Socrate Je Sais Que Je Ne Sais Pas

»? C’est que la philosophie éveille l’esprit et l’oblige à se lever de son sommeil dogmatique en remettant en question ses certitudes les plus profondes, en l’obligeant à reconnaître, à l’instar de SOCRATE (470-399), qu’il est un ignorant qui s’ignorait comme tel : « Ce que je sais, c’est que je ne sais rien ». Une telle humilité nous mène alors sur le chemin d’un étonnement bénéfique à l’apprentissage. La philosophie se révèle alors un mentor, un ‘‘chemin vers’’ qui fait dire à JASPERS que « Philosopher

m’adresse bien évidemment à quelqu’un : émettre une opinion c’est bien partager son avis, ce qu’on pense sur un sujet, avec quelqu’un. Or, il arrive souvent, notamment si votre interlocuteur n’est pas de votre avis, qu’on vous rétorque : " mais comment le sais-tu ? peux-tu me le prouver ? ". La réponse la plus courante à ce genre de questions sera le recours à une autorité (la science ; les médias, etc.). Qu’est-ce à dire ? Cela signifie que si vous affirmez que quelque chose est vrai (ou faux), c’est très

rencontrer les limites de notre raison et alors " prendre conscience de l'absence" (F. Alquié), - adhérer à un principe supérieur. Philosopher c'est renaître et adhérer à un étrange savoir puisque c'est pouvoir redire avec Socrate "Tout ce que je sais c'est que je ne sais rien"; et cela parce que c'est essayer de comprendre jusqu'aux "causes suprêmes" (Aristote). Philosopher c'est accepter d'être "bouleversé" (Jaspers). Ainsi la Philosophie est un cheminement vers la connaissance vraie. C'est

-droit et justice -moral et politique ÉPOQUES : Antiquité : Socrate et Platon Modernité : Descartes → invite la modernité 1637 : Discours de la méthode 1641 : Méditation métaphysique 18éme siècle : Les Lumières : Rousseau Voltaire Les Révolutionnaire : Marx Freud Nitch ← critique de Descartes LA DISSERTATION : sujet sous forme de question : une notion → trouvé un auteur. Expl : Socrate, la vérité sujet de plus d'une notion → aborder deux sujets

de fraternité. Ma perception des ces éléments : La première chose que je vois lorsque la lumière m’est donnée, se sont toutes ces mains gantées et ces tabliers ceints autours des hanches de tous les FF.: et SS.: en salle( à ce moment là je ne sais pas encore que l’on parle de loge)et je m’interroge relativement à la signification de ces éléments ; par la suite le V.:M.: me remet les miens , emblèmes du travail en F.:M.: depuis lors , toutes les fois ou je revêts mon tablier et je porte mes gants

prochaines pages contiennent un résumé du livre I, accompagné d’un schéma général du livre et d’une schématisation d’un argument socratique complexe. Après quoi, un argument qui n’a pas été relevé dans le résumé est commenté extensivement. En effet, Socrate fait une remarque étonnante : personne ne voudrait faire de la politique de son plein gré et ceux qui acceptent d’en faire le feraient à défaut de mieux… Ces constats déplaisants étonnent et montrent que Platon fait quand même preuve de pragmatisme

« Ménon » - Platon Explication de texte. Né à Athènes, Platon fut l’élève de Socrate. Célèbre philosophe du VIème siècle, il écrira ses dialogues en mettant Socrate en scène, s’entretenant avec des figures dominantes de la vie politique et intellectuelle d’Athènes. Parmi ses différentes œuvres nous retiendrons ici « Le Ménon », où la question de savoir si la vertu peut enseigner est posée. La vertu désigne la participation à la vraie connaissance (nul n'est méchant volontairement

SOCRATE. Tu dis vrai: je ne faisais pas attention que tu possèdes l'art de la mnémonique. Je conçois donc que c'est avec beaucoup de raison que les Lacédémoniens se plaisent à tes discours, toi qui sais tant de choses, et qu'ils s'adressent à toi, comme les enfants aux vieilles femmes, pour leur faire des contes divertissants. (286 a) HIPPIAS. Je t'assure, Socrate, que je m'y suis fait dernièrement beaucoup d'honneur, en exposant quelles sont les belles occupations auxquelles un jeune homme doit

d’un tableau (ordre de la description, place accordée aux yeux: description faîte par N. Poussin un autre peintre) 3)Comparaison directe à une toile de Rembrandt, II.Une description double 1) Frenhofer= un sage (comparaison avec Socrate et Rabelais etc…) 2) Frenhofer= un fou (yeux, diabolique, F. devient fou à la fin du roman, cils: Balzac adepte de la physiognonomie) 3) Dualité de l’ensemble du texte (antihèses, oxymores) 4) Fou et sage : un génie III

Existe-t-il une âme ? Avons-nous une âme qui évolue dans une dimension métaphysique ? Existe-t-il une âme ? Je ne sais pas, en l’absence de preuve, je ne peux pas croire avec certitude qu’il en existe une, mais comme toutes les choses qu’on ne peut pas comprendre, je ne mets pas l’hypothèse qu’il en existe une. Selon moi, il m’apparaît plus constructif l’existence d’une âme que l’absence de celle-ci. Je conçois difficilement le fait que la conscience ne serait que le fruit de l’évolution et qu’à