Solidarność

(dite aussi des Falklands), en 1982, qui oppose leurs alliés (Royaume-Uni et Argentine), ils apportent leur soutien aux Anglais. – Dans le camp soviétique, l’URSS est contestée, à partir de 1980-1981, en Pologne où le syndicat « Solidarité » (« Solidarnosc », en polonais), dirigé par Lech Walesa réclame une démocratisation de la vie économique et sociale. Les Soviétiques trouvent face à eux un adversaire inattendu, le nouveau pape Jean-Paul II, élu en 1979 et ancien archevêque de Cracovie, mais aussi

(dite aussi des Falklands), en 1982, qui oppose leurs alliés (Royaume-Uni et Argentine), ils apportent leur soutien aux Anglais. – Dans le camp soviétique, l’URSS est contestée, à partir de 1980-1981, en Pologne où le syndicat « Solidarité » (« Solidarnosc », en polonais), dirigé par Lech Walesa réclame une démocratisation de la vie économique et sociale. Les Soviétiques trouvent face à eux un adversaire inattendu, le nouveau pape Jean-Paul II, élu en 1979 et ancien archevêque de Cracovie, mais

Jean-Paul II. Polonais, il est le premier pape non italien depuis Adrien VI († 1523). S’impliquant sur la scène internationale, il va lutter activement contre le communisme. Le 31 août 1980, l'ouvrier de chantier naval Lech Wałęsa, cocrée le syndicat Solidarność, soutenu par les Occidentaux qui désapprouvent la mise en place du régime très dur du général Wojciech Jaruzelski, soutenu par l’Union soviétique, à Varsovie (13 décembre 1981). En Tchécoslovaquie, un groupe d'intellectuels parmi lesquels Vaclav

d'ouverture, on va assister à une amorce d'émancipation des pays de l'Est à l'égard de l'URSS. Ils vont s'engager dans la voie d'une libéralisation / démocratisation de leurs régimes politiques.  Pologne : 06/1989, élections législatives remportées par Solidarnosc, opposition au Général Jaruzelski, qui soutenait Moscou. Les partisans de la libéralisation l'emportent : pour la première fois depuis 1948, un non communiste devient chef du gouvernement en Pologne (T.Mazowiecki). Les élections présidentielles

glacis au tournant des années 1990. Il y a eu un processus de pluralisation des systèmes institutionnels dans certains des pays d’Europe de l’Est. Il y a deux états qui apparaissent comme pionné : la Pologne avec l’influence d’un syndicat, le Solidarnosc. la Hongrie qui accepte de mettre en œuvre des réformes économiques. En février 1989, des négations entre les syndicats et le pouvoir communiste en place ont lieu et le parti communiste hongrois accepte un passage graduel vers le multipartisme

syndicat Solidarnosc, dirigé par Lech Walesa) provoqua une riposte des communistes polonais orthodoxes et une reprise en main par le général Jaruzelski (13 décembre 1981), avec l'arrestation des principaux opposants. Mais la rébellion n'allait pas pour autant s'apaiser. Le pouvoir dut composer et organiser en 1989 des élections semilibres qui furent une défaite cuisante pour les communistes, qui ne firent que 3% des voix. Ce qui aboutit à confier le pouvoir aux dirigeants de Solidarnosc, ce à quoi

leurs engagements au sein de l’OIT, mais cela n’est jamais arrivé. Toutefois la question s’est posée en ce qui concerne l’Afrique du Sud au moment de l’apartheid. De même la question s’est posée quand la Pologne communiste a interdit au syndicat Solidarnosc d’exercer son activité syndicale et qu’elle avait emprisonné des représentants de ce syndicat. Toutefois le gouvernement avait décidé d’ouvrir des négociations avec ce syndicat. La sanction surement la plus efficace n’est pas un instrument

c’est très bien et que nous pourrions aujourd’hui en prendre 55 %... En ce qui concerne les garanties que tout opérateur étranger demandera en contrepartie de son engagement financier en Pologne, Lech Walesa répond que la garantie c’est Walesa, Solidarnosc, le Premier ministre et le gouvernement”. 50 des indemnités fussent cette fois prévues, elles furent difficiles à obtenir et ne compensèrent pas, loin s’en faut, les pertes essuyées. Pendant plus de quarante ans, un “rideau de fer” allait couper

et orientale renversent les régimes communistes des démocraties populaires (lorsqu’ils ne se retirent pas d’eux même). -Les Révolutions de 1989-1990 : -En Pologne, longue épreuve de force entre le général Jaruzelski et le syndicat catholique « Solidarnosc », fondé par Lech Walesa au début des années 80. 89 : le régime doit légaliser le syndicat. Aux élections de juin 89, échec du POUP (parti communisme polonais) aux élections législatives et désignation de Tadeusz Mazowiecki, ex-dissident, au poste

d’autant plus fascinés qu’ils ne le subissaient pas. Il ne faut pas sous-estimer la force de certains souvenirs, éventuellement transfigurés par le temps. L’élection présidentielle polonaise qui en novembre l995 voit la défaite du leader historique de Solidarnosc, Lech Walesa, devant un membre de l’ancien PC rénové, en est une bonne illustration. Quels qu’aient pu être les avatars du communisme en tant que doctrine politique, on ne peut ignorer le principal apport de Marx, le matérialisme historique