Somme

folie guette les soldats face aux rats, aux poux et au manque de leur femme. Le narrateur perd les pédales devant l'absurdité et l'enfer de Verdun. Heureusement, le courrier redonne du courage et nous rappelle que l'on est humain. La bataille de la Somme, en changeant le théâtre des opérations, soulage un peu les soldats. Puis c'est l'agonie de l'attente et de l'ennui. En 1917, on croit à une offensive qui serait la dernière même si on sait au fond qu'on va vers une mort certaine. Face à l'obstination

éducation artistique par sa mère, Pauline Louise Dix, qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Contexte historique : A la proclamation de la guerre, Otto Dix s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande et prend part à la bataille de la Somme, puis part sur le front de l’Est en 1917. Il est gravement blessé plusieurs fois. La guerre, qui le traumatise profondément, deviendra le thème majeur de son œuvre. Contexte artistique : Cette œuvre s’ancre dans le mouvement expressionniste. Aussi

tranchées provoquent de très lourdes pertes sans résultat sur le plan militaire mais dévastatrices pour le moral des combattants. En 1916, 300 000 soldats Français et Allemands sont tués lors de la Bataille de Verdun alors la mémé année la Bataille de la Somme fait 400 000 morts britanniques, allemands et français, pour au final aucun aboutissement. En 1917, alors que les États-Unis entrent en guerre auprès de l'Entente, la lassitude des soldats face aux attaques meurtrières et inefficaces conduit à des

blancs et fantassins en uniforme colorés. Mais très vite il change de nature, d’armes et de techniques nouvelles apparaissent au fil du temps: gaz de combats, chars d’assaut, mitrailleuses, barbelés, aviation.. Ces offensives Verdun, la bataille de la Somme se soldent par des centaines de milliers de morts: sans donner de résultats. La guerre s’installe et s’éternise. Les conditions de vie « Des Poilus » sont très dures. La vie quotidienne se passe dans la boue froide des tranchées, encombrées de

adversaires constatent se sont trompés, et que la guerre va durer, et s’enterre dans les tranchées. Cette guerre va durer 4 ans, personne ne progresse véritablement. Durant ces 4 ans, beaucoup d’offensives sont meurtrières et inutiles. Bataille de la Somme et de Verdun (1916) Offensive du chemin des Dames (1917) c) La guerre s’étend dans le monde entier En effet, les pays européens en guerre font pression pour que les autres puissances entre également dans le conflit. Par exemple, l’empire ottoman

l’école des Arts Décoratifs de Dresde. À la proclamation de la guerre en 1914, il s’engage comme volontaire dans l’artillerie allemande, à Dresde. Il participe à de nombreuses campagnes, comme celles de France (où il prend part à la Bataille de la Somme), de Flandres, de Pologne, puis est envoyé sur le front Russe jusqu’en automne 1918, où il est blessé à plusieurs reprises. Pendant ces « quatre ans d’exercices de fou ! », comme il pouvait le dire, il réalise des gouaches de petit format et des

Verdun le 21 février 1916 et qui dure de février à décembre 1916. Cette bataille marque les hommes car elle représente le début d’une guerre d’usure. La guerre s’éternise avec l’offensive lancée par les Français que l’on appelle la bataille de la somme et qui dure de juillet à novembre 1916. A cause de la guerre d’usure des mutineries apparaissent dans toutes les troupes. Les soldats sont épuisés et ne supporte plus les conditions misérables où ils vivent. Avec l’entrée en guerre des Américains en

complexe. • Résumé : La séance s’appuie sur une situation complexe dont le postulat est que les élèves se placent dans le contexte de l’année 2016, centenaire des grandes offensives menées sur le front de l’Ouest à Verdun par les Allemands et dans la Somme par les Français et Britanniques. Ces offensives qui avaient pour but de mettre fin à la guerre de position sont emblématiques de la guerre des tranchées et de la guerre de masse. Le travail que doivent réaliser les élèves est une double page spéciale

d'environ 70 millions d'Européens. Aucun conflit n'a auparavant tué autant en si peu de temps. En moyenne, chaque jour, 900 Français, plus de 1 300 Allemands et 1 450 Russes ont été tués. 20 000 Britanniques sont morts le premier jour de la bataille de la Somme (1916). Parmi les morts, on compte des « disparus » et des soldats impossibles à identifier. Le nombre des blessés est immense ; on recense 8 millions d'invalides et d'infirmes, dont les gazés, les mutilés et les blessés de la face ou « gueules cassées

de violence majeurs typiques s’allongent énormément dans ce conflit, passant de quelques heures à plusieurs mois : à partir de 1914, c’en est fini ces chocs brutaux et brefs, caractéristiques du « modèle occidental de la guerre » (La Bataille de la Somme dure 5 mois, Gallipoli 8 mois, Verdun 10 mois, la Bataille d’Ypres 4 mois…). Les batailles meurent de sa propre violence car la force du bombardement interdit le déplacement vers l’avant de l’artillerie. Le mouvement est interdit. Les batailles se