Socrate Contre Le Relativisme

en vigueur dans une société On peut donner a moral un2e sens : la morale personnelle : il peut y avoir la morale sociale, personnel et les ind qui ont un autre point de vue du bien et du mal Ex : au 18e le marquis de Beccaria fait un plaidoyer contre une certaine conception de la peine. Lui-même plaide pour un renouvellement du droit en général et une condamnation de la peine de morte. Toute la grande catégorie de la norme en général en enlevant de la norme juridique Les mêmes contenus normatif

61 : « Il y a une universalité de projet humain en ce sens que tout projet est compréhensible pour l’homme ». Tout projet humain peut être retrouvé par un autre homme. Le « projet » de Socrate peut rester ainsi actuel pour nous, homme du XXème siècle. pp 62-74 : deuxième aspect de l’objection : le relativisme p. 68 : « Tout homme qui invente un déterminisme est un homme de mauvaise foi ». « La mauvaise foi est évidemment un mensonge parce qu’elle dissimule la totale liberté de l’engagement

langages qui sont répétés dans discontinuité. Voir schéma CHAPITRE I – Généralités I. L’Ethique dans l’Histoire a. Origine de l’éthique Ce mot en formé dans l’entourage de Socrate (Platon et Aristote). C’est donc Socrate qui serait à l’origine de l’Ethique. ➢ Formule célèbre de Socrate : « Connaît toi toi même » : Homme, occupe toi de l’Homme > Etudie ton comportement, ta conduite. L’éthique est donc une étude des mœurs et des coutumes pour savoir quelles sont les bonnes

étroite et repliée sur elle-même. Troisièmement, elle est impliquée dans tous les processus, heureux ou malheureux, de changement d’état. Commençons par le premier point, le décentrement par rapport à soi-même. Montaigne écrit : On demandait à Socrate d’où il était. Il ne répondait pas : d’Athènes, mais : du monde. Lui, qui avait son imagination plus pleine et plus étendue, embrassait l’univers comme sa ville, jetait ses connaissances, sa société et ses affections à tout le genre humain, non

rattachés à un ensemble de réalités plus vastes à l’intérieur desquelles ils prennent place, s’emboîtent, se commandent et sont commandés. Pourrais-je comprendre le procès fait au philosophe Socrate, si j’ignorais l’histoire de l’antiquité grecque, la démocratie athénienne, son ascension et sa chute, la confusion de Socrate avec les Sophistes et le désarroi de la cité qui fut la plus puissante du monde de l’Antiquité…? Autre exemple plus proche de nous, l’événement de la révolution française nous serait-il

Il nous dicte ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Les lois sont choisies par le Parlement par opposition au "règlement" qui est choisi par la communauté. La plupart du temps, ces lois sont justes. Elles nous protègent. Nous croyons que Socrate a agis par amour de la justice et n’a pas fuit car il aimait trop la ville et car il croyait qu’il lui devait mais surtout il disait ne pas vouloir tenir une réputation d’homme prônant la justice. II. Obéissance aux lois de la cité En obéissant

philosophique et son origine a] Les Présocratiques Ceux sont des penseurs qui dans la Grèce Antique, ont participé aux origines de la philo du VIIème siècle av. J-C au IVème siècle av. J-C. Exemple de présocratique : Sophiste ; Pythagoriciens… Socrate (470-399) Les Présocratiques étudiés la nature à travers l’astronomie, la biologie et la physique pour se démarquer. Ils pesaient des réflexions d’ordre politique, moral, métaphysique. Les doctrines se transmettaient oralement, il nous en reste que

lorsqu ‘elle est confirmé ou réelle . La vérité et la fausseté dépendent d’un système de repère . Il faut à l’avance fixer le degré à partir duquel on pourra considérer l’eau comme chaude par exemple . b) A chacun sa vérité ? Question de relativisme . Empirisme = septique ( doctrine qui considère que toutes connaissances proviennent de nos sens . vu que chacun à des sens différents et qu’a chaque instants ces sens nous donne des infos différentes . il y a une vérité pour chaque

fin, restant le même et dans le même, il git par lui même. Il n’est pas lié à un temps et lieu précis. (voir poeme) Xénon d’Élée (490 av JC) A---------I----I----I------------B a1 a2 a3 Disciple de Parménide. Il a consacré des arguments contre le mouvement. Il cherche à démontrer que rien ne se meut, il n’y a pas de mouvement. Parce que ce qui se déplace doit arriver à un point du trajet avant d’arriver à la fin. Il y a des infinités de a1 a2 a3 … qui nous empêche d’atteindre au but. Pour

aussi de ce sur quoi il porte, de son contenu : au nom de quoi arriverais-je à faire miennes des règles que je ne reconnais pas ? On voit ici la nécessité, pour le devoir, d’être universel. Faute de cette universalité, nous serions confrontés au relativisme moral. Si en effet chacun a sa notion du juste, l’idée même d’une règle commune à laquelle on puisse s’obliger ferait figure de convention arbitraire : faire son devoir serait alors faire acte d’hypocrisie. Question : Le devoir est-il arbitraire