederich Engels ( 1826-1895) Philosophe et théoricien Karl Marc : ( 1818-1883) Tous deux dénonce le capitalisme comme étant l’exploitation de l’homme par l’homme. « Le manifeste du parti communiste » 1848 « Le capital » K .Marc créer le socialisme. * Les traditionnalistes : Conservateurs, nostalgiques ( rêvent d’un retour à l’ancien régime)

Mouvement social La force des ouvriers : - leur grand nombre - leur union -> coopératives (interdites, caisse commune) -> syndicats (représentants) -> partis politique socialistes (POB au départ 1894) leur arme = grève, manif, émeutes,... >> SOCIALISME : Karl MARX : doctrine, mode de penser, qui apparaît au XIXe en réaction au capitalisme, situation ouvrière... -> dénonce les inégalité sociales et le capitalisme -> défend l'égalité, l'intérêt général collectif Marx : présent à toutes les révolutions

la grève des mineurs de de Carmaux . Grâce aux soutiens des ouvriers il élu et réélu préfet de Carmaux ,et intervient de nouveaux pour défendre les mineurs et verriers de Carmaux. Jaurès publie dans sa vie de nombreux articles pour défendre le socialisme tel que dans « l'Humanité » , »La revue socialiste »  « Le petit République »... Jean Jaures lutte contre la venue de la guerre ,il mène des campagnes , prend parole ,Mais fut assassiné par un nationaliste le 31 Juillet , quelques jours avant la

sur le problème de la valeur des marchandises, celui de la nature de la répartition des revenus et celui des crises et de la croissance.Des réactions apparaissent cependant : elles viennent tout d'abord du socialisme utopique incarné par Fourier et Owen. Elles sont prolongées par le socialisme de Karl Marx dont pour l'auteur, l'œuvre est immense même si la vision de la société communiste reste quelque peu utopique et ne peut être assimilée au système communiste de l'ex-URSS.La fin du XIXe siècle

propre demande) => Equilibre automatique du marché Section 3 : Les thèses contestataires 3 courants dominants Le socialisme utopique : Saint Simon –> illustration pyramidale de la société Fourrier -> société fraternelle Proudhon -> dénonce le principe de la propriété => Tout est organisé de manière harmonieuse par l’homme mais le capital corrompt cette harmonie. Le socialisme scientifique : Karl Marx -> reprend la théorie des libéraux mais considère que la classe ouvrière est sous payée donc

 Chapitre 1 : Philosophe politique, économiste et révolutionnaire allemand, cofondateur avec Friedrich Engels du socialisme scientifique et, à ce titre, initiateur du mouvement ouvrier international contemporain. il demeure l'un des penseurs qui a le plus fortement marqué le XXe siècle . Biographie : Issu d'une famille de la bourgeoisie d'origine juive convertie au protestantisme, Karl Marx nait à Trèves le 5 mai 1818, il fait ses études de philosophie et de droit aux universités de Bonn

boulangismes, celui conservateur des campagnes et social des villes. Mouvement polymorphe , qui évolue d'une manière assez ambigues selon la vision de son maitre Boulanger. 1 ) radical orthodoxe 2) repudiant de la rep jacobine 3) fait preuve d'un socialisme intransigeant cette ambiguité de direction qui rend instable ce mouvement : Ainsi on peut remarquer certaines divisions entre boulangistes: boulanger s'eloigne des sources et du comité central banquet de tours: 17 mars 89 veut

fondateurs. Il devient Président de l'American Economic Association en 1948. La fin de sa vie sera marquée par l'édition de deux ouvrages importants : Les Cycles des affaires (1939) où il revient sur l’analyse de la croissance) et Capitalisme, socialisme et démocratie (1942) qui lui vaudra une réputation d’économiste « hérétique ». Il meurt le 8 janvier 1950 d'une hémorragie cérébrale dans sa maison de Taconic, dans le Connecticut, au moment où il allait être élu premier président de la nouvelle

d'un parlement et d' un exécutif. Ses militants se définissent comme des "socialistes nationaux" ou "des ethnicistes normands": "Il va s'en dire que pour nous le socialisme est dans le sens de la justice sociale, de l'opposition au socialisme marxiste ethoncide que nous combattons et du socialisme à la française qui n'est autre qu'un socialisme franc-maçon, lié au lobby juif, cosmopolite et oppresseur(...). Nous nous opposons catégoriquement au métissage du peuple normand qui amène un apprauvissement