Soleil Couchant Fuite Du Temps

intitulé Les Fleurs du Mal. «Harmonie du soir» est un extrait de son recueil .Comment Baudelaire exprime sa souffrance? Dans une première partie nous verrons la souffrance du poète et dans une deuxième partie l'ambigüité de cette souffrance. La fuite du temps à travers la valse évoquée à maintes reprise probablement lors d'un bal dont le poète ait assisté; la musique triste et une femme aimée et disparue désignée par «ton souvenir» (v.16) font souffrir le poète. La première strophe à partir des motifs

proposé, extrait de la section « Soleils couchants » (livre XXXV) dont il compose le sixième poème, comporte quatre quatrains d’alexandrins. Le poète y évoque la fuite du temps, thème cher aux romantiques, et il conviendra d’étudier de quelle façon Victor Hugo aborde ce thème déjà maintes fois traité dans la poésie du XIX°s. Nous verrons dans une première partie.... I La fuite du temps A/ Les annotations du temps dans toutes ses déclinaisons B/ Le jeu des temps verbaux II La mission du poète

Mélancholie I. Soleils couchants, Victor Hugo II. Quand c’est, Stromaë III. Les Regrets (Sonnet XII), Du Bellay IV. La tristesse, De Lamartine V. Mon rêve familier, Paul Verlaine VI. Demain dès l’aube, Victor Hugo VII. Le buffet, Arthur Rimbaud VIII. Le guetteur mélancolique (extrait), Apollinaire IX. Poison perdu, Arthur Rimbaud X. Papaoutai, Stromaë I. Soleils couchants, Victor Hugo Le soleil s'est couché ce soir dans les

meurt et c’est donc pour cela qu’elle parfaitement représentative du temps qui passe, qui fuit et nous conduis vers la fin. C’est dans cette perspective qu’Hugo rédige Soleils Couchants : L’observation du soleil à son déclin conduit le poète à une réflexion sur la fuite du temps. Il fait apparaitre les différents moments du temps dans leurs successions et leurs renouvellements. A partir de cette observation de la nature face aux temps qui passe nait chez le poète une conscience de sa propre fragilité

réel qui évoque peut-être les recherches impressionnistes. Dans cet article, il sera question d’identifier l’écriture poétique de Verlaine à l’art pictural des impressionnistes; ainsi allons-nous comparer les deux poèmes Chanson d'automne et Soleils couchants à deux tableaux de Monet, peintre impressionniste. Par un refus de l’exagération et de l’éloquence, Verlaine tend à dissimuler son besoin d’effusion et de tendresse inassouvie sous la description de paysages impressionnistes qui saisissent la

Soleils Couchants I – La fuite du temps - Champ lexical du temps (spécialement dans le 1er quatrain) - Utilisation du présent dans tout le poème = le temps est omniprésent (thème principal) - Titre faisant référence à la journée qui se termine, au temps qui passe. Dans le texte, on trouve également : « le soleil s’est couché ce soir ». « soirs, nuits, aubes, jours » = temps envisagé dans sa suite comme l’indique le mouvement du premier quatrain = énumération des différents moments de la journée

mort est évoquée de multiples façons dans la poésie . Les poètes insistent plus particulièrement sur l'irréversibilité du temps , la vanité de l'existence , l'image de la déchéance, afin de souligner la puissance universelle de la mort. Tout d'abord la fuite du temps est un thème dominant dans la poésie , l'existence humaine est marquée par l'irréversibilité du temps .Le temps est l'irréversible par excellence car il ne cesse de fuir. Dés qu'on cesse de saisir l'instant il appartient déjà au passé

Verlaine………………………………………………………………………………..6 Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière de Jean-Baptiste Chassignet..........................…..6 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire ……………………………………………………………………….7 Soleil couchant de Victor Hugo……………………………………………………….…………………………………8 Quand je suis vingt ou trente moi de Pierre de Ronsard………………………..……………………………9 L’horloge de Charles Baudelaire…………………………………………………………………………………….10 Vers écrits d’Alphonse

 ANTHOLOGIE Lune atique Plastrons d’astre et d’ivoire où se couche le temps, La lune et son linceul, effarouchant la nuit, D’une larme perlée, à la saveur de suie, Percent sommeils et cieux, à pas de revenants. A peine appareillé, son pur vaisseau d’argent Quitte temples et ports, puis lentement s’enfuit Vers ces sphères du soir où se glissent des pluies Dont les plumes d’onyx se tapissent de sang De vastes salles d’or qu’engouffrent les abysses Dégoulinent de feu, s’attachant au festin De rêves

 la seconde poésie est « Soleils couchants » du recueil Les Feuilles  d’automne de Victor Hugo, celle­ci date de 1831. La troisième poésie est « Après trois ans » du recueil  Poèmes saturniens publiée en 1866 par Paul Verlaine. Enfin la dernière poésie est « Le Pont Mirabeau » de  Guillaume Apollinaire, et tiré du recueil Alcools datant de 1913. À travers ce corpus nous comparerons la  manière dont chacun de ces poètes s’exprime sur le temps qui passe. Il s’agira dans un premier temps  d’étudier la construction de ces poésies