Socrate Je Sais Que Je Ne Sais Pas

raisonner un peu sur un pareil dessein. Un dévot comme vous, et que partout on nomme… Tartuffe Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme : Et, lorsqu’on vient à voir vos célestes appas, Un cœur se laisse prendre, et ne raisonne pas. Je sais qu’un tel discours de moi paraît étrange : Mais, madame, après tout, je ne suis pas un ange ; Et, si vous condamnez l’aveu que je vous fais, Vous devez vous en prendre à vos charmants attraits. Dès que j’en vis briller la splendeur plus qu’humaine

: la philo et la démocratie naissent. Elles naissent en même temps, s’entrecroise, mais ne se confondent pas. Il y a même un moment ou philo et démocratie s’oppose : le procès de Socrate. C’est une assemblée démocratique qui vote la mort de Socrate. Quels événements a-t-il fallu pour en arriver à la mort de Socrate. Le passage de la Grèce archaïque à la Grèce classique : c’est la période axiale. La Grèce archaïque : Société étatique, militaire, mais très traditionnelle où la religion a

* "La seule chose que je sais, c'est que je ne sais rien" (Socrate) * "L'homme est la mesure de toute chose" (Protagoras d'Abdère) "Car je ne cherche pas à comprendre pour croire, mais je crois pour comprendre." (Anselme, Proslogion) * L'imagination est "maîtresse d'erreur et de fausseté" (Pascal, Pensées) " Il viendra un jour où l'humanité ne croira plus, mais où elle saura." (Renan, L'avenir de la science) * "L'opinion a, en droit, toujours tort." (Bachelard, La formation de l'esprit scientifique)

D’ailleurs plusieurs œuvres illustrent ces notions. L’« Apologie de Socrate » de Platon, « Le Petit Prince » de Antoine de Saint-Exupéry et le film « Le Hérisson » réalisé par Mona Achache mettre en valeur leurs points de vue. L’apologie de Socrate écrit par Platon entre 390-385 avant Jésus-Christ montre Socrate au dernier instant de sa vie. Soit le tribunal, la prison et le suicide en 399 avant Jésus-Christ. Ces derniers instants de Socrate démontrèrent la réalité des Athéniens dans ces années. En l’an 404

Philosophie Problématique I : le Sujet La Conscience : Socrate : la seule chose que je sais, c’est que je ne sais pas Husserl : Tte conscience est conscience de quelque chose Freud : « Etre normal »= aimer et travailler Descartes : Je pense donc je suis= Cogito Ergo Sum (latin) L’inconscient : Spinoza : La liberté est la connaissance de la nécessité Hegel : du fait que la nécessité est connue, elle n’est plus la nécessité Platon : a constat que l’âme (l’esprit) ne sait pas tjr ce

L’apologie de Socrate Urna Semper Sed et lacus quis enim mattis nonummy Lorem vitae elit Presentation Dans une période historique très troublée, Socrate semble avoir été victime de sa notoriété et sert de bouc émissaire lors d’un procès qui nous est connu par Platon et Xénophon qui nous en font le recit. À travers lui ce sont les sophistes qui étaient visés et certains hommes politiques corrompu dont il fut l’ami comme Alcibiade. Dans «  L’Apologie de Socrate » , Platon nous

sont des attributs du langage, non des choses. Là où il n’y a pas de langage, il n’y a ni vérité, ni fausseté ». La vérité est bien de l’ordre du discours, en adéquation avec l’objet sur lequel il se prononce. Comment prouve-t-on la vérité ? Comment sais-t-on qu’un discours est vrai ?Tant qu’un jugement n’est pas prouvé, il ne peut être affirmé vrai ou faux, et relève plutôt du postulat ( posé mais pas démontré), de l’hypothèse, du jugement arbitraire, de l’opinion (pas nécessairement fausse, mais

l’apogée de sa puissance politique et de son rayonnement artistique et intellectuel. » Xanthippe : l’épouse de Socrate https://fr.wikipedia.org/wiki/Xanthippe_(femme_de_Socrate)Alcibiade : « homme d’État Athénien » https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Alcibiade/104653R. Alors que tous les autres l’abandonnent de découragement, Socrate est le seul amoureux qui ne quitte pas Alcibiade. Alcibiade pense n’avoir besoin de personne puisque ses besoins sont comblés

Ces flatteurs n'étaient autres que les sophistes parmi lesquels le premier rôle était tenu par Protagoras. C'est chez le riche Callias que prend place le dialogue, et c'est sur les sophistes et en particulier sur Protagoras que se dirige la satire. Socrate les combat et les perce de son ironie. Pour mieux comprendre la teneur du dialogue, il nous faut rappeler qui étaient les sophistes.Les sophistes s'intéressent à l'homme avant tout et aux diverses expressions de la vie spirituelle (art, politique

vieillard, une transposition du réel ou « un je ne ce quoi qui affriande les artistes » et qui pousse le jeune peintre à l’ « examiner curieusement » pour remarquer « quelque chose de diabolique » ,un nez qui ressemble à « celui de Rabelais ou de Socrate » et des « yeux vert de mer » qui jettent des « regards magnétiques » .Le portrait est une « image imparfaite de ce personnage », comme « une toile de Rembrandt » aux « couleurs fantastiques ». Dans L’Homme qui rit, Hugo nous fait le portrait d’une