Soins Palliatifs

médical et le domaine social. En effet, c’est une question personnelle qui suscite les émotions. On remarque que dans les pays où elle est autorisée, le bilan n'est pas toujours positif, notamment à cause des abus. Il faudrait donc développer les soins palliatifs, au profit d'un meilleur accompagnement en fin de vie, pour limiter les demandes d’euthanasie.

certaines personnes en âge AVS souffrant de maladie ou nécessite un traitement de réadaptions après une intervention chirurgicale ou suite à un accident, séjournent aussi les personnes souffrant de maladie chronique, l’établissement dispense des soins palliatifs et il y a une unité de psychogériatrie. (* Psychogériatrie est la psychiatrie des personnes âgées, elle comprend : psychoses – névroses – troubles de la conscience) Le personnel met tout en œuvre pour que les personnes âgée ne se sente jamais

tiers à la place du patient, économies …) En Belgique, l’euthanasie est devenue une banalité, un soin qui ne pose plus de problème éthique → risque Alternatives légales : Soins palliatifs : soulager les souffrances (phys et psycho) du patient ou des proches du patient en hospitalisation à domicile ou en structure. Soins délivrés à une personne atteinte d’une maladie grave, évolutive ou terminale → aider à mourir Loi Leonetti : arrêt des traitements contre sa pathologie ou refus de réanimation

, pas encore en droit d’accompagner de manière active une personne dans la mort. Il est vrai que l' on peut actuellement de manière passive mettre fin à la vie grâce au député Leonneti qui a instauré un droit au «laisser mourir», avec des soins palliatifs. Le fait qu'un médecin ne puisse aider une personne à mourir est contraire au serment d'Hippocrate . Le serment d'Hippocrate est prêté par les médecins occidentaux à la prise de leur fonction ; ce serment promulgue le respect du patient,

Il est difficile de concilier la médecine et le droit, d’autant plus quand s’invite la moral et encore plus quand s’invite la religion. En ce qui concerne la mort, toutes personnes a le droit de refuser les soins qui lui sont proposés. Pour autant en France, l’euthanasie active n’est pas autorisée, contrairement au Pays-Bas. Un problème alors ce pose, l’homme a-t-il le droit de disposer de sa propre vie, et si le médecin peut en disposer. Ainsi, l’acharnement thérapeutique est considéré comme une

en vie pour souffrir ? C'est en cette matinée du 21 novembre 2012 que le programme radio Question du jour, présenté par Mme Banchi, nous fait encore une fois cogiter sur une question épineuse. En la compagnie de Mme Bianchi, infirmière en soins palliatifs, Dr.Oulie, docteur en médecine et de Mme Ambraisse et Mme Scharwatt, citoyennes française; que le débat s'est mené. La question au centre de toutes les attentions L'euthanasie active peut-elle être légalisée en France aujourd'hui ? Afin qu'il

Marie de Hennezel POCKET 1995 Marie De Hennezel est psychologue clinicienne et psychanalyste ; Elle nous raconte son travail au quotidien dans la première unité de soins palliatifs créée en 1987 à l’hôpital de la cité universitaire de Paris. Au fil des pages, on pénètre dans l’univers, d’une unité de soins où les malades sont accueillis pour y vivre les derniers temps de leur existence. La mort d’autrui nous touche ; la mort nous interroge (y a t-il quelque chose au-delà ? où vont

mise en place (doc 8). La loi a créé la possibilité pour le malade de rédiger des directives anticipés et de désigner une personne de confiance (doc 8). La loi prévoit que les malades ont le droit d’être soulagé de la douleur en bénéficiant de soins palliatifs (doc 12 et 2). Elle ne recouvre donc pas toutes les situations en autorisant seulement l’acte passif de laisser mourir et non pas celui de faire mourir (doc 6). B) Les différentes positions législatives prises à l’étranger La question

Comment évaluer la qualité de vie? | La personne malade souffre | Où est la limite de la souffrance? | L'homme est propriétaire de son corps | Certains médecins pensent qu'il faut simplement améliorer les soins palliatifs et non donner la mort, grâce à ces soins l'euthanasi est inutile | L'euthanasie redonne une dignité humaine aux souffrants, c'est un droit que de mourir dans la dignité | Il faut attendre le terme naturel de sa vie | La personne malade se sent inutile

HOFMANN, L. BRAY. 2000, 2e édition, 144 pages. LES THÉORIES DE L’APPRENTISSAGE. Quel usage pour les cadres de santé? par B. DONNADIEU, M. GENTHON, M. VIAL. InterEditions, 1998, 128 pages. POUR UNE MORT PLUS HUMAINE. Expérience d’une unité de soins palliatifs, par M. ABIVEN et collaborateurs. InterEditions, 1997, 2e édition, 240 pages. RÉUSSIR LE CHANGEMENT À L’HÔPITAL, par G. ARBUZ, D. DEBROSSE. Préface de B. HONORÉ. 1996, 256 pages. LA SANTÉ EN PROJET, par B. HONORÉ. 1996, 224 pages. DIAGNOSTICS