Société coopérative et participative

de la simple copropriété à l’éco-quartier en passant par les coopératives d’habitat. 4) Faisabilité ? Les points importants à aborder pour la réalisation de ce type de projet collectif. 5) Conclusion et remerciements -2- Mémoire de fin d’année de formation continue sur la Qualité Environnementale dans le Bâtiment > Thomas BRAIVE > Février 2007 > Janvier 2008 1* INTRODUCTION contextuelle Le paysage est le reflet de notre société… Nos dirigeants se saisissent des concepts de l’écologie

interprofessionnelle des producteurs de bananes, centre technique interprofessionnel des oléagineux). Les coopératives agricoles couvrent différents secteurs d'activités. Deux grandes catégories de coopératives sont à distinguer : « les coopératives de la réforme agraire » et les coopératives « hors réforme agraire ». Le recensement général des coopératives de 1998 a dénombré 1724 coopératives couvrant de multiples services (collecte et commercialisation du lait, élevage du bétail, approvisionnement

la Banca Popolare Etica en Italie, la Nef en France et la Fiare en Espagne, d’unir leurs forces pour créer une banque éthique européenne, dont les intentions déjà définies sont la transformation sociale par le rapport à l’argent, la gouvernance participative et la transparence en vue de l’intérêt commun (Nef). Face à ce paradoxe apparent, il est convenable de s’intéresser à la performance des entreprises éthiques. Sont-elles rentables ou seulement efficaces du point de vue de la morale ? En réalité

engagements financiers 12 2.5 Forme juridique que peut prendre le groupement 13 2.5.1 Coopérative : la forme d’association la plus ancienne et la plus démocratique 13 2.5.2 Chaine volontaire (ou encore partenariat) : Entente verticale 14 3. Autres formes du commerce organisé.

très riche DPPO : direction participative par objectif «  je donne info et vous pouvez exprimer votre point de vue sur champ étroit du sujet » Octave Geliner : année 70-80 : management participatif Echange sur 2 sens ( champ plus large Pourquoi développement en France ? ( Après fin de 2ème guerre mondiale, apparition IRP avec le principe « échanger/communiquer sur vie entreprise » Cogestion : modèle allemand Courant en France avec SCOOP : société coopérative ouvrière. Développement économie

sur les formes institutionnelles de la participation citoyenne, c’est-à-dire sur les processus engagés à l’initiative des pouvoirs publics. Il est complété par des contributions signées de quelques-uns des meilleurs spécialistes de la démocratie participative (Antoine Bevort, Pierre Hamel, Sandrine Rui, Julien Talpin et Antoine Vergne). La participation des citoyens et l’action publique La Documentation française 29-31, quai Voltaire 75344 Paris cedex 07 Téléphone : 01 40 15 70 00 Télecopie :

compétences du développement local. C’est donc autour d’un thème d’actualité – le développement local participatif – que se sont réunis à Salé, du 28 au 30 janvier 2005, plus de 200 représentants de l’Etat, des collectivités locales et de la société civile. Au-delà de nombreuses interventions, ce séminaire a permis aux différents participants d’échanger leurs points de vue, de partager des expériences françaises (villes de Marseille et de Valenciennes), marocaines (Salé, Meknès, Figuig, Tiflet…)

LISTE DES GRAHIQUES ET FIGURES VII RESUME DU MEMOIRE VIII INTRODUCTION 1 PREMIERE PARTIE : CADRE DE REFERENCE 4 CHAPITRE 1 : REVUE CRITIQUE DE LA LITTERATURE 5 CHAPITRE 2 : PROBLEMATIQUE 12 CHAPITRE 3 : CLARIFICATION CONCEPTUELLE 15 3.1 Coopérative agricole : 15 3.2 Diagnostic : 16 3.3 Facteurs de production : 16 3.4 Production : 17 3.5 Rendement : 18 3.6 Productivité : 18 3.7 Evaluation de l’efficacité : 18 CHAPITRE 4 : CADRE OPERATOIRE 20 4.1 Objectifs de recherche 20 4

nouvelle approche de développement a été instituée en 1995 (la loi 33/94), à travers des Projets de Mise en Valeur en Bour (PMVB) délimités sur des territoires plus réduits permettant, par conséquent, une meilleure mise en œuvre de la démarche participative de développement agricole et rural. Cette approche vise à induire un développement local par grappe de projets, qui associe aux opérations d’aménagement de l’espace agricole (telles que l’irrigation, l’aménagement foncier et pastoral) des

colonisation, et les projets d’aménagement hydrauliques constituaient les vecteurs des inégalités territoriales, tandis que les inégalités sociales concernent la consolidation de la place centrale des notables, au détriment d’une large frange de la société rurale. Les projets de développement rural, en particulier l’aménagement de grands périmètres irrigués, où l’Etat-aménageur est omniprésent, participaient au contrôle des territoires ruraux (Pascon, 1978 ; Kuper, 2011), tout en laissant se développer