Sommes Nous Conscients Ou Avons Nous à être Conscients

le monde donc dans notre contexte, ce serait la représentation de ce que nous sommes et de ce qui nous caractérise et la vision que nous en avons. De cette manière, le sujet nous amène à réfléchir sur la correspondance entre la représentation que j’ai de moi-même et ce que je suis réellement. Nous trouvons donc ici un problème de véracité de la représentation qu’une personne peut avoir d’elle-même. Afin de répondre à ce problème, nous nous demanderons dans un premier temps si un individu est-il

l’échelle du savoir humain c’est encore du savoir. La difficulté est justement de savoir si un ignorant est conscient de son ignorance, à savoir s'il est responsable des ses actes et conscient de son libre choix, conscient de son état d’homme libre ou pas, car à priori selon le sens commun le sage est libre car il détient la connaissance alors que la liberté est impossible à l’ignorant. A posteriori l’homme peut dépasser son ignorance, ne serait-ce que par dignité, car il détient le savoir aussi

SUJET La conscience est un état de veille par opposition à l’inconscient du sommeil. Durant l'état de veille, la perception existe pour quelqu'un. Quand on dort, on ne peut pas savoir ce que l'on fait, il peut y avoir des perceptions sans les apercevoir. Durant le sommeil, on a pas conscience de nous même et de la société. La conscience est une sorte de miroir où se reflète ce qu'on pense ou fait. Pourquoi y-a-t-il un tel reflet ? A quoi sert-il ? La conscience se caractérise aussi par le fait

On a tous déjà pensé se connaître soi-même parfaitement au moins une fois dans sa vie, et on a donc tous déjà pensé se connaître mieux que n'importe qui. On a également pensé que savoir ce que l’on est et qui l’on est, est un privilège indéniable que l'on a sur nous-même. Étant ce que je suis, me connaître est la chose la plus simple. En effet, je suis à moi-même l’objet le plus proche et le plus clair : je suis à la fois, dans une intime proximité, celui que j’ai à connaître et celui qui a à connaître

je suis immédiatement conscient de moi même, je n'ai pas besoin de faire d'effort pour le devenir. La conscience réfléchie : ex : A tout moment je peux ne plus m'occuper de l'extérieur et faire un retour sur moi-même pour analyser ce qui se passe dans ma conscience ( ex : en cours lorsque je décroche). 2- La conscience morale est une petite voix intérieur qui nous permet de distinguer le bien du mal, de juger nos actions ou celles des autres. On l'éprouve à travers le remord. I

L'expression « être soi-même » peut nous apparaître comme un pléonasme: en effet, qui sommes-nous, sinon nous-mêmes? Il semble qu'il soit impossible de ne pas être soi-même, nous ne pouvons être autre que le sujet de nos pensées, de nos actes et de nos états. Et pourtant, il nous arrive de dire « j'étais hors de moi » ou « je n'étais plus moi ». Ces expressions montrent comme une étrangeté au plus intime de nous-mêmes. Nous pouvons alors nous demander : Est-il possible de ne pas être soi-même? Est-ce

définit un sujet conscient, l’homme pense c’est se qui le caractérise, son esprit est actif en permanence, il pense lorsqu’il rêve, désir, imagine, entend, ressent. Son corps, tout son être est dirigé par son esprit. Par exemple, lorsque j’ai sommeil c’est mon esprit qui ordonne à mon corps de se reposer, c’est mon esprit qui me fait ressentir la fatigue donc je pense que je suis fatigué. Le corps n’a pas connaissance de ce qu’il entreprend ou de ce qu’il subit, il n’est pas conscient. L’esprit perçoit

la conscience de soi à mon être réel, fait de certaines déterminations. « Suis-je » renvoi à mon essence et non à mon existence. La question, ici, est une question que je me pose et c’est moi, non un autre, qui doit y répondre. Il faut prendre ici le mot « conscience » au sens psychologique. La conscience de soi est l’intuition, la saisie immédiate, qu'a l'esprit de ses états et de ses actes. Ce que j'ai « conscience d'être » est donc le résultat de l'introspection, c'est à dire de l'observation

L’homme possède la capacité de dire «je». «Je pense donc je suis» Descartes. Penser est une activité psychique consciente. Par lequel l’individu peut concevoir d’apprendre et de créer ce qu’il veut être. L’être humain est sujet conscient capable de penser par lui même et de faire ses propres choix. Mais selon Rimbaud et Nietzsche, «Je est un autre». C’est la où ce trouve le paradoxe, l’homme serait libre de faire ces propres choix et de penser par lui même, mais autrui interviendrai dans la décision

avec ses objets? Qu’est ce que la conscience ? A cette question le philosophe H. Bergson répondait par une boutade : vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l’expérience de chacun de nous (…) en donnant de la conscience une définition qui serait moins claire qu’elle… Mais s’il nous est difficile de la caractériser, nous pouvons au moins la percevoir comme le rapport particulier que l’homme a au monde. Qu’est ce qui constitue l’originalité