Sociolinguistique

commun, Conseil de l’Europe, etc.) ont en effet donné naissance à l’approche communicative. Il n’y a pas de réelle rupture dans les objectifs mais cette nouvelle approche fait appel à d’autres théories de référence comme la psycholinguistique, la sociolinguistique, etc. La différence principale se situe au niveau de la compétence : il faut privilégier la compétence de communication, c’est-à-dire l’emploi de la langue. L’approche communicative prend en compte les dimensions linguistique et extralinguistique

« chômeur qui passe son temps adossé à un arbre » (L’Authentique, 17/ 06/ 2000). Ceux empruntés à l’anglais ou à l’espagnol sont moins importants. Cela est dû au fait que ces langues ne sont pas vraiment présentes dans l’environnement sociolinguistique algérien7. Nous citerons comme exemple : - trabendiste, de l’espagnol trabendo « marché de contrebande » + suff. -iste. Ce mot est un nom attribué à « une personne qui  s’engage dans une commercialisation illégale 53 Synergies Algérie

(savoir-apprendre). Toutes les « compétences générales individuelles » présentées par les 9 auteurs du Cadre sont donc ici développées . Quant aux « compétences communicatives langagières » (compétences linguistiques, sociolinguistiques et pragmatiques), elles sont stimulées par l’enseignant selon les objectifs à atteindre en fonction du niveau des groupes. A l’oral, les priorités sont les mêmes pour tous : maitrise de l’intonation, fluidité de l’expression, respect de l’accent

exprime que la diachronie, ou l’évolution de la langue, est à la direction de la parole. Il explique que la synchronie est l’état de langue parce que toutes les parties de la langue doivent être considéré ensemble. Resources Introduction a la Sociolinguistique, H. Boyer, Dunod. Avigail Azoulay-Vicente, The French Review, Vol. 63, No. 2 (Dec., 1989), pp. 419-420 Published by: American Association of Teachers of French Harris, R. Allen,Argumentation in Chomsky's "Syntactic Structures": An Exercise

Africain). Leurs langues familiales étant différentes, ils ont crée leur langue vernaculaire qui relève d'un code interne marquant leurs différences. Un parler à part entière qui leur appartient et qu’ils revendiquent. De nombreux sociologues et sociolinguistiques, comme Bourdieu, reconnaissent qu’ « il est central d’envisager les conditions sociales de production d’un énoncé et les contraintes qui pèsent sur les interactants ». 1. LE VERLAN (inversion de l’ordre des syllabes) Le Verlan apparait

social. Le premier aspect considère la langue comme un système abstrait de signes, étudiant ses théories, son évolution, ses aspects phonétiques, phonologiques, morphologiques, lexicaux, syntaxiques et sémantiques. Le deuxième aspect, appelé sociolinguistique, concerne les relations entre les langues et leurs locuteurs, en se focalisant sur la variation linguistique au sein d'une même langue. La linguistique a réussi à occuper une place importante dans les sciences du langage en étudiant la parole

légèrement d'un point de vue anthropologique. En dernier paragraphe, l'auteur nous fait part, d'une exposition succincte du fonctionnement du cerveau pour introduire une "perspective, qu'il convient d'intégrer au palier biologique, les thèses sociolinguistique que nous avons précédemment exposés" pour permettre un point de vue globale sur les comportements violents, criminels ou non. Le deuxième chapitre met en relation le fonctionnement du cerveau avec son environnement pour permettre une explication

distanciation sociale, tandis que le néerlandais, relayé au rang de "langue du peuple" est réservé aux rapports avec les domestiques. Les classes bourgeoises rejettent ainsi leur identité flamande et renient leur appartenance à ce groupe sociolinguistique. Pour la communauté flamande, même si certains d’entre eux ne maîtrisent pas le français, ils prétendent ne comprendre que lui et ignorer le flamand. "On ne sait pas le français, personne ne le sait, mais tout le monde affecte de ne pas savoir

ou  d’érosion  linguistique,  deux  facteurs  qui  renseignent  sur  l’attitude  vis‐à‐vis  d’une  langue  et  un  facteur  concernant  l’urgence de la documentation. La somme de ces neuf facteurs permet de faire le bilan de la  situation sociolinguistique des langues. Aucun facteur ne permet à lui seul d’évaluer le degré  de vitalité et la nécessité de la documentation.     Le degré de vitalité : principaux facteurs    Il y a six facteurs qui concourent à l’évaluation de la vitalité des langues

nombreuses et l’espace proposé insuffisant. L’accompagnement des habitants ainsi que leur considération passe aussi par des centres sociaux créés à Gros Saule, Rose des Vents, Mitry et la cité de l’Europe. Ces associations proposent des ateliers sociolinguistiques, l’aide à l’alphabétisation, un accompagnement scolaire pour les enfants mais aussi pour leurs parents ainsi que des clubs jeunesse (club des lutins par exemple). (Réhabilitation des lieux publics) La municipalité d’Aulnay-Sous-Bois a pris conscience